Quelle que soit l’époque, l’activité humaine n’a pu se passer de sources énergétiques. Au fil des âges, on a recouru à différentes sources d’énergie : avant les énergies renouvelables, avant le nucléaire, avant le pétrole, nos ancêtres ont utilisé l’hydro-électricité, le charbon, l’énergie animale ou humaine. Ainsi l’histoire de l’énergie devient un raccourci de l’histoire des hommes. Mais l’énergie parfaite fut celle de la foudre…
Regarder un peu en arrière nous donne une impression de progrès. Passer de l’âne au nucléaire semble en être un. Mais si l’on regarde beaucoup plus loin en arrière, l’impression de progrès s’estompe. L’homme contemporain se sent tout petit devant ses technopères. Les Atlantes appartenaient à une civilisation technologique. Pour les grands travaux qu’ils ont entrepris, ils ont utilisé l’inépuisable énergie de la foudre : ils en ont transmis les principes aux civilisations suivantes.
Cotte, Louis (1740-1815) Prêtre de l’Oratoire. – Professeur de philosophie et de théologie à Montmorency. – Météorologiste. – Conservateur de la Bibliothèque Sainte-Geneviève de 1798 à 1805). Membre de la Société impériale d’agriculture de Paris, de celle de Versailles, etc.
« Il paraît que la manière d’attirer la foudre par le moyen du conducteur électrique n’était pas inconnue aux Anciens, et que c’était un de ces mystères relevés à la connaissances du Chef de la Religion. Voici comment en parle Pline le Naturaliste (Lib II, cap LIII), M. de Sivri traduit ainsi ce passage : « Les Annales font foi qu’au moyen de certains sacrifices et de certaines formules, on peut forcer la foudre à descendre, ou du moins l’obtenir du ciel. Une ancienne tradition porte que cela a été pratiqué en Étrurie chez les Wolsiniens, à l’occasion d’un monstre nommé Volta, qui après avoir ravagé la campagne, était entré dans leur ville…
Lucius Pison rapporte que Numa Pompilius avait souvent fait la même chose, et pour s’être écarté du rite prescrit dans l’invitation de cette pratique mystèrieuse, Tullius Hostillius fut lui-même foudroyé dans nos bois sacrés. Nous avons aussi admis un Jupiter Elicien : « Ellicium quoque accepissius Jovenn ». On peut voir dans les savantes notes du traducteur comment il prouve qu’il s’agit d’électricité. » (source)
Il est curieux que parmi les dieux d’avant de toutes les très antiques civilisations on trouve en bonne place un dieu de la foudre. C’est souvent le dieu des dieux, comme Zeus. Je suis persuadé que si ces dieux de la foudre étaient partout sur terre, c’est parce que les dieux d’avant avaient une maîtrise totale de cette énergie, qu’ils ont transmises ensuite aux humains.
Pendant plusieurs millénaires, les Atlantes ont développé une civilisation brillante, supérieure à la nôtre à bien des égards. Bien sûr, il y a quelque chose de très surprenant là-dedans. On peut admettre que leur civilisation ait été plus avancée sur le plan spirituel. On peut imaginer qu’ils exerçaient un contrôle sur leur environnement, grâce à certains pouvoirs que nous avons perdus. C’est vrai, mais pas seulement. Ils maîtrisaient une technologie futuriste que nous n’avons pas encore ressuscitée.
En ce cas, les Atlantes ont-ils développé leur civilisation sur terre ? Ou sont-ils venus d’une autre planète déjà développée ? Toujours est-il qu’ils utilisaient l’énergie de la foudre de différentes manières, à des fins diverses, comme vous le verrez dans cet article et dans d’autres énumérés ci-dessous.
Les Atlantes et les Hyperboréens produisaient de l’énergie dans des centrales fulguralesvoir en fin d’article comme Areva en produit aujourd’hui dans ses centrales nucléaires.
Le parallèle peut sembler choquant, parce que nous avons du mal à imaginer qu’une civilisation aussi ancienne puisse être développée sur le plan technologique. Pourtant, durant plusieurs millénaires, les Atlantes ont développé une civilisation brillante, très supérieure à la nôtre par bien des aspects. Je le conçois, il y a de quoi être surpris.
