J’ai pris la liberté d’appeler « nos créateurs » cette race de surhommes surdoués qui ont terraformé cette planète en la peuplant avec leur génétique extraterrestre. Nos maîtres sont venus très souvent depuis leur première visite, il y a des milliards d’années. Ils viennent quand ça leur chante. Ils sont ici chez eux. Une fois, il y a 12.500 ans, le vaisseau géant a ouvert ses soutes pour accoucher d’une île flottante.
Cette île circulaire artificielle s’est posée délicatement sur l’océan Atlantique. Avec ses quelques 3300km de diamètre, c’était un continent. Elle occupait presque tout l’Atlantique nord, conformément aux dires de Platon qui la nomme Atlantide. Le philosophe grec nous dit que très peu de mer séparait cette île circulaire de l’une et l’autre rive de l’océan. L’Atlantide touchait presque la côte américaine, et elle n’était que peu éloignée des côtes européennes. L’île flottante formait un pont entre les deux continents — ce qui explique les migrations néolithiques…
Une autre fois, les dieux astronautes se sont posés sur l’océan Indien. Les voisins Africains et Indiens l’appelèrent le Pays de Pount. On dit aussi la Lémurie. Une autre fois encore, il s’était posé sur l’océan Pacifique. Son découvreur l’a appelé Mu.
Quand on met un paquet de nouilles dans une casserole pleine d’eau, ça déborde. Quand un engin de cette taille se pose sur un océan, le volume d’eau déplacé fait monter le niveau des mers. Si l’atterrissage, ou plutôt l’amerrissage est très progressif, les inconvénients pour les riverains sont mesurés : une élévation du niveau de chaque côté de l’Atlantique est toutefois inévitable. Mais en cas de décollage ou d’amerrissage brutal, l’impact de l’énorme vaisseau lève un tsunami terriblement dévastateur.
C’est ce qui s’est passé lors du décollage raté de l’Atlantide, il y a 12.500 ans. En effet Atlas, le commandant de bord, a loupé son décollage. Le vaisseau géant est retombé lourdement dans l’océan. Résultat : un tsunami effroyable a dévasté les deux côtes riveraines. La côte Est de l’Amérique et la côte Ouest de l’Europe ont été ravagées par des séismes, des éruptions volcaniques et des glissements de terrain. Les légendes américaines et européennes évoquent une vague de 4km de haut ! Il n’y a là aucune exagération. Songez à la taille de l’île artificielle !! Représentez-vous le volume d’eau déplacée…
Du point de vue des visiteurs, ces îles artificielles étaient une planque idéale. Ils avaient tout leur matos et leurs stocks dans les vastes soutes, la surface était aménagée depuis des éons, un jardin d’Eden beau à pleurer, que ceux qui l’ont l’ont vu disent hallucinant au point de l’appeler le paradis terrestre. On voudrait en effet y rester pour toujours. Les séjours y sont courts. En revenant sur terre, aux épuisants travaux des champs, harassants terrassements, exténuants portages, dix jours par décade et 360 jours par an – ce qui était alors la durée de l’année.
Jamais de repos, sinon le jour du Nouvel An, anniversaire de leur arrivée sur terre. Jamais de repos sauf le Nouvel An, les Chinois de Macao pratiquaient ça dans les années 70. J’en fus témoin. Et je ne suis pas sûr que cette très antique coutume ait totalement disparue.
Aussi, quand les terraformeurs sont revenus, ils ont tiré parti de leur expérience malheureuse : ils ne se sont plus posés sur un océan. Ils ont choisi de rester en orbite stationnaire à proximité de la terre. Pour cela, ils ont choisi le point le plus favorable, à la verticale du pôle nord. L’étude des couches stratosphériques a montré qu’il y existe une zone indemne de perturbations solaires et astrales, et qui est aussi relativement protégée des ondes géomagnétiques. Cette zone se situe dans un cône vertical dont la pointe se situe au pôle nord.
