O Sage Rishi, toi l’un des Sept, toi qui entends le tempo du temps, toi qui prends pas à pas la cadence de l’immense, viens sur moi. Le rythme est ta rime, l’éveil est ton souffle et l’ordre est ta règle. Entonne pour les miens ton chant mélopée, fais battre en moi le cœur du monde !
O Rishi ami des serpents, Serpent toi-même! Viens, descends ! Apporte-nous la lumière et ta paix. Sois compatissant et généreux comme tu l’as été jadis, aux temps des dieux d’avant, quand les Géants marchaient parmi les hommes.
Cette invocation n’est pas destinée à être lue, apprise, dite, mémorisée, chantée, entonnée, répétée, récitée, pensée, formulée, mise en musique, jouée, adaptée, psalmodiée, martelée, rythmée, criée, hurlée, chuchotée, soufflée, murmurée, bredouillée, portée à l’écran, adaptée en BD, mise en récit, mise à l’index, soumise, démise, remise, chemise ou tout autre utilisation incantatoire, en vertu de la Règle expresse: N’invoquez personne!!!!
Des géants noirs
L’image suivante nous montre un rishi noir de peau. Des noirs et des blancs sont venus des étoiles à l’aurore de cette humanité. Ils mesuraient un peu plus de 4m, comme en attestent de nombreuses légendes sur les géants d’avant, Gargantua, les géants de Bretagne et des Flandres, Gilgamesh, les Cyclopes, etc.
Des géants noirs, comme leur patronne la Grande Déesse, reptilienne de surcroît. C’est la vérité, parole de cobra vert. Mais tout le monde n’est pas de cet avis: nombreux sont les « savants »synonyme: ignorant qui n’y voient que superstitions, symboles et billevesées. Moins on en sait, plus fort on parle.
Le symbolisme ? La sagesse des crétins. Ce qui reste quand on a tout oublié.
» Rishi est un mot de vieil-indien repris dans la langue sanskrite, qui s’applique à tous les mouvements réguliers du cosmos védique. Par extension, un Rishi védique est un des témoins primordiaux de l’ordre cosmique. (source)Wikipedia «
Croire sans y croire, c’est ma règle et j’y tiens. Je vais donc vous conter une nouvelle tranche de cette autre histoire de l’Homme. Et de la Femme! Car il y avait des femmes parmi les Rishis, bien sûr. Puisqu’ils étaient dirigés par une Déesse.
Au temps du Veda
Le Veda –ou les védas– sont un ensemble de textes révélés par la parole (Shruti) aux sages Rishis. Cette connaissance révélée a été transmise oralement de brahmane à brahmane au sein du védisme, du brahmanisme, et de l’hindouisme jusqu’à nos jours avant d’être écrite.
Les Sept Rishis viennent de la Grande Ourse. Piliers du culte védique, ils sont réputés les auteurs des Védas. Nous allons voir qu’ils sont bien davantage.
Sans les tout-puissants Rishis des origines, la Terre ne serait pas viable, aucun animal ne l’aurait peuplée, les Reptiliens n’auraient pas régné sur elle pendant des millions d’années, et le peuple humain n’aurait pas vu le jour. Mais cette lecture n’est pas admise par les Hindouistes, pas plus que par aucune religion, science ou tradition actuelle. Et je m’en désole car c’est bien triste. La sagesse a quitté ce pauvre monde quand le peuple humain a perdu la mémoire de ses origines.
L’homme de l’avenir est celui qui aura la mémoire la plus longue
Tant pis. Je persiste et signe. Et je continue à traduire le charabia que nous ont légué quarante siècles d’ignorance et d’orgueil imbécile.
Celui-ci a la peau bleue à cause du racisme envers les Noirs. Les nobles à la peau bleue étaient noirs, car les Noirs nous ont tout appris. Ils sont la première race créée par les dieux d’avant.
Charabia logoïque
Mais une fois encore, difficile de trouver un scientifique capable de confronter une telle révélation. Les soi-disant spécialistes du Véda préfèrent nous endormir avec leurs incompris. Lisez plutôt:
Rappelons-nous que l’ensemble des plans du système (l’ordre cosmique), envisagé comme substance dévique, constitue les spirilles de l’atome physique permanent du Logos solaire. Toute conscience, toute mémoire, toute faculté est emmagasinée dans les atomes permanents et nous traitons de cette conscience. C’est sur les sous-plans atomiques (si loin soient-ils de la Réalité) que se centre la conscience logoï. (source)https://institut-alcor.org/wp-content/uploads/2020/11/Manuscrit_TFC16_10Octobre2020_V06-min.pdf
Voilà le charabia d’un groupe de travailTraité sur le feu cosmique, tfc16, 10octobre2020, Royat, p.12 chargé d’expliquer le logoï. Si tu as compris quelque chose, tu es plus fort qu’eux qui n’y pigent que dalle. « Ce qui se conçoit bien s’énoncent clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. » (Boileau, L’art poétique, 1674)
Ces doctes engourdis voient bien que leur délire déconne, d’où l’adorable parenthèse sur les sous-plans atomiques: (si loin soient-ils de la Réalité) … Eh oui, quand même, les pires savants peuvent avoir un sursaut d’honnêteté!!