On peut admettre que leur civilisation fut plus avancée sur le plan spirituel, par exemple. On peut croire qu’ils possédaient une maîtrise inconnue de leur environnement, grâce à des pouvoirs que nous avons perdus. C’est vrai, mais ce n’est pas seulement ça.
La maîtrise des Anciens s’étendait au domaine de la technologie et de l’énergie. La fulgurologie surtout leur était primordiale. Écologique. Car à la différence de l’atome radioactif ou des énergies fossiles, la foudre est 100% propre, 100% renouvelable. Les Atlantes avaient depuis des dizaines de milliers d’années une parfaite maîtrise de la foudre, comme de l’électro-magnétisme et de la gravitologie. Si peu que ce soit, leur expertise s’est transmise à nos lointains ancêtres. Et si nous en avons oublié l’essence, nous pouvons en raviver l’existence.
La terraformation et l’aménagement d’une planète nécessite de multiples activités, donc d’énormes quantités d’énergie. Ils produisaient de l’énergie Vril dans des pièges à foudre ou centrales fulgurales. Le principe en est fort simple, si la réalisation l’est beaucoup moins : un capteur attire l’éclair ; un éclateur l’émiette en boules ; des lignes conductrices, métalliques ou non, acheminent les boules d’énergie jusqu’aux lieux de consommation.
On peut se demander pourquoi les Atlantes possédaient une telle avance. En effet, les fouilles archéologiques n’ont pas révélé de traces probantes de l’utilisation de machines ou de systèmes mécaniques. L’objection ne tient guère : nous avons en des témoignages. Les Romains utilisaient des machines complexes pour tailler des feuilles de marbre, par exemple. Ces feuilles de 2cm à 4cm d’épaisseur servaient au placage des murs. Elles étaient sciées par des lames dentées parallèles pouvant découper jusqu’à dix feuilles en une fois. Ces scies industrielles étaient actionnées par des esclaves, comme les pompes hydrauliques d’un usage courant à cette époque.
Les Grecs et les Romains avaient d’autres machineries dans leurs théâtres et pour les jeux du cirque. Des objets métalliques ont existé pour faciliter certains calculs, telle la calculatrice d’Anticythère. Mais l’antiquité n’appartient pas à la même époque que l’Atlantide, largement antérieure. Son activité a démarré pendant la protohistoire, période intermédiaire entre l’histoire antique et la préhistoire.
À Puma Punku dans les Andes on peut admirer d’étranges pierres sculptées de formes géométriques. Il s’agit manifestement de socles sur lesquels étaient fixées des machines outils. S’il ne reste que les socles, c’est pour une raison évidente : ces machines étaient trop précieuses pour que les Atlantes les laissent derrière eux.
Et leurs machines volantes? Si on n’a retrouvé aucune, on en a des descriptions fort éloquentes. La plate-forme d’atterrissage est décrite, elle s’appelait un trône de Salomon. Le grand roi hébreu a sillonné l’Asie à bord d’un engin volant qu’il tenait probablement des Atlantes. Comme tout leur matériel sensible, les dieux d’avant ont remportés tous les autres aéronefs.
Ainsi, malgré de nombreuses représentations sur les fresques, on n’a jamais retrouvé aucune couronne des pharaons des premiers âges de l’Égypte. Ces couronnes étaient des objets de haute technologie, si on en croit les descriptions des couronnes d’Osiris. Aussi les maîtres du monde les ont-ils rembarquées. Pour eux, ce sont des outils de travail. La terraformation se poursuit ailleurs.
Ici, lors d’un voyage d’études dans les Andes, mon meilleur ami Jean-Claude Devictor se trouve à Puma Punku, près d’un bloc taillé à encoches qui évoque un socle où reposaient jadis des machines de métal, aujourd’hui disparues. Beaucoup de ces blocs sont encore visibles dans le secteur.
Les Atlantes sont descendus du ciel comme il sied aux dieux. Ils ont posé leur astronef au milieu de l’Atlantique. Les terraformeurs de planètes procédaient toujours ainsi. Pour jouir d’un confort plus que moderne sur les planètes sauvages, il est plus simple d’apporter sa maison. Une fois leurs travaux finis, ils sont remontés au ciel selon la coutume divine.
