Salomon le Magnifique, ou « le Juste, troisième roi d’Israël et de Juda, fils et successeur de David, régna quarante ans. Salomon reçut le trône d’un père épuisé et d’une mère ambitieuse. Son règne fut un court moment de paix intérieure et de grandeur.
Oint solennellement, après la mort de David, il se montra dès le début de sa souveraineté à la fois puissant et tolérant. Le pieux roi marchait selon les ordonnances de Yahvé, tout en sacrifiant sur les hauts lieux, accompagné de son peuple… Cependant, à Gabaon, c’est au sanctuaire du Dieu unique qu’il se rendit, et c’est à Yahvé qu’il offrit les holocaustes: là se trouvait encore la Tente de la rencontre que Moïse avait fabriquée dans le désert, tandis que l’Arche avait été transportée à Jérusalem. Ce sacrifice fut suivi d’un rêve au cours duquel le Dieu d’Israël lui apparut, offrant de lui accorder tout ce qui lui plairait. Salomon ne demanda que des grâces spirituelles : c’est la sagesse qu’il implora du Ciel. Le voeu fut exaucé et tout Israël en bénéficia pendant la plus grande partie de son règne. La richesse et la gloire lui furent données par surcroît. La renommée de sa sagesse dépassa les plus lointaines frontières. On venait le consulter et l’entendre de toutes les terres connues d’alors. » (source)
Le Midrash Rabba, le Coran comme l’Ancien Testament nous présentent « le roi Salomon, bâtisseur du premier Temple de Jérusalem, comme un sage, auteur de proverbes et de chansons, grand connaisseur des secrets des plantes et des animaux, mais non comme un magicien. Il semble qu’une réputation d’astrologue lui sera faite dès le IIe siècle av. J.-C., et au Ier siècle l’historien juif Flavius Josèphe le présente comme ayant écrit 3000 livres d’exorcismes et d’incantations contre les maladies engendrées par les démons. Le premier livre de magie qui lui a été effectivement attribué est le Testament de Salomon, écrit en grec, entre le Ier siècle et le Ve siècle, probablement à Babylone ou en Égypte, les plus anciens manuscrits datant du Ve siècle. Il ne fut traduit en latin, en hébreu et en arabe que plusieurs siècles après. Au cours des siècles, divers textes de magie furent attribuées à Salomon. » (source)Wikipédia La Bible nous apprend que Salomon se laissa influencer par ses femmes, et comme elles, se mit à adorer les idoles et à renier son Dieu.
C’est sans doute ce qui a renforcé son image de magicien aidé par les démons. Ces derniers, disent les commentateurs, avaient enfoui des livres de magie sous le trône de Salomon. Après sa mort, ils répandirent le bruit qu’on n’avait qu’à chercher sous le trône les livres contenant la science par laquelle Salomon s’était soumis les hommes, les génies et les vents. Voilà la réputation de haute magie faite à Salomon qui commence à prendre corps. Après quoi d’innombrables exploits lui furent attribués, surnaturels, divins.
Dans les légendes médiévales juives, islamiques et chrétiennes, le sceau de Salomon était un anneau magique que le roi Salomon (Sulaymân dans la version islamique) était censé avoir possédé. Cet anneau magique lui donnait simultanément le pouvoir de commander les démons et les génies ou de parler avec les animaux. Le Coran, sans citer explicitement le Sceau, fait une large part à ces légendes sur les pouvoirs de Salomon. Dans un des Contes des Mille et Une Nuits, on trouve une allusion explicite. Un mauvais génie, emprisonné dans une bouteille de cuivre scellée par l’anneau en question, ne put en sortir pendant 1800 ans. La puissance du sceau l’y a maintenu tout ce temps. (source)Les mille et une nuits, Wikipédia Le mauvais génie a fini par en sortir quand Corto Maltese a récupéré l’anneau. A moins qu’il ne s’agisse du Gollum.Non je déconne Bref, on ne prête qu’aux riches. La réputation sulfureuse de Salomon vient de son usage de technologies oubliées, que le peuple a pris pour des sortilèges diaboliques.
