A travers de multiples techniques, les Atlantes avaient développé tous les pouvoirs de l’esprit, le chamanisme, la transmission de pensée, l’art de guérir, de voir l’invisible et les auras, ou autre pouvoir psi. Mais ils étaient aussi des ingénieurs au sens actuel du terme, car ils utilisaient les deux hémisphères cérébraux, et non un seul, comme nous. 

 

Les Atlantes étaient plus développés que nous aux plans matériel et spirituel. Ils maîtrisaient « l’utilisation des générateurs électriques dans la fission de l’atome, pour libérer l’énergie », mais ils se seraient détruits avec. La catastrophe aurait commencé par une extermination animale. Il fallait tuer les mammouths qui devenaient trop envahissants…  Un conseil international décida de recourir aux explosifs. Différentes bombes mirent fin aux derniers grands animaux, selon le voyant étasunien Edgar Cayce.

Par la suite, les explosifs furent utilisés contre les autres peuples, c’est ainsi que les Atlantes/Asvins annihilèrent l’empire de Rama, dans la vallée de l’Indus. Et puis les Atlantes se déchirèrent entre eux.

 

 

Quand l’empire est trop grand, les héritiers se font toujours la guerre… La science atlante se présentait plutôt comme une religion…  à bien y réfléchir, la nôtre aussi. Seulement nos idoles sont moins sexy. Malgré sa grande clairvoyance, Edgar Cayce n’a pas clairement perçu la différence fondamentale entre leur science et la nôtre : c’est l’utilisation du cerveau qui était alors différente. L’hémisphère logique n’était pas dominant comme il l’est aujourd’hui. Voilà pourquoi leur science était religion, et leur religion s’appuyait sur leur science, ce qui est juste à l’opposé de ce qui se passe aujourd’hui.

Nos sciences humaines ne s’appuient plus sur la science physique, qui devrait être leur étalon et leur modèle. Ainsi la biologie n’est toujours pas alignée sur les notions quantiques, qui sont pourtant la principale avancée de la physique contemporaine. Non, la biologie s’appuie toujours sur la physique de Newton et ne manifeste pas la moindre intention d’actualiser ses paradigmes. Une science qui méconnaît la science est-elle une science encore ? Le pire a été atteint dans des disciplines plus artistiques, si l’on peut dire, aux méthodes strictement non scientifiques, comme l’archéologie, la paléontologie et l’égyptologie.

 

 

L’affaire Altamira nous a révélé les vices de la paléontologie et des outrances choquantes de l’école française des grottes peintes. L’affaire Hawass nous a montré l’arbitraire obtus de l’égyptologie. L’affaire du volume crânien des Néandertaliens illustre l’a peu près et le n’importe quoi érigés en dogmes scientifiques. L’affaire Antarctique 2026 va radicaliser encore le délire des archéologues. Ce qui a bien des chances de se produire d’une façon ou d’une autre dans un avenir proche.

Les surhommes d’Atlantide maîtrisaient une science inconnue, la gravitologie, qui leur avait ouvert la cinquième dimension. En empruntant des raccourcis dans la trame de l’espace-temps, ils se déplaçaient plus vite que la lumière. Impossible ? Imaginez un univers plié comme une pâte feuilletée.

La lumière doit parcourir tous les plis, tandis que les gravitons passent à travers la pâte et gagnent un temps fou. Seuls les gravitons peuvent faire ça. Les gravitons…  et les Atlantes. La gravitologie comportait un autre chapitre passionnant, l’antigravitation ou comment ôter le poids des objets. Sans effort, les Atlantes pouvaient déplacer des blocs de pierre pesant plusieurs tonnes. Aussi ont-ils construit des murs cyclopéens et dressé des mégalithes tout autour de la terre. Ils avaient d’excellentes raisons de le faire, et ça ne leur a pas demandé autant d’efforts qu’on a pu le croire. 

Leur maîtrise de la gravité pourrait venir aussi de leur taille gigantesque conjuguée à une gravité plus faible… L’étude et la maîtrise des mécanismes gravifiques avait amenés leurs lointains ancêtres de l’Age d’Or à accomplir la prouesse de redresser l’axe de rotation de la  terre jusqu’à l’amener dans le plan de l’écliptique. A moins…

A moins qu’une fausse manœuvre ait amené le résultat inverse ? Reportons-nous aux temps heureux et mythologiques où la terre tournait autour du soleil en 360 jours. Elle était alors bien calée sur le plan écliptique, tout était réglé au quart de poil dans la grande horloge cosmique, et l’année se divisait harmonieusement en douze mois de trente jours. Je ne vous conte pas de sornettes, de nombreux mythes l’attestent et c’est pourquoi on partage le cercle en 360°, comme l’ellipse terrestre partageait jadis l’année en 360 jours.

