Les flux sacrés

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La connaissance des flux sacrés est celle des princes d’Atlantide. Ils nous ont transmis l’héritage d’une civilisation avancée qui a précédé la catastrophe planétaire du déluge. Cette connaissance perdue fait l’objet d’une nouvelle science, la géobiologie, qui se consacre à l’étude des énergies cosmotelluriques dans leur rapport avec le vivant. Cette nouvelle science comporte plus d’un chapitre.

Pour nos premiers ancêtres, les Pré-diluviens étaient des dieux. Qu’ils soient Atlantes, TitansDevas, Tuatha ou Elohim, qu’on les nomme Atlas, Prométhée, Osiris, Enki, QuetzalcoatlCuchulainn ou Elie, leur monde était technologique, mais ils cultivaient aussi la magie et cherchaient les pouvoirs divins. Pour y parvenir, ils ont utilisé, entre autres, la géo-énergie, c’est à dire l’énergie produite par la rotation de notre planète. Cette énergie inépuisable et propre est connue sous le nom de Vouivre ou de Vril, mot forgé au 19e siècle sur la même racine.

Du seul fait de leur rotation, les planètes produisent  de l’énergie électro-magnétique en quantité d’autant plus grande que la planète orbite dans le plan de l’écliptique. Par des méthodes inconnues, les anciens « dieux » seraient parvenus à redresser de quelques 23° l’axe de la Terre pour ramener l’orbite planétaire dans le plan écliptique. Retrouvant ainsi la fluidité parfaite, notre planète se mit à produire une grande quantité d’électricité, à la manière d’un volant magnétique. C’était le but recherché.

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Rappelons qu’il y a d’autres hypothèses pour expliquer l’âge d’or et le déclin qui s’ensuivit. Nous avons évoqué celle des lunes successives captées par notre planète, causant plusieurs périodes de gigantisme végétal et animal. L’homme, déjà présent, n’a pas pu échapper à ce phénomène : c’était un géant, lui aussi.

Ensuite, quand la pesanteur a augmenté, les géants sont partis en nous laissant les commandes. Ils sont retournés d’où ils étaient venus.

Ainsi débuta l’âge d’or. La géo-énergie fut captée, canalisée, et répartie sur toute la planète où elle dispensa ses bienfaits à chacun. C’est sans doute la cause de la grande longévité des hommes de l’âge d’or.

Mais survint le cataclysme, et la terre perdit son bel équilibre. Elle retrouva l’inclinaison que nous lui connaissons. Quoique plus faible, la géo-énergie circule encore sur la planète par de larges courants parallèles, les flux sacrés. Une science moderne de l’environnement, la géobiologie, étudie les effets de ces flux.

Il s’agit de grands courants énergétiques circulant d’ouest en est, et couvrant une largeur un peu inférieure à 50 km.  Ils ont la capacité de repousser les  énergies négatives. Ils sont donc tout à fait favorables à la vie, donnant bonne santé, clarté d’esprit et dynamisme à tous les êtres vivants dans leur tracé. De nombreuses cathédrales médiévales sont situées sur les principaux flux sacrés européens. Véritable chakra de la terre, la cathédrale de Chartres est en plein milieu du plus intense d’entre eux.

Réalité mesurable, les flux sacrés actuels ne sont pourtant que des pâles copies des flux d’avant le déluge, quand la Terre tournait droit. Car dès que les Atlantes eurent redressé l’axe de la terre, notre bonne vieille planète s’est mise à travailler pour eux, telle une dynamo géante, en arrosant la surface du globe de puissants jets d’énergie brute que les réseaux de mégalithes avaient pour mission de canaliser et de transporter jusqu’aux lieux de consommation. Mais pas seulement.

Le rôle des alignements de menhirs ne se limite pas à celui d’un réseau de distribution. Grâce aux flux énergétiques qu’elles véhiculent, grâce aussi à leur positionnement choisi par des voyants sensibles aux ondes cosmo-telluriques, ces grosses pierres sont aussi des aiguilles d’acupuncture terrestre qui ont joué un rôle majeur dans certains mécanismes astraux. Les enfants peuvent les fleurir et les adorer à genoux : pour eux c’est un autre monde…

…quand pour leurs bâtisseurs ce n’était que des machines

Les demi-dieux d’avant ont essayé des tas d’autres techniques, toujours dans un seul et même but, l’éveil. Recouvrer l’ensemble de ses moyens, réaliser la promesse d’Isis, voilà le délire de l’Atlante. Et pour ça, il est prêt à braver la mort. Les populations néolithiques avaient recours à une technique encore plus dangereuse que la foudre : la trépanation.

Après l’antiquité gréco-latine, le culte d’Isis fut peu à peu abandonné au profit de techniques plus soft, l’effet de voûte des cathédrales bâties sur les flux sacrés.

On peut souligner qu’à l’origine, un envoûtement est le résultat de l’effet de voûte produit par les églises et les cathédrales. Recherché par tous les fidèles, cet envoûtement était voulu par les bâtisseurs médiévaux qui en avaient calculé chaque paramètre.

 

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Lao Surlam