Carlos Castaneda
Dans les années 70, pour toute une génération, Castaneda ouvre les portes de l’ailleurs
Dans les années 70, pour toute une génération, Castaneda ouvre les portes de l’ailleurs
Le guerrier dont il est question ici ne se bat qu’avec lui-même. C’est le combat le plus difficile.
Pourquoi éprouvé-je le besoin de ressasser sans cesse les excès passés du saint désossé ?
Si notre cerveau est un ordinateur, ce qui semble le cas… Qui a fait les programmes ?
Chaud Patate, oui-da, chaud comme la braise qu’il écrivait Breizh, le gueux béni.
Face à la vérité, méfions-nous des menteurs polis et des honnêtes benêts.
Haïssable Saint-Valentin, punition pour les solitaires, double peine pour les célibataires
Seule ton aide est précieuse pour toi. Agis. Et positive.
Celui qui va partir a dans les yeux quelque chose qui m’alerte. Je vois la mort sur lui.
Telle est notre aventure terrestre : le plus insondable mystère c’est nous-mêmes.
Le guerrier de lumière se sent souvent seul et désarmé face à l’infini.
Dormir en guerrier est le plus sûr chemin vers l’infini mystère de l’esprit