« L’ordre cosmique est considéré comme une substance dévique »: Oui, cet ordre est véritablement divin car il a été planifié et fixé par les employés fidèles de la Déesse de tous les dieux. Quant aux « spirilles de l’atome physique permanent du Logos solaire » on n’y comprend rien si on perd de vue que le Logos solaire ne désigne pas notre étoile, mais le grand et puissant Soleil d’Hyperborée, qui faisait rayonner nuit et jour sa lumière radieuse sur tout l’hémisphère nord et même au-delà de l’équateur. « Toute conscience, toute mémoire, toute faculté est emmagasinée dans les atomes permanents et nous traitons de cette conscience. » En clair, ça revient à dire que la mémoire est stockée dans notre aura, puis captée par la dure-mère, et traduite par le néo-cortex pour être assimilable par l’esprit.
Pour moi la conscience logoï est la sagesse alliée à la connaissance. Si l’on veut comprendre ce qui s’est réellement passé à l’origine de notre espèce, on doit posséder cette conscience logoï. Pour être plus précis, il me faudrait le texte original, mais les universitaires sont unis vers Cythère. Ils gardent jalousement les textes originaux, ne publiant que leurs analyses absconses et capilotractées.tirées par les cheveux Leur univers? S’y taire.
Moi l’ignorant, je parle. Le feu qui m’anime est celui qui nous meut. Le feu des rishis est celui de la foudre, qu’elle soit naturelle ou artificielle: les dieux d’avant possédaient des lance rayons, et les dragons reptiliens crachaient le feu, comme en attestent la Bible et la Torah.
La Guerre des Étoiles
Ratiociner revient à couper les cheveux en quatre. Faire passer la réalité dans le filtre réducteur de la raison raisonnante. Et ça donne des inepties universitaires dignes de ce charabia logoïque.
L’ordre cosmique n’est pas la mécanique céleste qui tourne avec la régularité d’une horloge, comme on le croit généralement. Il désigne l’ordonnancement de la planète Terre grâce aux Rishis venus de la Grande Ourse. Il est aussi tout autre chose comme nous le verrons plus loin.
L’interprétation mystique, magique ou symbolique ne doit pas se substituer aux témoignages anciens qui nous décrivent une réalité inacceptable pour nos universitaires. Ils sortent leurs dicos, leurs PC, leurs programmes et leur credo, calculent des algorithmes et pondent des logorrhées. Au lieu d’aller tranquillement voir La Guerre des Étoiles où George Lukas nous raconte la même chose que moi et de façon oh combien convaincante.
La civilisation védique est fille des Rishis, visiteurs de la Grande Ourse, qui sont venus ensemencer cette planète, la redresser, la purifier. Ainsi ont-ils transformé une planète sauvage en un paradis pour la jouissance des petits humains. Qui se sont empressés de la saloper dès que les dieux sont rentrés chez eux.
L’Esprit de Dieu
Le Père-Mère Éternel, enveloppé dans ses Robes à jamais invisibles, avait de nouveau sommeillé pendant Sept Éternités.
La Déesse Mère reptilienne est soumise à la dormance, comme tous les reptiliens. Elle doit régulièrement traverser de longues phases de sommeil qui, sur terre, correspondent aux kali yuga. L’âge des ténèbres est privé des lumières de la déesse, seuls les Archontes sont ici qui veillent au grain. À leur façon…
Les Sept fils n’étaient pas encore nés du Tissu de la Lumière. Les Ténèbres seules étaient Père-Mère, dans les Ténèbres.
Les Sept Rishis n’avaient pas commencé leur œuvre terrestre: y établir l’Ordre Cosmique. Pourquoi ces majuscules? Ordre signifie deux choses, ordonnancement régulier, et association sacrée ou spirituelle, comme les ordres monastiques ou l’ordre du Temple Maçonnique.
