Les dinosaures et nous

 

À l’heure actuelle, personne ne peut plus affirmer que l’homme n’a pas connu les dinosaures. Trop de preuves attestent du fait que l’homme les a côtoyés. Sinon, comment aurait-il pu les dessiner ou les graver ?

 

Aujourd’hui, grâce à l’étude des squelettes et des fossiles, nous avons pu reconstituer l’apparence extérieure de ces énormes bêtes. Sans ces moyens d’étude, comment le sculpteur antique a-t-il pu sculpter l’image qui suit ? Ce bas-relief vient du temple hindou-bouddhiste de Ta Prohm, près d’Angkor, au Cambodge. Ce temple date du 14e siècle de notre ère. Comment le sculpteur a-t-il fait pour représenter un parfait stégosaure ? Réponse : il en avait un sous les yeux. En chair et en os, ou alors en reproduction. Dans un cas comme dans l’autre, c’est la preuve que l’homme a connu le stégosaure.

 

Stegosaure-Ta-Prohm-temple-SiemReap-Cambodia-688po

 

Notre espèce a une ancienneté dont nos anthropologues sont loin de se douter. Mais pour un anthropologue chinois ou coréen, par exemple, cette ancienneté est admise. Pour celui-ci, le fait que nos ancêtres aient pu connaître les reptiles géants n’aurait donc rien d’extraordinaire. Une fois encore, les sciences de l’homme changent de discours selon les latitudes. Est-ce bien une attitude scientifique ?

Sur des dizaines de pierres gravées du Pérou, dites pierres d’Ica, on peut voir des scènes variées présentant des humains en compagnie de dinosaures. Ces pierres ont fait l’objet de forts soupçons de la part de la communauté scientifique, et leur découvreur, le Docteur Cabrera, avoua les avoir toutes gravées lui-même.

S’il avait dit le contraire, on l’aurait condamné pour vente illégale d’antiquités. Bien sûr, Wikipédia instruit le procès à charge, car Wikipédia, par vocation avouée, est toujours du côté du manche. C’est ce qui rend ce site, par ailleurs passionnant, peu digne de foi sur tout ce qui touche au paranormal ou simplement ce qui sort de la ligne dominante et de la pensée unique. (source) 

 

Les dinos de terre cuite

Fausses ou pas, le lecteur jugera. Mais sur le fait que nos ancêtres aient fréquenté les dinos, aucun doute. Nous possédons des terre-cuite datées de 2500 AEC, comme sur ces images. Or les dinos étaient censés avoir disparu depuis des dizaines de millions d’années, selon les paléo-machins. A mon avis, ils se trompent, la preuve.

En 1945, Waldemar Julsrud, archéologue allemand expérimenté, a découvert au Mexique quelques petites statues d’argile, enterré au pied du Mont El Toro, près de Acambaro, Guanajuato. Soit environ 33.000 petites figurines trouvées à proximité d’autres artefacts semblables qui seraient datée d’environ 800 à 200 avant l’ère commune.

Mais voilà, ces figurines représentent des dinosaures disparus soi-disant il y a 65 millions d’années. Elles ont été ouvragées bien avant les découvertes dites modernes… encore une preuve de la confiscation et de la falsification de notre histoire ?

A l’heure actuelle, personne ne peut plus affirmer que l’homme n’a pas connu les dinosaures. Trop de preuves attestent du fait que l’homme les a côtoyés. Sinon, comment aurait-il pu les dessiner ou les reproduire ?

 

Empreintes fossiles

Certaines empreintes fossilisées sont encore plus probantes : on voit un pas d’homme près d’un pas de stégosaure, les deux traces ont été datées de la même époque. On ne peut que s’incliner : un jour, il y a très longtemps, un inconnu a croisé le grand reptilien, et leurs traces sont restées gravées dans la roche pour des millénaires. Aujourd’hui, nous les avons sous les yeux, mais aucun scientifique ne semble s’en émouvoir…

 

 

Des traces industrielles

L’ancienneté de notre espèce est ahurissante. Trop d’artefacts datés de plusieurs centaines de millions d’années en attestent déjà, quand de nouveaux, plus troublants encore, s’ajoutent chaque année, chaque mois, à une liste déjà longue.

La dernière trouvaille en date serait une tige métallique manufacturée, voire usinée, datant de l’époque des dinosaures. « Une baguette métallique crantée, pressée dans du charbon, a été retrouvée par un habitant de Vladivostok, alors qu’il était en train d’allumer le feu dans sa cheminée. Il a montré son étonnante trouvaille aux scientifiques du Primorié, état de Vladivostok). Ils ont conclu, après une analyse scrupuleuse, que l’objet datait d’il y a 300 millions d’années et qu’il avait été fabriqué par un être humain. Ils n’ont cependant pas pu déterminer qui l’avait fabriqué exactement. » (source)La Voix de la Russie, 23 janvier 2013

L’étrange artefact pressé dans du charbon est loin d’être un cas unique. Le premier objet de ce type, un vase, a été découvert en 1851 au Massachusetts lors des explosions des carrières. Ce vase en argent et en zinc pressé dans du charbon remonte à la période du Cambrien, commencée il y a 500 millions d’années.

