Quand les dieux d’avant se sont posés sur la troisième planète du système solaire, ils l’ont nommé Ter, qui veut dire trois, et Ra, qui est le nom premier du soleil. Terra, la Terre, n’est pas un nom dû au hasard, mais un code qui signifie troisième planète du système de Ra.

Ils ont très vite compris le potentiel que recelait cette planète sauvage. Mais pour l’aménager, ils avaient besoin d’une énorme quantité de temps et d’énergie. Le temps, ils l’avaient : leur vie durait plusieurs millénaires, quant à l’âge de leur civilisation, il se compte en éons, en milliards d’années. Et l’énergie, ils l’ont trouvée sur place.

La foudre constitue une source d’énergie renouvelable, inépuisable. Les terraformeurs savaient attirer la foudre, éclater l’éclair, l’émietter en boules de foudre. Avant de parsemer la Terre de centrales fulgurales, difficiles à construire et longues à mettre en oeuvre, ils ont utilisé l’énergie atomique. Oui, vous avez bien lu.

L’énergie de l’atome est la première source d’énergie dont ils se sont servi quand il a fallu terraformer la planète encore sauvage, il y a deux milliards d’années. Ils avaient un besoin urgent d’uranium enrichi pour les moteurs surpuissants de leurs vaisseaux-mères. En témoignent les réacteurs nucléaires découverts au Gabon, et qui ont déclenché une querelle dans la communauté scientifique : les conclusions officielles ont opté pour le caractère naturel de ces réacteurs, tandis qu’une partie de la commission scientifique se désolidarisait de ces conclusions jugées fantaisistes et irréalisables.

Force est restée à la thèse officielle. Pourtant, à travers le monde, de nombreuses traces d’atomisation sont encore visibles, comme la Mer Morte, le désert de Gobi, les lacs salés de Turquie et des USA, le plateau granitique breton, etc. Selon moi, l’énergie nucléaire a été utilisé comme source motrice et calorifique, mais aussi sous forme de bombes atomiques, lors de conflits majeurs dont on peut trouver trace dans la Bible comme dans le Mahabharata et dans de nombreuses autres sources mythologiques.

La terraformation d’une planète sauvage, comme l’était la Terre avant les dieux astronautes, est une tâche colossale. Les dieux terraformeurs ont donc utilisé des colosses, comme les Cyclopes qui atteignaient la hauteur invraisemblable de 54 mètres.

Mais leur force musculaire pourtant considérable était loin de suffire à la besogne. D’énormes engins et autres moyens techniques sont sortis des soutes de leur vaisseau-mère Hyperborée. Il s’agissait de déplacer des montagnes, creuser de nouveaux lits pour les fleuves, assécher des marais, planter des forêts, tailler d’énormes blocs de pierre, perforer des tunnels sous tous les continents, et bien d’autres tâches qui peuvent nous paraître inimaginables. Pourtant ils l’ont fait.

 

 

Avant le déluge, la foudre fournissait l’essentiel de l’énergie dont ils avaient besoin. Il en fallait beaucoup pour faire fonctionner leur énorme vaisseau et ses innombrables machines dédiées à l’aménagement de la planète. En Angleterre, dans le Wiltshire, j’ai eu pour la première fois une claire image de cette hallucinante technologie. C’est même avec cette intuition fondamentale que j’ai commencé l’écriture du site que vous consultez à présent. J’étais loin de me douter jusqu’où les Maîtres de la Foudre allait m’amener en dix ans…

Mille articles, plusieurs milliers d’images, des centaines de citations, une exploration minutieuse de toutes les strates de notre fabuleux passé, le point de vue de la philosophie, de la psychanalyse, de l’archéologie, de la géologie, les trésors de l’hermétisme, du nagualisme et du soufisme, la sagesse des anciens Celtes, Indiens, Chinois, Amérindiens, la véritable épopée de la civilisation Noire d’Afrique et du monde, les mensonges de l’histoire, les perspectives, les nouvelles sciences, les nouveaux paradigmes, le développement personnel, l’initiation, les chemins d’éveil, voilà quelques-uns des sujets que j’aborde et qui, tous, étaient en germe dans ma vision de la centrale fulgurale d’Avebury.

J’étudiais déjà ces questions depuis des années dans les vieux mythes et les textes sacrés. Mais pour comprendre l’inimaginable, rien ne vaut le travail de terrain. J’étais avec ma fée Morgane sur les sites mégalithes du Wiltshire, au Royaume Uni. Dans une vision éveillée, nous avons vu fonctionner l’ensemble mégalithique d’Avebury. L’un après l’autre, tous les rouages de la grande machine de pierre reprenaient vie sous les éclairs bleus. Éblouis, nous avons compris qu’il s’agissait d’une usine à foudre, une antique centrale d’énergie fulgurale comme il en existait des centaines sur la planète, et j’ai pris une grande leçon d’humilité.  