J’y vois une méprise du même ordre dans l’interprétation de cette phrase de la Genèse: l’Esprit de Dieu planait à la surface des eaux. Il est d’usage d’y voir la Divinité, Dieu le Père ou le Saint-Esprit, mettre de l’ordre dans le chaos du monde à sa façon magique, divine et miraculeuse. Quel miracle, en fait? On se souvient que Lindbergh a réussi la première traversée de l’Atlantique dans un avion nommé Spirit of St Louis. L’Esprit de Saint-Louis planait à la surface de l’Atlantique. Croyez-moi, l’Esprit de Dieu est le nom de l’hydravion divin.
Il y a le même exemple dans le conte d’Adapa, tiré de la mythologie sumérienne. Le vent du sud qui survole Adapa est tout simplement un aéronef divin.
L’Ordre Cosmique
Il en est de même pour l’Ordre Cosmique, qui désigne les troupes innombrables chargées de faire régner l’harmonie dans les dix mille planètes qu’ils ont terraformées pour le compte de la Grande Déesse d’Alcor dans la Grande Ourse. Vue sous cet angle, la stance qui suit devient très facile à comprendre:
L’Ordre Cosmique s’applique à tous les mouvements réguliers du cosmos védique.
Et le cosmos védique est la partie de la Voie Lactée que régente la Déesse.
Alors l’Essence Radieuse devient Sept en dedans et Sept en dehors.
Apparition des sept rishis femelles (sexe interne) et sept rishis mâles. (sexe externe) On retrouve exactement la même description dans la Bible, où les sept Elohim (hommes-femmes) sont quatorze, sept femelles et sept mâles.
L’œuf Lumineux, qui en lui-même est Trois, se coagule et s’étend en caillots blancs comme du lait dans les Profondeurs de la Mère, la Racine qui croît dans les Profondeurs de l’Océan de Vie.
La Mère, déesse reptilienne, peut se reproduire par parthénogenèse, sans le secours d’aucun mâle. C’est pourquoi elle est vierge mère, et c’est aussi pourquoi Marie ne peut pas l’être, en tant que mammifère. On voit comment les inventeurs du christianisme ont emprunté aux textes anciens sans les comprendre.
Alcorrrr
L’aspect chamanique, ou magique, de la civilisation védique est confirmé par mille signes dont se délectent les hindouistes. Ainsi la lettre R, l’initiale du nom Rishi et de tous les qualificatifs qui s’y rapportent, se trouve être la septième lettre de l’alphabet indien devanāgarī, septième comme les sept Rishis primordiaux.
Cette lettre R est « un des rares lexèmes sanskrits sans consonne initiale ni finale, pure roulante vocalique qui manifeste le pouvoir dynamique d’une vibration universelle sans commencement ni fin, ouverte, sans limites, impersonnelle, éternelle. » (source)Wikipedia
C’est aussi l’ultime lettre de l’une des sept étoiles de la Grande Ourse, Alcor qui illumine la planète Our, planète d’origine de notre sainte mère la Grande Déesse. Le sexisme contemporain n’a rien à envier à celui qui régnait aux origines du patriarcat. L’hindouisme y succombe comme toutes les sagesses obérées par le kali yuga.
Ursa Majorrrr
Dans l’astrologie indienne les sept rishi (sahprishti) sont les sept étoiles qui forment la Grande Ourse. (source)les Vedanta, « membres du Veda » postérieurs au védisme primitif Le mot qui les désigne, sahprishti, en évoque un autre, sapristi, qui n’a aucun rapport puisqu’il s’agit d’un juron déguisé. Il sert à remplacer sacristie, mot saint du catholicisme. Au Québec, sacristie est un gros mot, le juron des mécréants.
Comme à son habitude, la langue des Oisons nous joue un tour de grande magie, réalisant l’euphonie des Rishis et de la sacristie.
Les sept Rishis sont les régents des sept étoiles de la Grande Ourse, de même nature que les Anges des planètes ou les sept grands Esprits planétaires. Ils sont aussi mystérieux que leurs épouses supposées, les Pléiades. Les vibrations parviennent à notre système solaire en provenance des sept Rishis de la Grande Ourse. De grandes vagues d’énergie issues des sept étoiles de la Grande Ourse balayent cycliquement tout le système solaire.
Notre système solaire forme avec les Pléiades et l’une des étoiles de la Grande Ourse, un triangle cosmique. Lorsque le triangle céleste sera équilibré, quand la force circulera librement à travers l’une des étoiles de la Grande Ourse, la Pléiade impliquée et le schème planétaire en cause, alors le mal cosmique sera neutralisé et une perfection relative achevée.
