Certains s’en prennent à moi. Ils s’en mordent les doigts. Je suis protégé. Par qui ? Je n’en sais rien. Hors sujet. Il s’agit d’un fait, j’en mesure les conséquences. Qui cherche à me nuire se noie dans sa merde. Trié. Vrillé. Grillé. Mais je n’y suis pour rien ! Il se peut que je reçoive des aides. Il se peut que ces aides ne soient pas de ce monde.
Aujourd’hui on les appelle anges ou démons, demain on les appellera autrement.
Je ne me venge pas, « on » me venge. Qu’y puis-je ? Je me contente de dire ma vérité. Telle est ma place. Une place sacrée, apparemment. Tout obstacle est vite écarté de ma route. Si vite que je n’en reviens pas. Puissance, précision, rapidité. Stupéfiant.
Super pouvoirs à mon service. Qui ne sont pas à moi. Ça a commencé avec ce site, en 2008. Tout de suite une grande main s’est étendue sur moi. Protectrice. Frappante est sa puissance. Surnaturelle. Sa précision aussi. Plus rapide que la lumière.
Je suis protégé quand je raconte. Les invisibles n’exigent rien. Ils m’encouragent sans commentaire. Je ne dois pas me taire. Prêcheur d’éveil. Ça leur convient. À moi aussi. Jours des merveilles. L’éveil ? Pourquoi faire ? Le sommeil des gens est bien plus rassurant… Tant que le peuple dort, les puissants font de l’or. Mais il y a plus rapide, plus puissant que les puissants. Meurt la matière, cœur du mystère. Dire. Éviter le pire. Fournir à lire.
Faiseur de miracles, je suis canal. Sujet banal, ni fanal ni signal. Tuer le mystère. Ne pas me taire. Des idées pour aider, et des pour dérider. Bardé de protection blindée. Née en 2008 avec ce site. Rédaction qui m’excite. Dominique m’avait dit : – Tu seras protégé tant que ton œuvre se poursuit. Qu’il en soit ainsi. Je n’y comprends rien, je rumine cette intuition qui devient certitude, je suis, tu es, elle est, nous sommes pilotés.
Tant que nous ne sommes pas le jouet d’un sans-scrupule ou d’une traînée, visible ou non, matérielle ou pas, de quoi nous plaindrons-nous ?
Si la guidance est heureuse, la possession est haïssable.
Pilote ou piloté, vois la réalité. Ça vient de là. J’y crois… sans y croire. Soient exclus les intrus. Accueille en bannissant. Refuse en acceptant. Repousse en aimant. Cherche amour, aie la paix. Ta vitesse au repos, la lumière de colombe en pénétrant les sens existe en son essence, demeure à l’intérieur, acquise où elle se pose. Quand aile attige, elle a tige. Quand aile effleure, elle est fleur. Ris ma chérie. Notre amour m’a comblé.
Chérir l’avenir. Penser positif. Refuser d’exclure. Rester disponible. Me dévouer sans fin. Servir mon prochain. Valeurs pratiquées durant des années — trop chrétiennes pour un qui ne l’est plus. Oublie-t-on sa région ? Se défait-on de la religion ? Je n’ai rien d’un petit saint. Ni d’un démon, ni d’un moine, chamane, gourou. Je suis aussi chétif que vous. J’excelle à jouer mon rôle, le seul qui m’épanouisse : témoin. Je me souviens.
Témoin de ce que j’ai vu, lu, su ou vécu dans cette vie et dans d’autres. Je m’en souviens. Témoin des rêves dorés, des songes creux, des cauchemars affreux. Témoin des jours et des séjours, de nous, de vous. Je me souviens de tout. Insecte hors secte, nul ne me détecte. Trouvailles dont je me délecte. Témoin des tentations et génuflexions. Témoin de celui qui fut comme de celui qui est. Témoin de mes mains, t’épier de mes pieds. À deux mains témoin de demain. Faute et moins s’il faut bien, mais faux témoin jamais.
Amis lecteurs, voici ma prière. Ne me prenez pas pour un grand, je suis tout petit. Cherchez la route avec moi.
Ceux qui me gênent sont écartés. Inversement, ceux qui m’aident sont récompensés. Ne me demandez rien. Lisez-moi comme si déjà je n’étais plus là. Laissez-moi à l’endroit où je suis chez moi. Dans un autre monde où je suis le roi. Laissez-moi écouter le vent qui passe. Laissez-moi vous conter mon histoire à portée de main, ma vérité pour demain, une autre histoire du genre humain.
