Merkaba

 

Quand j’ai commencé à mettre en ligne les articles de ce site, je voulais déjà parler de la merkaba. Depuis quinze ans, j’ai lu bien des sottises et des conjectures hasardeuses sur cette importante question. Beaucoup de charabia symbolique, mais pas de vision convaincante. Pour décrire cette réalité oubliée, il me fallait visiter les annales akashiques.

 

Je suis resté longtemps en quête de vision. Me voici prêt, j’en parle. Ainsi va notre Saga. Il aura fallu que je découvre la vérité sur l’Atlantide et sur Nibiru, ainsi que l’existence omniprésente du grand vaisseau-mère Hyperborée pour qu’enfin ce sujet revienne d’actualité. Je parle de mon actualité, celle de l’amour, de ce jour et demain, du surhumain, celle qui court les ondes scalaires.

Comme d’hab, je vais chercher dans Wikipedia la pensée dominante que j’ai reçu la grâce d’oublier. Cette pensée qui n’en est pas une, qui se veut dogme, qui n’explique rien, qui embrouille tout et qui prend les messies pour du sauternes. On écoute l’anti-prophète.

La Merkaba (de l’hébreu מְֶרכָָּבה (merkavah)) est un thème du mysticisme juif en lien avec la vision du trône céleste et du char divin. Ces spéculations prennent leur origine dans le premier chapitre du Livre d’Ézéchiel que la Mishna appelle Ma’asseh Merkaba. (source)

 

Merkaba d’Egypte

Non, non et non, le mot merkaba ne vient pas de l’hébreu. Il trouve son origine dans l’égyptien antique. Cette langue a inspiré toutes les autres, ou presque. Traduit des hiéroglyphes, Mrkb signifie char. Ce qui corrobore le sens premier donné par le Livre d’Ezéchiel, à savoir char céleste, ou plus précisément char volant.

Qu’on se réjouisse en grillant des saucisses : les anciens astronautes sont de retour. Ça fait plaisir. On rigole, on bannit toute morosité, on fuit la tristesse, le dépit, l’amertume. Surtout l’amertume. Elle nous tuera. Souviens-toi que mrkb peut se traduire en langue des oisons : l’amer qu’abat.Désolé…

La merkaba est un véhicule volant, un astronef des dieux d’avant. La merkaba était soit un astronef triplace communément utilisé par les émissaires du grand vaisseau, soit le grand vaisseau lui-même, Hyperborée. Mais la suite nous montrera qu’il s’agit des deux.

Un exemplaire de cet astronef triplace, si répandu chez les dieux d’Hyperborée, fut légué en héritage au grand roi Salomon, qui s’en servit souvent pour des voyages au long cours, jusqu’en Extrême Orient ou en Amérique.

 

 

Doux chariot

Rappelons la vision d’Ézechiel; celle de la Bible et sa version chantée enchantée par le gospel-song étasunien. Le prophète Ézechiel fait état d’une petite roue qui tourne dans une grande roue. En fait il y a plusieurs petites roues qui tournent dans la grande. Quatre petites roues. Et qui ne tournent pas, ajoutera le prophète biblique. Les chanteurs noirs comme les exégètesanalystes chrétiens se sont laissé abuser par le mot roue. Ils ont mis les petites roues et la grande sur un plan vertical, perpendiculaire au sol comme le suggère le mot chariot.

Les chants évangéliquesgospel songs des Noirs d’Amérique ont karchérisé la mythologie biblique. Tiré d’un psaume, voyez cet autre gospel : « Swing low sweet chariot coming down to carry me home » soit en français : « Descends doucement doux chariot qui vient pour m’emmener chez moi« . Aux lecteurs familiers des dieux d’avant venus du ciel, c’est on ne peut plus clair.

On en trouve des niaiseries sur le sens spirituel de ce mot. Chaque gourou new age y va de son couplet coincé, où ne brille ni l’intelligence ni l’humilité, seulement des boursouflures d’ego. Prends ta mort pour conseil. Oublie-toi. Ne t’écoute plus parler. Renais de tes cendres. Recommence. Tu peux mieux faire. Beaucoup mieux. Il est grand temps.

 

 

L’abduction d’Ézechiel

Quand wikipedia dit qu’il s’agit d’un thème du mysticisme juif, c’est vrai. Ici ce n’est pas l’encyclopédie qui se goure, mais les rabbins et les cabalistes. Ézechiel a eu des visions célestes, c’est indiscutable. Et pas des visions d’illuminé. Des scènes qu’on peut comprendre quand on a vu Starwars. Ézechiel a vu se poser les anciens astronautes. La chance ! Je crois même qu’il a vécu une abduction, un enlèvement par les dieux d’avant, Élohim ou YHWH, qu’importe leur nom ?

Il décrit des entités semi humaines sur des engins volants, en elles on reconnaît le tétramorphe. Il dira plus loin que ces quatre créatures volantes sont des chérubins, kerubim en Hébreu. Je vois en elles des serviteurs du puissant monarque venu des étoiles pour terminer l’aménagement de notre planète. Il se déplace sur un char aux roues gigantesques, si grandes que les immenses chérubins paraissent minuscules à côté d’elles. L’engin volant sur lequel trône le dieu des dieux est de la taille d’une planète. Il s’agit d’Hyperborée.