En Égypte, la Grande Ourse était la constellation Mère des Révolutions, le Dragon à sept têtes assigné à Saturne, appelé le Dragon de la Vie. Dans le Livre d’Hénoch, la Grande Ourse est appelée Léviathan.
Sacré 7
D’après le très antique Livre de Dzian, les sept Rishis sont les Prajapatis, les Progéniteurs qui donnent la vie à tout sur cette terre. Les sept Rishis de la Grande Ourse sont les garants de l’ordre cosmique. Ils ont pour équivalents les sept Sephiroth de la Cabale, les sept Logoï planétaires de l’ésotérisme biblique, les sept Archanges super lumineux du christianisme ou les sept Kumaras, esprits du feu cosmique. Et bien d’autres septénaires encore…
Les Rishis sont pas humains. Reptiliens surdoués venus d’Alcor, ils n’appartiennent pas à notre lignée. « Le nom de Oûmas donné aux Rishi les distinguent des Pitri, les Ancêtres, avec lesquels il convient de ne pas les confondre. » (source)Langlois cité par Wikipedia
Au dessus des hommes, mais au dessous de la Source, ça ne vous rappelle rien ? Les Elohim, ces entités planificatrices, comme les nomment les textes sumériens. Les Élohim sont eux aussi sept mâles et sept femelles.
Les sept chakras
Dans notre corps d’énergie, les sept chakras sont les garants de l’ordre physique. Sept centres qui régulent notre énergie subtile. Sept points qui émettent une vibration colorée, chaque chakra selon sa couleur propre. Sept administrateurs des sept corps humains, le corps physique et les six corps subtils. Sept émetteurs qui diffusent une vibration sonore, un fa dièse sur cette planète, chacun avec sa tonalité et sa texture propre.
Les chakras sont l’empreinte magique des sept Rishis primordiaux sur chaque habitant de cette planète, qui leur est redevable de ce don, comme nous sommes redevables à Athéna de notre âme immortelle et à Isis de l’esprit parfait.
Ce chiffre sept étant plus « magique » qu’arithmétique, les chakras sont quatorze, dix-huit, vingt-et-un et bien plus encore. De même le nombre réel des Rishis pourrait bien être très supérieur. La plupart des hymnes de la huitième lecture de la section huit du Rig-Véda sont en effet attribués à des Rishis très nombreux.
La plupart des Rishis y sont apparentés à l’aide de l’expression « fils de » et sont donc masculins, tel Atri fils de Sankhya. Quelques Rishi sont du genre féminin, telles Satchi fille de Pouloman, Indrani, ou Sraddha fille de Cama.
On a vu que c’est aussi le cas des Élohim, qui sont bien plus de sept, qui ont femme et enfants, mais qui ne sont pas de notre race. Singuliers et familiers Rishis, dans lesquels on reconnaît à tour de rôle les Veilleurs de la Bible, les Elohim, les Viracocha ou les Ases nordiques. A coup sûr, ils sont les témoins d’un monde qui n’est plus, où la science et la magie faisaient bon ménage, où l’Esprit, non le vice, planait à la surface des eaux.
Vous vous souvenez ? L’Esprit de Dieu était le nom d’un hydravion.
Rentrés chez eux
Dans son œuvre majeure, La Fantaisie des dieux et l’aventure humaine, Alain Daniélou insiste sur l’aspect chamanique et prophétique des Rishis.
« Certains aspects du monde physique ou métaphysique ont été révélés à la maturité de l’espèce humaine. Ces révélations sont l’œuvre des Voyants, les Rishis, qui sont des intermédiaires capables de percevoir la réalité de la création. Ils sont à la fois des êtres subtils et des êtres incarnés. » (source)Alain Daniélou, La Fantaisie des dieux et l’aventure humaine, éd. du Rocher, 1985
Comprenons que si les Rishis se sont manifestés à la maturité de l’espèce humaine, nous n’y sommes plus désormais. L’humanité actuelle est en fin de vie.
Les Rishis sont partis, morts ou rentrés chez eux dans la Grande Ourse. On ne comprend pas les Védas, pourtant de nombreux Hindous révèrent ces textes et ce qu’ils évoquent.
Il y a dans cette énigme une profonde vérité. Le sens importe moins que la musique, le rythme, l’effet produit. Le chant des Védas, les stances védiques offrent un aperçu de ce monde oublié, celui des dieux d’avant, qui appartient à une réalité séparée
Bientôt la suite dans L’Ordre Cosmiquene le manquez pas!