Pendant toute la durée de leur séjour terrestre, ils furent les maîtres du monde. Leur vaisseau-mère s’appelle Hyperborée, mais il possède beaucoup d’autres noms. Ce vaisseau-mère a semé plusieurs astronefs flottants, de forme circulaire, sur trois océans. Sur l’océan Atlantique, ce fut l’Atlantide. Sur l’océan Indien, ce fut le Pays de Pount qu’on nomme aussi la Lémurie, et sur l’océan Pacifique ce fut Mu.
Je pense aux milliards de kilowatts attirés par nos paratonnerres pour être stupidement remis à la terre. Certes, c’est excellent pour booster les racines des plantes et embellir les potagers. Mais il y a beaucoup d’autres usages possibles de cette énergie gratuite, déjà captée, prête à être utilisée. Il suffirait de la transformer et de l’acheminer.
Mais notre civilisation n’adore qu’un seul dieu : l’argent. La monnaie. La thune. Le fric. Le pèze. Le pognon. L’artiche. Les pépites, Les pépettes. L’or. Eh oui, nous ne sommes pas pour rien les Enfants des Archontes. Les héritiers des fiers dragons qui roupillent en sous-sol sur les montagnes d’or dont ils ont la garde.
Tu ne peux pas servir Dieu et Mammon, dit la Bible. Il semble que cette humanité ait choisi d’adorer Mammon.
Il semble que la terraformation terrestre ait débuté il y a plusieurs milliards d’années. C’est au Gabon, en forant des mines d’uranium, qu’on a fait une découverte hallucinante : des réacteurs nucléaires préhistoriques!!
Un de ces réacteurs datant de 1,8 milliard d’années aurait fonctionné au moins 500.000 ans! La nouvelle peut faire l’effet d’une bombe ou d’un pétard mouillé, tout dépend comment on en parle. La découverte de ces réacteurs a surgi d’un détail. La détection d’un problème avec l’uranium 235 de la mine Oklo, Gabon.
Après moult palabres et chamailleries, la communauté scientifique a déclaré que ces réacteurs étaient naturels. Quelques dissidents ont quitté le tour de table, persuadés que la conclusion était impossible. Pour eux, ces réacteurs sont des artefacts. Dans ce cas, qui les a fabriqués?
Sous divers noms, Hyperborée est présent dans toutes les légendes mythologiques de quelque importance. Cette île géante suspendue dans le ciel du nord a frappé les imaginations à tel point que son souvenir s’est transmis à l’antiquité gréco-latine par l’intermédiaire de l’Inde et de l’Égypte, conservatoires du savoir ancien et de notre origine.
Le diamètre d’Hyperborée avoisinait les 5000km. Sa surface était partagée en quatre quartiers, quatre îles triangulaires séparées par quatre fleuves. Au centre s’élevait un mont, que les anciens Grecs appelaient Olympe, et les anciens Indiens le Mont Mérou. Ces quatre îles ont reçu de nombreux noms, dont le plus explicite, l’Île des Quatre Maîtres, les Quatre Îles du Nord.
Nous n’avons qu’un soleil, mais ce ne fut pas toujours le cas. Certains systèmes stellaires possèdent plusieurs étoiles. C’est arrivé ici même il y a fort longtemps. La deuxième étoile brillait beaucoup plus fort que la première. Auprès d’Elle, notre vieux soleil lointain semblait si terne!
Cette deuxième étoile, plus petite que notre soleil, était aussi beaucoup plus proche: elle était en vol stationnaire à 200km au-dessus du pôle nord. Et tout l’hémisphère était baigné d’une lumière invincible, car aucune nuit n’en voilait l’éclat. Du coup le soleil, l’ancien, aux yeux des humains semblait une deuxième lune.
Hyperborée, tel était le nom de ce deuxième soleil éclipsant le premier. Les dieux venaient d’Hyperborée, leur visage était lumineux comme leur île en plein ciel. Géants de 4m ou davantage, on les appelaient Fils du Soleil. Toutes les traditions pré-antiques honorent leurs élites de ce titre prestigieux, façon de dire que la noblesse descend des dieux d’avant descendus du ciel.