En 1912, en Oklahoma, un petit chaudron de 312 millions d’années a été, lui aussi, trouvé dans du charbon. 

La vis de Lanzhou, Chine, est un autre objet mystérieux découvert au cours des dernières années qui semble défier l’archéologie et l’histoire dominantes. Elle a été découverte en 2002, et a suscité depuis toute l’attention des collectionneurs et des chercheurs.

Le coeur du mystère est que cette vis métallique a été retrouvée emprisonnée dans un bloc de roche. La pierre en forme de poire est d’environ 6 × 8 cm et pèse 466 grammes. Mais ce n’est pas une pierre ordinaire. La forme de la vis ne fait qu’ajouter au mystère d’un caillou qui, selon les chercheurs, est estimé à environ 300 millions d’années.

En 1974, un objet inconnu en aluminium a été découvert dans les grès d’une carrière en Roumanie. La pièce, qui ressemblait à un marteau ou au support d’une des jambes du train d’atterrissage du module lunaire Apollo « n’a pas pu pas être confectionnée par un être humain, car elle remonte au Jurassique », ont confessé les scientifiques non sans naïveté.

Pour eux, tout ce qui n’est pas conforme à leur credo sacré n’est pas scientifique. On en rirait si la chose n’était pas si tragique pour l’avenir de la connaissance.

Dans les pages suivantes, le lecteur trouvera l’étude d’un certain nombre de ces artefacts hors d’âge, pour la plupart récusés par les scientifiques oxydantaux.La faute d’orthographe est volontaire

On comprend que toutes ces trouvailles surprenantes laissent les scientifiques sans voix, car elles sapent tous les fondements possibles de la version admise par la science moderne. Pourtant on est gêné par une mauvaise foi qui préfère l’ignorance à cette douloureuse mais nécessaire remise en question.

 

 

Dans un tel contexte, l’inexplicable artefact de Khakassie n’a guère dérangé les scientifiques. Le charbon dans lequel cet objet a été trouvé a pu être daté de 300 millions d’années, d’où ils ont conclu tranquillement que la pièce métallique devait avoir le même âge.

A mon tour d’être surpris ! Mais enfin, il n’y avait pas d’homme, d’après la science, il y a trois cent millions d’années ? Exact, répondent-ils, cette pièce métallique n’a donc pas été faite par l’homme. Il est vrai que les savants russes nous ont habitué de longue date à une ébouriffante largeur d’esprit : dans l’affaire des nano-objets de l’Oural, ils ont émis sérieusement l’hypothèse que ces objets usinés minuscules aient pu provenir d’un accident d’ovni. Pour les Russes, l’hypothèse extraterrestre n’est pas extravagante.

Et cette fois encore, ils ont recours à la même explication.

« Lorsque les scientifiques ont délicatement brisé le charbon, ils ont découvert un objet léger et souple d’une longueur de 7 centimètres, composé à 98 % d’aluminium et à 2 % de magnésium. On peut rarement rencontrer de l’aluminium pur dans la nature, donc les chercheurs ont supposé que la pièce a été fabriquée de manière artificielle.

D’un autre côté, cet alliage peu commun leur a permis de comprendre comment l’objet a pu rester dans un tel état de conservation après tout ce temps. Sous sa forme pure, l’aluminium est recouvert d’une solide couche d’oxydes, qui lui permet de résister à la corrosion. Ainsi, l’alliage d’aluminium à 98 % supporte de hautes températures et un milieu naturel agressif. (source)La Voix de la Russie, 23 janvier 2013 

Les scientifiques se demandent si cet aluminium vient de l’espace. Grâce à l’étude des météorites, la science a appris l’existence de l’extra-terrestre aluminium 26 qui se désintègre en magnésium 26. Les 2 % de magnésium présents dans l’alliage prouveraient justement la provenance spatiale de cet objet.

Toutefois, d’autres recherches sont nécessaires pour prouver cette hypothèse. La dernière chose qui a étonné les scientifiques est la ressemblance de cette pièce avec une crémaillère.

Il est difficile d’imaginer que la nature ait conçu un objet avec six crans parfaits et des intervalles aussi réguliers. De plus, l’espace entre chaque cran est bien large par rapport aux crans eux-mêmes. Il est possible que cette crémaillère fit partie d’un mécanisme complexe. On trouve ce genre de pièces dans des microscopes modernes. Comment une pièce si complexe a-t-elle pu être conçue par un être humain il y a plusieurs millions d’années ? » (source)La Voix de la Russie, 23 janvier 2013 

 

 

L’article ajoute ceci : « Lorsque l’information sur cette découverte s’est répandue, certains ont émis l’hypothèse que la crémaillère appartenait aux OVNIs. Cependant, les chercheurs russes préfèrent ne pas tirer de conclusions hâtives et effectuer des études supplémentaires. » (source)La Voix de la Russie, 23 janvier 2013

L’article est daté de 2013, on attend toujours les conclusions. Mon petit doigt me dit qu’on pourra les attendre longtemps et que la crémaillère gênante finira dans une boîte en carton au fond du débarras où on fourre les archives et le mobilier cassé. 

 

Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas rire de lui-même.
Pablo Neruda