L’argent ! Question triviale qui embarrasse mystiques, religieux et prophètes. Jésus a chassé les marchands du temple, excédé par leur soif d’argent. Un homme lui demande s’il faut payer l’impôt à Rome. Il montre l’effigie de l’empereur sur la monnaie romaine et dit : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. »
Personne ne peut servir deux maîtres, ajoute le Nazaréen. Vous ne pouvez pas servir Dieu et l’argent. Et Bob Dylan remet une couche: Quoi que vous fassiez, vous devrez servir quelqu’un. Alors faites le bon choix. (source)
Peu de prophètes ont osé glorifier l’argent sauf Dollar Bill, Oncle Picsou, les Kardashian et les Mormons de Las Vegas. Les riches qui ne créent pas de richesse sont des maux sociaux à combattre, a déclaré Lao Surlam. Il n’aurait pas du. Les riches l’ont eu. Il est mort pendu, son corps incinéré, ses cendres éparpillées dans les souches d’un troupeau de porcs. À qui le tour?Mauvaise blague. Lama Lao va bien.
Si l’argent ne fait pas le bonheur, rendez-le.
Gautama était un prince, fils de rajah cousu d’or. Né avec une cuillère en argent dans la bouche, Gautama a décidé d’envoyer tout balader, argent, pouvoir, argent, honneurs, argent, luxe, argent, confort et surtout argent. Il est devenu Bouddha, le énième du nom, le reste est connu. On lui attribue à tort l’enseignement du bouddhisme. Par ignorance ou par tromperie? Le bouddhisme est né du lamaïsme, enseigné aux humains par Rama le Grand.
Le lamaïsme était bien plus que le bouddhisme tibétain. Pour se faire une idée, il faudrait associer les pratiques du bouddhisme tibétain à celles des Böns, l’ancien peuple du Tibet, qui sont des magiciens, des chamans, des guérisseurs, des lanceurs de sorts. Cette très ancienne lignée viendrait des compagnons celtiques du druide Ramos. Le même homme, à mon avis, qui est devenu Pharaon Ra, fils du Soleil et du Soleil lui-même. Son règne lumineux sur l’Égypte mythologique l’éleva au rang des plus grands dieux du panthéon.
Le même homme qui a traversé les déserts, les mers, les montagnes, bravé les précipices ouragans et typhons, affronté des hordes hostiles, conduit ses troupes aguerries sur les chemins du monde et partout, des enfants étonnés ont tracé son nom dans la poussière des armures. Rama.
Le même homme dont les exploits ont été attribués à Moïse conduisant l’exode de son peuple, qui en réalité n’était pas hébreu mais celtique. Le même homme, dans la caricature d’Homère, qui s’appelle Ulysse l’indécis et qui accumule les malheurs contrairement à son illustre modèle. Dans les tavernes où se produisait l’aède Homère, cette drôle de fable avait une fonction cathartique. Parce que le vrai Rama n’est pas quelqu’un qui prête à rire. Il n’a rien d’indécis ou de timide. Si nous en rions, c’est la résilience, le pardon, la purification. Psychodrame et dynamique de groupe, toute la taverne a été guérie.
Fils hyperboréen d’un prince céleste, réconciliateur des druides et druidesses, guérisseur des malades et des invalides, conquérant planétaire, civilisateur des peuples, instructeur, entraîneur, Rama était tout cela et bien plus encore. Son règne dura plus de mille ans, sans que je puisse dire si c’était son règne personnel ou celui de sa dynastie.
De nombreux rois ont porté ce nom. Rama fut pendant longtemps le druide enchanteur, le prince charmant, le bon dieu, l’idole, l’aimé, le christ, le sauveur, le compatissant, le bienveillant, le guide, le plus haut, le plus humble, le surhumain, celui que nous invoquons, celui que nous prions, celui dont le nom ouvre toutes les pétitions.
Je vous enseigne le Surhumain. L’homme n’existe que pour être dépassé. Qu’avez-vous fait pour le dépasser ?
Son enseignement, à ma connaissance, ne concerne pas l’utilisation de l’argent. N’y en avait-il qu’à son époque? C’est douteux. Nous avons payé en personne, en jours de travail ou en esclavage volontaire. Certains spécialistes datent l’apparition d’une monnaie d’échange à la période néolithique. Les coquillages, les cauris, étaient l’or de l’époque.
« Les cauris ou Cypraea moneta, sont de petits coquillages importés des îles Maldives. Leur nom vient du mot sanscrit ou kapardika transformé par les anglais en cauri ou cauris. Ils auraient été apportés par les Arabes sur les côtes orientales de l’Afrique.
À l’origine, les cauris étaient utilisés à diverses fins et étaient la monnaie en Afrique de l’Ouest, en particulier à l’époque des grands empires du Ghana, du Mali et de Songhaï. Il est l’ancêtre de l’argent. Et qui dit argent, dit commerce, économie, finance, rentabilité, prospérité. » (source)
Zéro spéculation, zéro intérêt, grande égalité devant le gain: libre accès aux plages où se trouvent ces coquillages. Peu à peu, il semble que les sites de cauris aient été fermés et le trafic contrôlé. Une mise en ordre de ce qui allait devenir un jour le système bancaire. Mais le pire côté de l’argent n’est pas dans les cauris. Ce côté obscur, qui apporte malheur et dégradation, c’est la spéculation. Le prêt à intérêt. Ici, les cauris n’ont plus cours.