Voyez ci-dessus comment la foudre était captée par un tumulus ou une pyramide. La foudre était captée par une pointe de métal conducteur, le pyramidion sommital des pyramides. Le tumulus de Silbury Hill fait partie d’un vaste ensemble, le site préhistorique d’Avebury, dans le Wiltshire. Ce comté est célèbre pour ses crop-circles et pour un autre monument mégalithique de notoriété mondiale, le temple de Stonehenge.
Avebury revêt pour moi une importance particulière. Ses alignements, son cromlec’h, son allée couverte et son tumulus sont à l’origine d’une découverte majeure : elle m’a donné envie de créer ce site il y a 16 ans. En 2008, il s’appelait Les maîtres de la foudre. L’année suivante, j’ai élargi mon propos, Eden Saga était née. Le bébé est devenue une adolescente qui me comble chaque jour. Et l’aventure d’Eden Saga ne fait que commencer.
Bâtie de mains d’homme il y a des millénaires, la pyramide de Silbury « est un tumulus de 40 mètres de haut, situé près d ‘Avebury, comté du Wiltshire, UK. Cette région est couverte de monuments néolithiques de toutes sortes, comprenant le henge d’Avebury, deux alignements mégalithiques, le tumulus à chambres de West Kennet et, 30 km plus au sud, l’ensemble monumental de Stonehenge ».
Henge : mot anglais qui se traduit parfois cromlec’h, cercle de pierres, ou enceinte mégalithique. Traduction approximative, pour la bonne raison que nous n’en avons pas de modèle chez nous.
Les centrales à foudre des dieux d’avant se composaient de trois machines principales :
1- une antenne ou capteur qui attire l’éclair. Par exemple, le pyramidion polymétallique qui couronnait la cime des pyramides. Il fallait créer une polarité négative dans le capteur, grâce à plusieurs techniques: mégalithes à polarité alternée, réseaux de tuyauteries,Notons que l’eau, enrichie par les nitrates de la foudre, servait ensuite à l’irrigation des cultures. Voir plus bas condensateurs, etc. L’efficacité de leurs antennes permettaient aux Atlantes de ne pas dépendre des orages, mais de les attirer.
2- un éclateur qui transforme l’éclair en foudre en boule. Celle-ci présente beaucoup moins de danger vital. Sous cette forme « magique », la foudre devenait un instrument d’éveil pour les Atlantes. Ils recevaient le baptême par le feu du ciel dans des temples dédiés, par exemple la Chambre du Roi dans la Grande Pyramide de Guizeh ou l’allée couverte de West Kennet sur le site d’Avebury. Ces points seront plus amplement exposés dans les pages suivantes.Pour avancer, cliquez sur la flèche de droite
3- un système de lignes conductrices qui achemine l’énergie jusqu’à ses lieux de consommation : les alignements de menhirs et de pierres dressées qui couvraient jadis toute l’Europe occidentale.
Au lieu de pierres dressées, des canalisations ont été utilisées, parfois souterraines. On a retrouvé souvent des systèmes d’irrigation très complexes que ces grands hommes avaient mis au point. Jusqu’ici les archéologues n’ont pas compris la fonction des tuyauteries dans les sous-sols de Tihuanaco, Teotihuacan ou d’ailleurs.
En face de cette énigme, une très antique maîtrise de l’eau, ils se sont contentés de baptiser ces peuples « civilisations hydrauliques » avant de refermer le dossier.
Ici les recherches continuent. Chaque mois, une douzaine d’articles font le point sur mes dernières découvertes. Vous trouverez des informations complémentaires dans les diverses études que j’ai consacré à la foudre depuis la haute antiquité jusqu’à nos jours:
Je vous demande un ultime effort pour sauver Eden Saga. C'est maintenant !!
Les contes de fées aident les enfants à grandir et sont pour les adultes une…
Après une greffe du cœur, certains ont des goûts et des souvenirs du donneur.
Les cathédrales ont été construites avec un mètre-bâton : pas d’autre calcul !
La peur ressemble à l'ego. Tant qu'on est vivant, on ne s'en débarrasse pas.
Il n'y a pas quatre éléments, mais cinq. Le premier s'appelle l'éther. On l'a oublié…