La parole est à Ezéchiel : « Chaque fois que les créatures vivantes se déplaçaient, les roues se déplaçaient avec elles, et quand les créatures vivantes s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi. » (source)Ézechiel 1 19

La devinette est trop facile. Les roues sont des soucoupes volantes et les créatures vivantes sont leurs divins pilotes.

 

 

La vision décodée

Les roues tout entières avaient l’aspect brillant de la chrysolithe ; les quatre étaient identiques. Pour ce qui est de leur aspect et de leur structure, c’était comme si une roue se trouvait dans une roue. Quand elles se déplaçaient, elles pouvaient aller dans n’importe laquelle des quatre directions sans pivoter. Leurs jantes étaient d’une hauteur impressionnante ; les jantes des quatre roues étaient pleines d’yeux tout autour. (source)Ezechiel 1 16-18

Quatre roues qui sont chacune comme une roue dans une autre roue. Tous les commentateurs se sont laissé abuser par le mot roue. Ces objets gigantesques ont effectivement la forme de roues, mais elles n’en sont pas. Il s’agit des quatre îles circulaires qui se trouvent dans les soutes transparentes du grand vaisseau-mère Hyperborée. Les trois premières se sont posées sur l’océan atlantique, l’océan indien et l’océan pacifique. L’Atlantide que l’Égypte appelle Amenta, sur l’océan Indien le Pays de Pount qu’on appelle aussi Lémurie, et enfin sur le Pacifique, Mu.

La quatrième à ma connaissance n’a pas été utilisée sur Terra, faute d’un quatrième océan assez vaste pour l’accueillir… À moins que ce ne soit dans l’océan glacial arctique, alors libre de glaces, juste au-dessous d’Hyperborée ?

Les îles circulaires sont faites de chrysolithe : une pierre translucide jaunâtre. Il s’agit d’une matière technologique et non de la pierre naturelle qui a cette apparence. Mais comment Ézechiel pouvait-il saisir la différence ? Les yeux tout autour des roues sont des hublots. Transportées dans les soutes transparentes du vaisseau-mère, elles peuvent se déplacer dans toutes les directions sans pivoter, c’est à dire sans tourner sur elles-mêmes.

 

 

 

Prophète ou témoin ?

Nos lointains ancêtres témoins de la scène perçoivent et décrivent selon les réalités de leur époque. Ces réalités étaient restreintes. Leur incompréhension du monde spatial, totale. Leur inexpérience de la technologie, évidente. Avec de tels handicaps, comment auraient-ils pu décrire ce que voyaient leurs yeux incrédules ?

Notez que le prophète Ézechiel n’en est pas un : c’est un témoin. Ce dont il témoigne sera décrit avec des mots simples, tirés de l’environnement du rédacteur.

Ce rédacteur n’est pas Ézechiel, ni aucun témoin oculaire. Je suis certain que le récit oral a été transcrit longtemps après que ces événements extraordinaires aient frappés les témoins. Pourquoi ?

Pour les anciens, l’écriture est impure, inapte à reproduire le son sacré. Avant l’invention de l’alphabet, l’écriture cunéiforme est complexe, seuls quelques scribes la maîtrisent. Quant aux hiéroglyphes et leur triple niveau de lecture, leur maniement est réservé à de rares initiés. De plus, il y eut une grave crise des scribes consécutive aux invasions des Peuples de la Mer, sous Ramsès III.

Posons-nous la question : pendant combien de générations ce texte a-t-il été répété de bouche à oreille d’initiés ? Assez pour l’obscurcir encore…

 Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. (Arthur C. Clarke)

 

Pareille au Soi et à l’Esprit

Une autre traduction du terme égyptien pourrait être la suivante : mer ka ba, pareille au Soi et à l’Esprit. Ou bien : comme toi et ton âme.

La pertinence des interprétations dans la langue égyptienne montre qu’elle en est la première version, la source de toutes les autres langues. Le prophète hébreu serait donc, comme Moïse, un Égyptien. En Arabe, ka’ba ou Kaabah signifie la demeure sacrée d’Allah. Oui, ce terme coïncide avec le terme hébreu. Allah YHWH est sur son trône de gloire, commodore du gigantesque vaisseau-mère dont la taille est celle de la planète Vénus.

La Ka’bah est située sur les fondations du Masjid al Haram à La Mecque. Il est dit que ce fut la première demeure de YHWH sur Terra, construite par Abram fils de Ram, qu’on appellera Abraham.

 

 

Langue des Oisons

 Les Oisons sont petits de la Mère l’Oie, que les initiés entendaient : l’amère loi. Et leur langue n’était pas celle des oiseaux comme on l’entend trop souvent dire. La célèbre langue des Oisons, partout présente, ne peut s’empêcher de venir mettre ici son grain de sel. Qu’entend-on par merkaba dans cette belle langue initiatique ? On entend ceci : une mère avec son cabas. Ce qui n’est pas si incongru qu’on pourrait croire : les dieux d’avant sur leurs chariots volants ont apporté l’abondance sur Terra. Ne serait-ce qu’en enseignant l’agriculture et l’élevage aux humains jusqu’alors chasseurs cueilleurs.

Il est écrit dans la Bible et d’autres textes sacrés qu’au centre du jardin d’Eden, il y avait un arbre d’abondance. Certains auteurs y voient un supermarché. Pourquoi pas? Un sauvage venu du fond des âges qui n’a jamais vu un supermarché, comment le décrira-t-il?

Une mère cabas. La Déesse Mère avec sa corne d’abondance.

 

 

…Oui mais si on danse ?
Gaston Lagaffe