Ils ont donc fixé leur vaisseau-mère à la verticale du pôle nord, que l’on appelait jadis Borée. Aussitôt appela-t-on cette planète nouvelle toute proche : Hyperborée, qui signifie au dessus de Borée, le pôle nord. Les visiteurs des étoiles ne venaient pas faire du tourisme. Ils avaient une mission. Tout d’abord, rendre cette planète habitable. Leurs assistants les Anges / Géants les ont bien aidés dans cette tâche. Mais leur haute technologie a été décisive pour toutes les constructions : pyramides, murailles cyclopéennes, mégalithes, etc.
La dernière étape de toute terraformation est la plus délicate : créer, instruire et former une espèce intelligente capable de prendre leur relève quand ils s’en iront. Parce qu’ils s’en iront. Les visiteurs ont d’autres planètes à terraformer, l’espace n’en manque pas, et ces gens-là ne sont pas limités par la vitesse de la lumière, qui n’est infranchissable que pour des débutants. Ils ont créé plusieurs humanités avant de concevoir la nôtre, cinquième du nom. Ou sixième, les auteurs divergent. Ils nous ont appelés Adam, ou Eden. Et l’invraisemblable récit de notre histoire oubliée est ici, dans l’Adam Saga d’Eden Saga.
Leur œuvre ainsi couronnée, les dieux sont partis. Ils partent toujours. Ils ont promis de revenir. Ça fait partie du protocole. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Ces dieux-là sont des rats. Mais des rats fabuleux. Dans un prochain article, nous reviendrons quelques milliards d’années en arrière pour contempler une de leur première méga-réalisation : dompter la foudre. Chevaucher les éclairs. Les Cyclopes l’ont fait. Zeus a hérité de leur pouvoir. Une tapée de dieux sont préposés à la foudre et aux éclairs dans toutes les cultures, toutes les vieilles religions, Ramman, Perun, Chac ou Tlaloc… Chez les Gaulois, c’est Taranis. Son nom déjà ébranle comme un coup de tonnerre.
Si vous avez la curiosité de lire les liens du précédent paragraphe, vous constaterez qu’il y a deux sortes de foudre : la foudre naturelle et la foudre artefact. Les dieux d’avant possédaient des rayons lasers capables de découper la roche, sans parler des dégâts sur les humains. Leur pistolets donnaient l’impression que leurs mains lançaient des éclairs. La foudre naturelle est un phénomène météorologique qui n’a aucun rapport avec les armes précédentes, à part l’électricité induite.
Leur technologie, dans tous les domaines, étaient à la fois semblable et différente de la nôtre. La notion d’efficacité, très présente chez eux comme chez nous, n’était pas corrélée à des considérations de rentabilité, de profit, d’investissement. Ils étaient parfois égoïstes, accapareurs, voleurs, violeurs et autres, mais pas radins. L’argent ne comptait pas dans leur comput.
Cette énorme absence explique toute la différence entre l’homme et le surhomme. Tandis que l’homme est faible, indécis, facilement corruptible, le surhomme investit dans l’avenir, car il est maître du temps.
Il existe une probabilité pour que les dieux d’avant aient appartenu à plusieurs espèces d’extra-terrestres venus de systèmes stellaires différents. C’est du moins ce qu’on peut lire sur les précieuses tablettes d’argiles amassées par les rois Sénachérib et Assurbanipal.
Véritable encyclopédie assyrienne, ces tablettes nous apprennent une foule de choses sur ces dieux, les planificateurs, la maison royale des Kingu et les fameux Anunnaki, serpents volants nimbés d’une aura de mystère. Les tablettes mentionnent par exemple que les maisons lumineuses dans lesquelles ils vivaient. On ne peut s’empêcher d’évoquer Hyperborée. « Les Anunna, dans leur demeures de lumière à l’intérieur de leur grand domaine, mangeaient et buvaient abondamment, mais leur félicité n’était pas complète. Malgré l’étendue du jardin d’Eden, la nourriture n’y avait pas l’abondance requise. Aussi décidèrent-ils d’élever l’espèce humaine dans un autre endroit. » (source)Tablette de Kharsag n°2, traduction de Xavier Séguin
S’éclairaient-ils à l’électricité ? Faut-il croire que les éclairs les illuminaient ? Il semble bien… Pourtant certaines expressions nous choquent. Ces dieux-là n’avaient pas grande considération pour nos ancêtres… Ils parlent en effet d’ Elever l’espèce humaine, comme des animaux domestiques ! Quel culot ! On a l’impression que nos maîtres nous prennent pour du bétail !