Creusez le symbole du cercle, épousez son sens profond, vous n’aurez plus peur de la mort. Elle n’est que le prix à payer pour un autre tour du cercle. Ne portez pas atteinte à votre santé, à votre corps, à votre vie. Vous êtes précieux là où vous êtes, tâchez d’en tirer parti. Celui qui se tue subit la loi du cercle. Il se réincarne dans les mêmes conditions. Jour sans fin. Nuit sans frein. Tout est à recommencer jusqu’à l’éveil.
J’ai passé un nouvel an affreux. Le 31 décembre, j’étais effondré. Lamentin lamentable, j’avais plus qu’un pied dans la tombe. En grand danger, je ne luttais plus. La mort en face, yeux dans les yeux. La journée du 1er janvier fut pire. Je ne contrôlais plus mes émotions négatives. Submergé, je me traînais de vague en vague, du vague à l’âme, les yeux vagues.
Le 2 janvier, sans que je sache pourquoi, j’allais mieux. Vers midi, à ma grande surprise, j’allais même tout à fait bien. Ça ne paraissait pas, à cause du contre-coup. J’avais encore à éponger les remous. Avec un grand besoin de comprendre le pourquoi du comment. J’étais en train d’écrire cet article, tapant comme un sourd sur mon clavier, quand une alerte m’a stoppé net.
Une sorte de lumière froide, blanche comme la mort, m’a envahit des pieds à la tête. La fête. Vigueur accrue, braguette moulée, je suis monté au septième ciel. Mais ce n’était pas assez haut. Pendant ce qui m’a semblé des heures, j’ai grimpé encore. Comme un avion sans ailes, je traversais les nuages. Au grand soleil, je pouvais voir sous moi la terre s’arrondir. Et l’ascension a continué vers le Soleil Invaincu.
Après coup j’ai appris la mort de mon ami de toujours, que j’ai appelé Gilles dans mon journal de voyage en Inde. De son vrai nom Dominique Coquelle. Il se peut que mon agonie ait fait écho à la sienne. Et que ma montée au ciel soit un reflet de la sienne. Quand j’ai titré ce paragraphe, le 3 janvier dernier, j’ignorais encore ce décès… De qui parlais-je ? Pas de moi, c’est à la troisième personne : il est monté au ciel… (note récente)
Ma tête vide résonne comme tambour. À travers les ondes sonores, voici ce qui m’apparaît. En grand, très clair, la jouissance infinie.
Nous venons du Grand Tout. Nous y sommes chaudement enveloppés d’amour et de lumière. Rien ne peut procurer de bonheur plus intense. Aucun effort si fort soit-il, aucune drogue, aucune joie terrestre. J’ai le désir de durer, immobile, comblé, plein de béatitude.
Tout à coup, sans pitié, je m’incarne sur terre. Autant dire en enfer, car aussitôt privé de ce bonheur inouï. Coupé du Grand Tout. Privé d’amour. Il fait noir, il fait froid. Ineffable douleur, supplice, désespoir.
Alors survient l’ego.
L’ego arrive quand meurt le paradis. L’ego résulte de la privation du Grand Tout. L’ego est affamé, solitude, blessure. L’être unique est scindé. La partie sans le Tout. Loin du Total Bonheur, on doit ramer sans but, foutu, bon à jeter.
Et c’est ce qui arrive. Jeté dans la mêlée, revêtu d’un habit de chair qui débute en souffrance. Le fœtus grandit, s’épanouit et vieillit. L’ego fera de même. La naissance voit paraître un amphibien adulte, un vieillard moribond. Il meurt dans les instants juste après l’accouchement. La peau se défripe, les traits prennent la ronde apparence du nourrisson.
Le fœtus a vécu. L’ego prend la relève. Le jeu du je survient. L’ego règne. La négation s’y associe à l’orée de la vie charnelle. C’est l’âge du non-je-ne-veux-pas qui va durer longtemps. Négation qui veut dire : y en a marre de ce corps, marre de ce lieu puant, marre des petits humains. Je veux rentrer chez moi.
On consacre la première moitié de sa vie à se forger un ego solide, et la seconde moitié à s’en débarrasser.