Je pense que l’or a toujours été la valeur refuge. Les Hyperboréens nous ont éduqués, ils nous ont tout transmis, et avant tout leurs propres valeurs. Pour eux, l’or était indispensable. Il leur en fallait énormément. Cupidité ? Peut-être. Nécessité ? Sans doute. Toujours est-il qu’ils nous ont transmis leur respect pour ce métal aux innombrables vertus. Ils en avaient toujours besoin de plus pour leur vaisseau ou pour leur planète d’origine, Ur, système d’Alcor, constellation d’Ursa Major, la Grande Ourse. J’ai montré comment le phonème d’or jouait un rôle fondateur pour nos civilisations. Et aussi comment l’histoire des anciens dieux est toute contenue dans ce phonème d’or.
L’or est vice et folie. Le péché des dieux comme celui des hommes. Qui corrompt, qui rend fou, qui tue. Insatiable, il appelle sans cesse aux sacrifices humains. Notre monde est né pour l’or, c’est l’or qui le ronge et qui nous minéralise et métallise. L’homme devient pierre comme son cœur, fer comme sa race. Athanor. La pierre se transforme en or. L’homme est mort. Il bande encore.
Non, nous n’avons pas été créés uniquement pour extraire de l’or ou de l’uranium. Nous n’avons pas été créés juste pour être les jouets sexuels des dieux avant. La première raison, selon la bibliothèque d’argile des rois d’Assyrie, est que le dieu des dieux MardukZeus voulait manger des légumes.
Ses serviteurs les Anges Géants n’ont aucun don pour l’agriculture. Marduk demande donc à ses généticiens de créer une espèce d’êtres intelligents de petite taille, doués pour la relation avec les plantes. Les anciens dieux et leurs anges étaient des reptiliens. Et comme nous le savons, les reptiliens n’ont pas de cheveux.
Chez l’homme, comme chez d’autres mammifères terrestres, les cheveux, les crinières et les poils sont un canal de communication avec le règne végétal. Les reptiles ne l’ont pas. Les textes sumériens disent que Marduk / Zeus / Yahveh voulait un être avec de petits doigts, capable de manipuler des graines et de transplanter des boutures, ce dont ses anges étaient bien incapables.
« Tu es le jardinier de ce jardin » dit Yahveh Zeus au petit Adam. Notre ancêtre est d’accord. Il adore cultiver son jardin d’Eden. Dieu ajoute: « Tu es le gardien de ce zoo« . Le petit Adam secoue la tête. « Faudrait d’abord voir à enlever toutes les bestioles géantes. Elles sont faites pour les chasseurs de 4 mètres. Je me contenterai de fauves à ma taille et de proies herbivores. » Et astucieux, il ajoute: « J’adore les légumes. Goûte-moi ça, je t’en ai fait une cocotte.«
Yahvé Zeus s’est régalé, il a bien digéré, hamdoullah ! il a donc exaucé la prière d’Adam. Il a fait exterminer toutes les grosses bêtes qui grouillaient dans l’hémisphère nord, les mammifères géants, les reptiliens issus des dinosaures, y compris les redoutables dragons volants qui crachent du feu. Satisfait, Adam a commencé à cultiver sa planète. Et depuis, ça continue comme ça peut entre deux guerres. La guerre rapporte. Et le profit règne sur ce monde.
Mais il ne règne plus sur nous, qui sommes dans le monde, et déjà hors du monde. Nous avons quitté Zombiland. Nous sommes les Hors-Nid. Nous sommes dehors. Trésor d’or, argent d’agent, peu importe ! Nous sommes l’or vert ! C’est la nature, c’est l’agriculture, c’est l’horticulture. Nous cultivons comme nous aimons. Nous tenons ça de nos lignées génétiques d’herbivores. Même si nous avons du porc omnivore en nous, nous sommes majoritairement issus du bonobo: frugivore, granivore, végétarien comme lui. Mais pas végétalien: on dit qu’il est aussi insectivore.
Bref, on adore les légumes, les graines, les fruits, surtout quand on peut grimper à l’arbre pour les cueillir!
La peur ressemble à l'ego. Tant qu'on est vivant, on ne s'en débarrasse pas.
Il n'y a pas quatre éléments, mais cinq. Le premier s'appelle l'éther. On l'a oublié…
Oui, perdu. Mais qu'on ne s'inquiète pas, le remplaçant est prévu.
Je vous demande un ultime effort pour sauver Eden Saga. C'est maintenant !!
L’aventure Eden Saga aura duré dix huit années. Reste encore UNE chance, la toute dernière.
Le Yi King nous est parvenu incomplet. J'ai restauré un hexagramme.