Après le déluge, les Dieux terraformateurs sont rentrés chez eux, du côté des Pléiades… ou de la Grande Ourse ! Mais ils ont gardé un oeil sur nous.
Cela peut sembler difficile à croire, et pourtant notre lointain passé a été technologique, sous la férule attentive de voyageurs des étoiles. Les civilisations hyper-développées qui ont précédé la nôtre sont bien réelles, et non le fruit d’imaginations enfiévrées, comme une certaine science voudrait nous en persuader.
De nos jours il ne subsiste pas le moindre vestige de la science sacrée, c’est le règne du savoir profane, de l’ignorance qui se prend pour science et se complaît dans son néant.
Réelles, ces civilisations ont laissé trois sortes de traces : des témoins, des vestiges matériels et des traditions ou des mythes. En tant que témoins, nous avons des lignées-reliques, des groupes humains qui ont gardé leurs coutumes sur une très longue période : Aborigènes, Bushmen, Pygmées, Papous, Inuits, Tongouzes, Yanomamis…
Tous ces peuples sauvages partagent une vision chamanique du monde. Ils croient à la magie autant qu’à la raison. De qui tiennent-ils cette mentalité magique ?
La question divise les chercheurs.
Pour les néo-darwiniens, ils la tiennent des singes, nos cousins. Il faudra bien qu’un jour on renonce à cette énorme ineptie. Claude Lévi-Strauss ou Jean Malaurie l’ont assez montré, ces peuples sont les purs héritiers d’une tradition pluri-millénaire qui, aujourd’hui encore, leur fait accomplir des miracles. Hélas, leur nombre se réduit et leurs pratiques ancestrales se diluent dans la mondialisation et le tout-rationnel.
Ces antiques civilisations nous ont légué aussi des traces matérielles, des artefacts : des vestiges architecturaux monumentaux, totalement inconstructibles avec nos méthodes modernes ; mais aussi, plus anciennes encore, des fresques délicates, sensibles et d’une très haute expression artistique. Et combien de prouesses artisanales, des bijoux, des miroirs d’obsidienne ou des crânes de cristal polis avec un soin qui dépasse nos compétences, même avec nos polisseuses à diamant…
On a trouvé des amphores creusées dans la diorite, pierre d’une grande dureté. Avec ses outils modernes, notre meilleur artisan serait bien en peine de percer dans une perle en diorite, un trou qui permet juste le passage d’un cheveu.
On a trouvé encore des nano-objets industriels dans des couches géologiques datant du Trias. On a trouvé des traces de pieds humains géants fossilisés depuis le Jurassique ; des semelles modernes de 200 millions d’années ; des bombes atomiques en plein néolithique ; des ovnis préhistoriques, etc.
Et ces machines extrêmement anciennes, des avions, des piles et des batteries électriques, des « ordinateurs stellaires », d’autres mécanismes inconnus ? Toutes ces merveilles sont niées par les experts. Demandons-nous pourquoi il est si rassurant d’écouter des nabots affirmer qu’on a toujours été petits.
Ignorons ces ânes que la vérité fait braire. Il est plus drôle de regarder les faits et les objets splendides que ces nains dédaignent. De voir si ces faits s’assemblent, si ces objets se rapprochent. D’assembler une à une les pièces d’un puzzle inédit, qui peu à peu dessine une tout autre vision de notre passé.
Notre histoire admise commence avec un certain nombre de civilisations premières, qui semblent démarrer à un niveau de développement déjà élevé, sans trace d’évolution antérieure.
D’où sortent-ils, ces bastions culturels isolés dans un monde de chasseurs- cueilleurs proches de la nature ? La vérité s’impose : ces civilisations ne sont pas « premières » mais héritières.
La mythologie grecque nous apprend qu’Atlas eut sept filles. Elles furent changées en étoiles, elles brillent encore au firmament sous le nom des Pléiades.
Est-ce le refuge choisi par les émigrants après la destruction de l’Atlantide ? Les sept filles d’Atlas sont-elles des colonies atlantes dans les étoiles ?
Quant à y voir l’origine unique des visiteurs antiques, le doute est permis. La suite de mes recherches m’a doucement amené sur une autre piste, celle de la Grande Ourse, Ursa Major, et d’une de ses étoiles qui pourrait bien être l’origine des terraformeurs. La parabole des filles d’Atlas nous a orienté vers les Pléiades, mais les Pléiades ne sont sans doute pas l’origine d’Atlas et de ses semblables.
Eplucher les mythes demande une longue patience et un sixième sens affûté. Voici près de 20 ans que je travaille cette discipline, j’ai fait des découvertes fumantes, qui se sont trouvées reléguées à l’arrière-plan par d’autres découvertes encore plus folles. Croire sans y croire, telle est la règle que j’ai suivi, et que je vous incite à suivre aussi.
Reste une autre hypothèse : les terraformeurs n’étaient pas les seuls visiteurs des étoiles. D’autres races, d’autres espèces aliens se sont penchées sur le berceau de l’humanité. Certaines ont travaillé pour nous, d’autres contre. C’est ce que les mythologies chrétiennes ou autres nous indiquent avec la rivalité du diable et du bon dieu.
Cela pourrait expliquer pourquoi tant d’origines différentes sont attribuées aux « dieux d’avant » : Sirius, Vega, Pléiades, Alpha du Centaure, Grande Ourse, et j’en passe… Ils sont plusieurs représentants de civilisations différentes, venus de planètes et de systèmes différents, avec des mobiles différents.
Alors que signifie en clair ce mythe des sept filles d’Atlas ? Sans doute tout autre chose, la clé étant fourni par la génétique. Les filles, c’est à dire les créations génétiques d’Atlas ? Ou de son pote Prométhée ?
Seraient-elles les sept graines que les visiteurs des étoiles ont semé sur cette terre, sept souches que la génétique a nommée les sept filles d’Eve ?
Les cathédrales ont été construites avec un mètre-bâton : pas d’autre calcul !
La peur ressemble à l'ego. Tant qu'on est vivant, on ne s'en débarrasse pas.
Il n'y a pas quatre éléments, mais cinq. Le premier s'appelle l'éther. On l'a oublié…
Oui, perdu. Mais qu'on ne s'inquiète pas, le remplaçant est prévu.
Je vous demande un ultime effort pour sauver Eden Saga. C'est maintenant !!
L’aventure Eden Saga aura duré dix huit années. Reste encore UNE chance, la toute dernière.