Dans la première moitié de la vie, disons jusqu’à 40 ans, plus on renforce l’individu, plus s’accentue la douleur et la frustration d’avoir perdu la béatitude et la vie facile au sein du Grand Tout. Ne reste qu’un vide et la souffrance accrue.
Je me suis passé de bien des plaisirs. Ma volonté s’est renforcée au fil des années. L’un après l’autre, j’ai fait le vœu d’abandonner des liens. L’homme qui peut se passer de tout n’aura plus peur de rien. Si on peut se passer de tout, nul ne peut se passer du Grand Tout. Le bonheur pur, infrangible, inaltérable, que chacun perd en s’incarnant. Remplacé par le vide. Insupportable absence.
Ce vide maintient la peur. Peu à peu, sublimant cet état de vivant séparé du Vivant, nivelant la souffrance, l’ego finit par lâcher prise. Il passe la main. Il se tient tranquille au fond du jardin. Nivelée, parfumée, la douleur a duré longtemps. Le 2 janvier 2022, s’est entrouverte la porte ultime. L’effusion. L’apothéose. Le Règne. Le Royaume. Je reconnais cette paix qui est mienne, la sérénité du Grand Tout. Réconcilié je suis.
À mon insu, le Grand Tout m’a protégé toute ma vie.
Quelle vie ? Sornettes. La vraie vie est ailleurs. Dans le Grand Tout.
La dernière peur qui domine toutes les autres, la peur de la mort m’a quitté.
Je croyais que la mort me priverait de la vie,
alors que cette soi-disant vie m’a privé du Grand Tout.
Fusion sans confusion.
Effusion.
Du coup, voilà le don de l’Aigle relégué aux ouatères. Quelle idée de vouloir échapper à l’Aigle s’il est la porte du Grand Tout. Carlito, Carlito, te serais-tu pris les pieds dans le tapis ? Au lecteur de choisir. Soit l’hypothèse de l’Aigle assure une survie après la mort du corps. Soit c’est une grosse connerie. Un truc à se retrouver tout seul dans cette immensité là-dehors.
Autre chose : on n’a aucun témoignage d’un mort qui aurait pu échapper à l’Aigle. Les morts ne témoignent pas. Question : comment los nuevos videntes, les voyants du cycle actuel, ont-ils acquis cette conviction ? Sincèrement on se le demande…
Je ne suis pas un donneur de leçon, mais juste un conteur d’histoires de pouvoir. Non pas des récits lus ou entendus. Des faits vécus dans ma chair. Dans l’Esprit. Dans le Grand Tout. Ce bouquet final m’emplit d’une ferveur et d’une intensité qui porte sa signature. Entre l’Aigle et lui, mon choix est fait. Bien fait !
And Jesus was a sailor
When he walked upon the water
And he spent a long time watching
From his lonely wooden tower
And when he knew for certain
Only drowning men could see him
He said, « All men will be sailors then
Until the sea shall free them »
But he himself was broken
Long before the sky would open
Forsaken, almost human
He sank beneath your wisdom like a stone
(Leonard Cohen, Suzanne)
Jésus est un pêcheur
Qui a marché sur la mer
Il a veillé très longtemps
Du haut d’une tour solitaire
Quand il fut tout à fait sûr
Que seuls les hommes perdus le suivraient
Il a dit qu’on voguerait
Jusqu’à ce que la mer nous libère
Mais lui-même fut brisé
Bien avant que le ciel s’ouvre
Délaissé presque un homme
Il a coulé sous votre sagesse comme une pierre
(Leonard Cohen — traduction Graeme Allwright) (écouter)
Je croyais éprouver l’amour sans condition, c’est lui qui m’éprouvait. Je me sens fragment du Grand Tout. Enfin je suis chez moi.
Ils ont voulu changer le monde, mais le monde ne veut pas changer. Il tourne…
Nous avons affaire à deux christianismes en Grande-Bretagne, celui des Britanniques et celui des Celtes.
Cette grosse pierre sculptée pose une foule de questions auxquelles je vais tenter de répondre.
Voie royale de l'éveil, ce stage est une initiation qui ouvre la porte de l'être…
"L’Égypte pharaonique est une civilisation africaine, élaborée en Afrique par des Africains"
Vous connaissez les sept chakras qui palpitent sur le corps d'énergie. Et les autres ?