On ne compte plus les histoires-enseignements soufies qui font intervenir démons et génies. Très souvent le sceau de Salomon y est mentionné voire décrit. Dans certaines versions, le sceau est fait de fer et de laiton, serti de quatre joyaux, avec le nom de Dieu gravé. Dans des versions plus tardives, l’anneau porte simplement ce qu’on appelle maintenant l’étoile de David ou hexagramme, à l’intérieur d’un cercle ou d’un ourobouros, serpent qui se mord la queue, symbole de l’éternel retour. D’autres versions le voient comme un pentagramme, ou comme d’autres figures plus compliquées. Dans une histoire arabe, on prétend que le démon Sakhr a trompé une des femmes de Salomon pour lui dérober l’anneau. Sakhr aurait alors régné à sa place pendant quarante jours (quarante années, dans certaines versions) tandis que Salomon errait misérablement dans la contrée. Toutefois, par la suite, Sakhr ayant jeté l’anneau dans la mer, celui-ci fut avalé par un poisson qu’un pêcheur attrapa, et qui fut servi à Salomon.
Comme punition, le shaytan Sakhr dut construire
une grande et magnifique mosquée pour Salomon. (source)Janik Pilet, Dieu ou la pierre philosophale du physicien
Cependant, la plus ancienne de ces histoires date de plus de mille ans après Salomon, et l’histoire du poisson, en particulier, présente une forte ressemblance avec le conte de Polycrate de Samos par Hérodote. Il n’y a pas de fumée sans feu. Pourquoi prête-t-on cette connaissance magique à Salomon, faisant de lui le pendant biblique du grand Hermès Trismégiste ? Pourquoi est-ce lui, et non son père David ou son grand-oncle Moïse, qui est censé posséder ces dons chamaniques ? De nombreux récits et dessins médiévaux montrent comment le palais de Salomon fut bâti avec l’aide des djinns et des anges. Il faut croire que ce palais renfermait des merveilles telles que nul ne pouvait alors imaginer qu’elles fussent issues… de la science ! Tout se passe comme si le puissant Salomon eût hérité de savoir-faire très antérieurs à son temps. Il semble qu’il ait utilisé une machine volante ; bâti sur ses ordres, un capteur de foudre dominait le Temple de Jérusalem, à des fins spirituelles et technologiques.
Ce temple, le premier temple de Jérusalem, Salomon l’avait fait bâtir selon un plan et des indications précises, et sans doute aussi à l’aide de technologies oubliées qui, aux yeux des ignorants, passèrent pour de la magie. Quant à l’aide des djinns, n’oublions que l’antique terre de Judée était le berceau de plusieurs espèces de géants. Les Juifs prétendent même que tous les géants qui jadis ont peuplé la terre venaient de chez eux. Bien des prouesses impossibles hier sont aujourd’hui banales.
Salomon fut un initié d’Isis, il reçu de l’Arche d’Alliance une décharge électrique qui réveilla ses pouvoirs surnaturels. Ce sont des pouvoirs latents, que nous possédons tous, et qui sont réveillés par l’illumination mystique, ou bien encore par des méthodes électroniques beaucoup plus rapides : un survoltage calculé du système nerveux central. Salomon reçut cette initiation avant la mort du roi David, son père. Et il y a tout lieu de croire que David l’avait lui-même reçue dans les mêmes conditions, par l’effet de l’Arche.
David règna sur Israël après sa victoire sur les Philistins, qu’on appelle aujourd’hui des Palestiniens. Plus ça change et plus c’est pareil. Avec sa fronde, David a balancé une pierre sur le géant Goliath. QUOI !! Un Juif cailloute un Palestinien ?? Ce sont donc les Juifs qui ont inventé l’intifada… David était le neveu du patriarche Moïse, qui fut bien sûr le premier initié de la lignée d’Israël, grâce à la foudre et à l’Arche d’Alliance, sur le mont Sinaï. Toute cette histoire d’arche d’alliance sent très fort la haute technologie et l’énergie vril, Steven Spielberg ne s’y est pas trompé dans ses Aventuriers de l’arche perdue.
Et puis il y a une autre explication, très scientifique, à cette forme magique qui n’est magique que pour notre ignorance. Cet article est en cours d’écriture, sa parution est imminente…