 

 

Mais cette belle harmonie s’est trouvée brisée, disent les mythes. Une catastrophe est intervenue, mais laquelle ? Immanuel Velikowski a imaginé une collision avec une comète géante. Oui, pourquoi pas ?

J’imagine pour ma part un scénario bien différent. Représentez-vous un engin spatial d’une taille colossale flottant dans l’océan Atlantique. Représentez-vous l’Atlantide comme une île de bronze tombée du ciel, un engin spatial aux dimensions d’un vaisseau-mère, qui flottait au milieu de l’océan. Il en occupait presque toute la surface, car son diamètre était de 3300 kms. Ce qui ne laissait pas beaucoup de place dans l’océan atlantique. En passant par la grande île flottante, on pouvait facilement gagner les deux rives de l’Atlantique, comme le dit Platon.

Seulement, au décollage, il y a eu un bug dans les commandes informatisées du vaisseau géant. Le commandant de bord, Atlas fils de Poséidon, n’a pu empêcher l’île-vaisseau de retomber dans l’océan. Un énorme tsunami a balayé les deux rives, c’est le deuxième déluge, survenu vers 2500 AEC.  

Il n’est même pas besoin d’imaginer une erreur de pilotage : quand un vaisseau de cette taille quitte l’océan, le volume d’eau déplacée est si considérable qu’il suffit à causer le tsunami en question.

 

 

Ne croyez pas que je sorte cette hypothèse de mon chapeau magique. J’y suis venu après vingt ans de recherches, à force d’achopper sur des détails agaçants : d’après certains auteurs, l’île Atlantide était parfaitement ronde -mais pas sphérique comme le montre cette image, puisque l’océan atlantique n’est pas assez profond- et partagée en quatre quartiers égaux : le terme de quartier et le partage des villes en quartiers sont un héritage atlante. Cette régularité géométrique n’est guère naturelle, elle évoque plutôt un artefact.

Les Atlantes ont été identifiés avec les anciens astronautes, ces savants venus des étoiles pour apporter la civilisation sur les planètes sauvages. Ces astronautes avaient besoin d’un vaisseau, non ? Pourquoi pas l’île Atlantide ? Cette île artificielle, gigantesque et ronde, correspond précisément aux descriptions de Platon.

Si vous avez une planète à terraformer, on peut faire comme nous sur Mars, y aller dans des boîtes à sardines et tout fabriquer sur place à l’aide d’imprimantes 3D. Mais si vous êtes des professionnels de la terraformation, si vous appartenez à une civilisation qui dure depuis des milliards d’années, il est beaucoup plus commode de se déplacer sur une planète artificielle, bénéficiant de tout le confort et toute la technologie de votre planète d’origine. Et comme par hasard – quel hasard ?? – nous avons des témoignages au sujet de cette planète des dieux.

Le hasard n’existe pas. Tout ce qui arrive est voulu.

Bouddha

Le témoignage le plus frappant est celui de Nibiru, la planète vagabonde. On a pensé qu’il pouvait s’agir d’une planète à orbite excentrée, qui reviendrait tous les 3000 ans seulement dans le système solaire. Allons donc ! Si elle est vagabonde, cette planète Nibiru, c’est tout simplement qu’elle est artificielle.

 

 

Enfin cette bombe : on a reporté l’existence d’autres îles-continents englouties dans d’autres parties du monde. Il s’agit de Mu dans l’océan Pacifique, abritant une civilisation très développée, qui a disparu sans laisser de trace, comme l’Atlantide. Et aussi la Lémurie ou le Pays de Pount, dans l’océan Indien, fréquentée par la reine pharaon Hatchepsout, pour ne citer qu’elle. Ce sont d’autres engins spatiaux, venus à différentes époques, du même endroit et pour les mêmes motifs…

Et figurez-vous qu’ils tenaient tous dans les vastes soutes d’un vaisseau spatial plus vaste encore, en orbite stationnaire au-dessus du pôle nord, que les Romains nommaient Hyperborée.

 

Xavier Séguin

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