Il y a 13.000 ans, nous dit Edgar Cayce, des vaisseaux gigantesques filaient à la surface des océans à des vitesses dépassant les 180 nœuds, soit environ 330 km/h. C’est beaucoup. Nous ne sommes pas capables, aujourd’hui, d’atteindre de pareilles vitesses sur mer. Ce chiffre est pourtant sous-évalué par Cayce : je suis sûr que les vaisseaux atlantes allaient plus vite encore.
Dans l’air comme dans l’eau, c’est le frottement qui ralentit. La MHD pallie cet inconvénient. Les Atlantes avaient trouvé un autre moyen d’éviter le frottement de l’eau : des coques métalliques créaient un vide entre la coque et l’eau. Ce vide supprimait tout frottement et permettait des vitesses aujourd’hui inaccessibles.
D’une longueur approchant celle de nos pétroliers géants, soit plus de cent cinquante mètres, ces paquebots hyper véloces servaient à la fois au transport de passagers et de marchandises. Ils furent utilisés pour l’exode des populations atlantes depuis l’Amérique du sud jusqu’à l’Europe, aux alentours de -7000 et jusqu’en -2000.
Ensuite, les ingénieurs atlantes les firent démonter pour les transformer en bateaux plus petits. Les Atlantes utilisaient certaines propriétés des métaux que nous n’avons pas approfondies. Pour propulser leurs navires, les Atlantes avaient des moteurs soniques mus par répulsion polymétallique.
Comment fonctionne ce type de moteur ? Sur le principe de l’hydrophilie – hydrophobie : certains métaux attirent ou repoussent l’eau et d’autres liquides. Le moteur se composait d’une boule polymétallique avec des tranches de plusieurs métaux, comme l’or, le plomb et le cuivre, dans un bain de mercure. Ces tranches étaient réparties symétriquement dans la boule selon les courbes des couleurs dans les billes d’écolier.
Ou mieux encore, comme le yin et le yang dans le symbole taoïste. Ces boules étaient des Yin Yang en 3 D ! Il est probable que ce fameux symbole du Tao parfait fut à l’origine le plan de ce précieux moteur, transmis aux hommes par les « dieux d’avant. » Mais les premiers hommes ont pris tout signe des « dieux » pour de la religion, de la magie, ou les deux…
Nos ancêtres ont recopié le symbole sacré sans savoir ce qu’il représentait… et depuis lors, des flopées de spécialistes ont torché des tas d’explications plus ou moins fumeuses, toutes très mystiques, pour tenter d’expliquer une maquette de moteur. Les Taoïstes ont pris un schéma technique pour un mandala sacré ! Et le monde frivole les a suivi comme un seul homme. Aujourd’hui, ce moteur ne fait avancer que l’ignorance. Avec ce brave moteur, les cuistres font leur beurre…
Le démarreur de ce moteur était un son particulier, qui avait la vertu de mettre en vibration la boule polymétallique. Elle se mettait alors à tourner de plus en plus vite, transmettant son mouvement à différentes machines.
Ce son est sans doute un fa dièse modulé avec un instrument englobant ou rhomboïdal avec ou sans l’aide de la voix humaine. Il faut essayer, essayer encore… Amis chercheurs de lunes, cette piste prometteuse… La sonologie atlante nous apporte un monde de découvertes et d’applications. La haute antiquité connaît d’autres utilisations des propriétés des métaux.
Pour propulser leurs avions ou vimanas, les anciens Ramas utilisaient des moteurs à mercure. Ce métal, quand il est chauffé, a la propriété de faire voyager, dit le Mahabharata. Le nom ancien du mercure est vif-argent ; est-ce une allusion à cette propriété inconnue ?
Souvenons-nous que Mercure, le messager des dieux olympiens, avait des ailes aux talons, pour voler jusqu ‘au monde des dieux. Et un casque ailé, aussi. Pour nous dire qu’il pouvait voler ? Tout est possible. D’autres indices émergeront. En tout cas, le moteur polymétallique des Atlantes n’est pas de la science-fiction.
Notre civilisation n’ignore pas les propriétés particulières de certains des métaux utilisés par les Atlantes. L’imprimerie offset, entre autre, utilise l’hydrophilie(le fait d’attirer l’eau) et l’hydrophobie(le fait de repousser l’eau) de métaux différents pour positionner l’encre sur la surface du cylindre d’impression. Mais nos inventeurs n’ont pas cherché d’autres applications à cette découverte.
Nous avons oublié que les métaux ont une âme. Ils ont l’air inertes, on les croit inanimés, et pourtant, vil ou précieux, dur ou mou, hydrophile ou hydrophobe, conducteur ou non, oxydable ou pas, chaque métal a son âme propre, qui fait de lui un être unique.
Il est intéressant de noter, ici encore, combien nous avons méconnus et travestis les indices que nos lointains ancêtres nous ont transmis. Soucieux de nous donner le plan exact du moteur polymétallique, les Atlantes ont représenté ce schéma à plat, sous forme de dessins ou de bijoux.