Les terraformeurs étaient surhumains. Malgré toute notre science, nous sommes très loin de les égaler. Voici un aperçu de leur science : écologique, salutaire et sublime. Une centrale fulgurale se compose d’un capteur de foudre, d’un éclateur et d’un transmetteur. L’éclateur peut se nommer un paratonnerre, car comme celui-ci le rôle du capteur est d’attirer la foudre. Le capteur de foudre peut être un pyramidion, petite structure pyramidale au sommet des grandes pyramides. Le capteur peut aussi être n’importe quelle pièce métallique ou minérale, chargée d’un potentiel négatif qui attire l’éclair.  

A Avebury, le capteur était juché au sommet d’une pyramide conique, Silbury Hill. Ce pyramidion métallique a disparu aujourd’hui.  Des capteurs métalliques du même type couronnaient le temple de Salomon à Jérusalem, comme la pyramide d’Akapana à Tihuanaco ou les grandes pyramides de Gizeh près du Caire.

Ces pyramidions étaient composés d’un alliage d’or, d’argent, d’orichalque et de cuivre, métaux précieux à toutes les époques. On devine qu’ils ont été récupérés et fondus depuis belle lurette. La particularité de la pyramide de Silbury tient dans sa conception : véritable pile électrique géante, elle comprend de nombreux compartiments en granit remplis de calcaire alcalin. Elle formait un accumulateur capable d’alimenter le capteur sommital en énergie négative, afin d’attirer l’éclair. 

 

 

Cet éclair étant mortel, les terraformeurs savaient s’en protéger. Ils ne gardaient que le pouvoir divin, ce choc sacré qui donne l’éveil. Brusquement sollicitée par l’élévation de la tension nerveuse, la kundalini ouvre en grand les sept chakras, depuis le centre de base, le périnée, jusqu’au chakra couronne, la fontanelle. En une fraction de seconde, l’impétrant est initié au plus haut degré.

Mais me direz-vous, comment se protéger des effets dangereux de l’éclair ? C’est précisément le rôle de l’éclateur : séparer la force létale de la puissance sacrée. Les dieux astronautes savaient fort bien la différence capitale entre l’éclair et la boule de foudre. Autant l’éclair peut tuer, ou blesser grièvement, autant la boule de foudre se révèle inoffensive, mais jamais anodine. Elle est capable de véritables prouesses. La boule de foudre joue des tours qui s’apparentent aux farces des lutins, korrigans, leprechauns et autres farfadets. D’aucuns prétendent même que les fameux crop-circles du Wiltshire seraient tracés par des boules de foudre…

La question devient : comment changer l’éclair en boules de foudre ? Réponse : il suffit de l’éclater. A Avebury, deux alignements de menhirs polarisés forment une ligne électrique. Dans cette ligne, l’énergie vril issue de la pierre éclate la puissance létale de l’éclair qui se transforme en boules de foudre. Un bassin d’eau entoure le pied de la pyramide. L’eau participe du processus en tant que transmetteur.  Elle joue aussi un autre rôle, capital : quand elle a reçu le baiser de l’éclair, son taux vibratoire a augmenté, son PH est différent, comme celui de l’Eau de Jade.

Ces boules de foudre se comportent comme des êtres intelligents. Elles sont la manifestation de l’énergie vril la plus pure, que j’appelle l’énergie d’éveil, et que l’on reconnaît à présent sous le nom d’ondes scalaires. Oui, mes chers amis, doucement nous sommes en train de redécouvrir les connaissances prodigieuses des dieux d’avant, ces astronautes capables de créer des espèces végétales et animales, d’aménager l’atmosphère et la géographie d’une planète et de la peupler d’êtres supérieurs, en tous points leurs semblables, sauf pour la durée de vie.

Pourquoi les terraformeurs utilisaient-ils l’énergie de la foudre, puisqu’elle semble très délicate à manipuler ? Parce qu’elle est l’énergie la plus précieuse : inépuisable, non polluante, bénéfique à tous points de vue. Les dieux d’avant s’en servaient dans un triple but.
– Primo, la foudre vibrait l’eau du bassin au pied de la pyramide. Toutes les pyramides étaient à l’origine entourées d’eau, élément indispensable. Bénie par la foudre, l’eau servait à la consommation humaine, animale et végétale, sous forme d’irrigation potagère et céréalière.
– Secundo, les boules de foudre servaient à l’éveil des guerrières et des guerriers. Le vril des boules de foudre augmentait la résistivité de leur système nerveux neuronal. L’éveil électrique survient quand un fort potentiel électrique déclenche une montée de kundalini. C’est le vril d’éveil.
– Tertio, l’énergie électrique basique séparée du vril d’éveil était utilisée pour faire tourner les machines et les moteurs. Voilà la grande vérité qui se cache dans notre électricité. Elle est triple, comme chacune, comme chacun de nous. L’être humain complet est CORPS + CŒUR + ESPRIT. L’électricité est le corps, le vril est le cœur, la foudre est l’esprit.

 

 

Xavier Séguin

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