Ce qui est vraiment le cas : « Alors le troupeau des hommes fut établi au pied des monts Taurus, dans la vaste plaine bien irriguée, la grande Edin, où ils pourraient cultiver le sol à loisir… Pour irriguer la vaste Edin, pour qu’une eau abondante se répande et arrose les champs, les dieux mirent à la disposition des Hommes des pioches afin de creuser canaux et rigoles, des bêches, paniers et charrues afin de cultiver le Kalam.le pays de Sumer Alors les Hommes se mirent à faire croître le grain » (source)Tablette – La liste royale de Lagas, traduction de Xavier Séguin
On a reconnu au passage Adam et Eve chassés du jardin d’Eden, pour aller gagner leur pain à la sueur de leur front. Et on aura compris que les rédacteurs de la Bible ont pioché des infos dans ces textes, sans réaliser ce qui s’était vraiment passé. Mais on aura compris surtout que l’agriculture nous a été donnée « close et achevée » par des êtres plus instruits, sans doute venus d’un autre système planétaire. L’homme a donc commencé à cultiver avec une charrue.
Les dieux d’avant utilisaient les mêmes énergies que les nôtres, y compris le nucléaire. Ils ont aussi utilisé des armes de destruction massive dans leurs guerres intestines : bombes atomiques, comme à Sodome, à Gomorrhe, et dans bien d’autres endroits. Et tout un arsenal terrifiant… Dans la description qu’en donne le Mahabharata, la plupart de ces armes surpuissantes n’existent plus à l’heure actuelle. Tant mieux. N’imitons pas les dieux dans ce qu’ils ont d’odieux.
Souvenons-nous d’eux. Leurs réalisations magnifiques nous servent encore aujourd’hui, et nous, ignorants ingrats que nous sommes, nous avons le culot d’en remercier la nature ! Ils ont bossé pendant des millénaires, infléchissant l’évolution naturelle, lui donnant des coups de pouce pour qu’elle aille dans le bon sens : le nôtre. Ils se sont décarcassés que Ducros à côté n’est qu’un nain. Tous nous sommes des nains à côté d’eux. Tous nous faisons de la merde à côté de leurs chefs d’œuvre.
En terme d’énergie, leur plus brillante réalisation est dans la maîtrise de la foudre, un domaine dont nous ignorons tout. La foudre constitue une source d’énergie renouvelable, inépuisable. Les terraformeurs savaient attirer la foudre, éclater l’éclair, l’émietter en boules de foudre. Avant le déluge, la foudre fournissait l’essentiel de l’énergie dont ils avaient besoin. Il en fallait beaucoup pour faire fonctionner leur énorme vaisseau et ses innombrables machines.
En Angleterre, dans le Wiltshire, j’ai eu pour la première fois cette intuition. J’étudiais ces questions depuis des années dans les vieux mythes et les textes sacrés. Mais rien ne vaut le travail de terrain pour comprendre l’inimaginable. J’ai vu fonctionner l’ensemble mégalithique d’Avebury dans une vision éveillée. L’un après l’autre, tous les rouages de la grande machine de pierre reprenaient vie sous les éclairs bleus. J’ai compris qu’il s’agissait d’une usine à foudre, une centrale d’énergie fulgurale, et j’ai pris une grande leçon d’humilité. Les terraformeurs étaient surhumains. Malgré toute notre science, nous sommes très loin de les égaler, comme vous pourrez le constater dans le troisième et dernier volet de cette série : Toujours nos créateurs.
Cet article reprend, complète et actualise une conférence que j’ai donnée à Barcelone en 2015. (à suivre)
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