C’est le Yin Yang, le symbole du Tao, au sujet duquel les sages chinois ont écrit des centaines de milliers de pages. Leurs spéculations sont certes fort intéressantes, mais n’ont aucun rapport avec le pin’s atlante, qui représentait la boule polymétallique, avec la répartition des masses des différents métaux.
La seule extrapolation qu’il aurait fallu faire ne l’a jamais été : imaginer que cette figure en deux dimensions doit être réalisée en trois dimensions. Le moteur comporte en effet trois métaux distincts, répartis dans la boule selon le schéma du Tao. Ce qui est déjà un bon problème de géométrie dans l’espace ! L’interaction de ces trois métaux génère un mouvement que l’on peut qualifier de perpétuel.
À de nombreuses reprises, des instructions technologiques venues du passé lointain ont reçu une interprétation symbolique dont nous peinons à nous abstraire. Il en est ainsi pour la Gloire de Shékinah, qui n’a rien de mystique et tout de technologique. On peut citer aussi le cas fameux de la caverne de Platon. J’en ris encore. Il faut du cran et de la sueur pour retrouver le message originel sous les élucubrations symboliques des nombreux ignorants qui ont suivi.
Ce que l’un appelle Dieu, un autre l’appelle les lois de la physique.
Dans la guerre contre le mensonge universel, parfois on se sent bien seul. Non, le moteur polymétallique des Atlantes n’est pas de la science-fiction. De nombreux moteurs conçus plus ou moins sur le même principe ont été imaginés depuis deux siècles. L’expérience la plus prometteuse a été développée au début du siècle dernier par un ingénieur anglo-saxon du nom de Keely.
Au début du siècle dernier, Keely a mis au point un moteur proche de la mécanique atlante, qu’il nomme moteur sonique, à cause de son démarreur sonore. Il s’est livré à plusieurs démonstrations concluantes en présence de témoins scientifiques. Ces derniers ont pu constater que ce curieux moteur ne requérait aucune énergie pour fonctionner.
Aucune énergie connue, pourrait-on dire. Car Keely parlait des « vapeurs éthériques » formant un bain d’énergie autour de son moteur. Ces vapeurs éthériques ne seraient-elles pas la fameuse énergie vril des Atlantes ?
On ne le saura sans doute jamais. Car le vrai problème avec le moteur de Keely, c’est que personne d’autre que lui n’a réussi à le faire tourner. Lui seul y est parvenu. Et il semble bien qu’il ait emporté son secret dans la tombe.
Mais d’autres découvertes se font chaque jour de par le monde. La recherche sur les bateaux et avions hyper véloces vient de faire fait un bond en avant grâce à la MHD. Cette nouvelle technologie pourrait nous ouvrir les portes de l’antigravitation.
Quant aux recherches contemporaines sur le son, elles se sont limitées au domaine de l’audible par l’homme, principalement pour faire progresser les techniques de reproduction sonore, c’est à dire la très étroite bande passante des sons audibles par l’oreille humaine. En faisant l’impasse, notamment, sur les innombrables propriétés des ultra et des infra-sons.
Il existe un grand mystère médiéval, celui de la Musique des Sphères. Chaque corps céleste émet une note particulière et participe ainsi de l’harmonie universelle. Il ne s’agit pas d’un vague thème pour symbolistes. Une note est une vibration, une onde. Or chaque planète émet une foultitude de signaux, des ondes innombrables qui s’unissent en une seule note particulière propre à la planète en question. Chaque planète joue ainsi sa partie dans la symphonie cosmique…
Efficacité et splendeur du vivant. Rien d’invraisemblable ni d’anti-scientifique à ça. Je parie que ces notes servent de système de radioguidage pour les spationautes extraterrestres… Ils reconnaissent notre planète bleue à sa note propre, un fa dièse ample et modulé… De couleur bleue ? Ça se peut…
Notre science a très peu étudié les propriétés des sons. Certaines sont ahurissantes. La découverte trop précoce de la radioactivité et de l’énergie nucléaire a détourné les physiciens de l’étude de phénomènes sonores. On ignore les propriétés de certaines fréquences comme le fa dièse, notamment dans le domaine des ondes gravitationnelles, qui nous reste inaccessible.
On ignore les sons qui paralysent. On ignore les sons qui arrêtent le temps, les sons qui brisent le verre, ceux qui font écrouler des murailles, ceux qui font fleurir les plantes, ceux qui chassent les nuages ; on ignore les sons pour voyager dans d’autres mondes, pour soulever les plus lourdes pierres, pour dresser la kundalini de l’éveil, pour la transe sacrée… On ne sait pas grand-chose non plus des sons qui ouvrent le corps, le cœur et l’âme…
Par contre, on connaît les sons pour rêver et les sons pour danser. Notre civilisation ne s’intéresse qu’à ces deux catégories. C’est bien beau… Mais trop peu.
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