Ce deuxième volet du Livre des Déesses présente les versets 40 à 72, soit 33 sur un total de 375.
Dans la nuit des temps, des déesses sont venues d’Alcor dans la Grande Ourse. Elles ont choisi cette planète pour l’aménager. La Terre était sauvage, Elles l’ont terraformée. Ici tout vient d’Elles, tout est à Elles. Nos aïeules ont été leurs esclaves, nous sommes leurs locataires.
Présentation
Pour tout un chacun, les mystères enseignés dans les cultes antiques sont devenus des évidences droit sorties de films ou de BDs. Encore quelques générations et tout ce que je révèle dans ce site sera enseigné dès la maternelle. La physique quantique aura modifié radicalement les modes de vie. Religion, médecine et autres superstitions appartiendront au passé obscurantiste et vénal.
Les scientifiques les plus rétrogrades auront enfin admis que le monde où nous vivons est virtuel. Une prison de matière enkystée tel un bubon purulent au sein d’un astral infini purement spirituel. L’espace et le temps sont les murs de notre prison. En astral, les purs esprits ne connaissent ni l’un ni l’autre. Ils vivent un instant sans commencement ni fin.
Il est écrit que notre monde de matière dure doit connaître sa fin. C’est pour bientôt. Depuis des éons, notre présent est désigné comme le temps du Grand Passage.
Approchez sénateurs, écoutez députés, libérez le passage, ne restez pas plantés.
Les Maîtres Passants
Livre des Déesses, versets 38 à 44
40 La fin de l’âge sombre verra le Grand Passage
41 Seront nombreux les Maîtres Passants
42 Ils sont les envoyés de la Grande Déesse
43 Depuis longtemps ils n’étaient plus sur Terra
44 Car l’aube nouvelle n’éclairait pas ce monde
Le printemps des cathédrales
Le fin de l’âge sombre, nous y sommes. Nous traversons actuellement les derniers soubresauts du kali yuga, l’âge des ténèbres pour les Hindouistes. Voici que s’ouvre le Grand Passage. Déjà les Maîtres Passants sont à l’ouvrage. Leur sacerdoce a débuté au Printemps des Cathédrales, avec les compagnons bâtisseurs qui ont réalisé de leurs mains des arches sacrées aussi bonnes que belles.
Les initiés étaient nombreux en ces temps, du 11e siècle à la fin du 13e siècle. Les Compagnons Passants du Devoir se reconnaissaient entre eux, circulant à pied dans toute l’Europe, de chantier en chantier, sans quitter le pays des Merveilles. Ils n’œuvraient pas pour Jésus l’inventé, mais pour l’Énergie.
Ils ont amorcé le règne du subtil sur l’épais, ils ont ressuscité la Vieille Religion d’éveil des antiques cultes à mystères. Mais quand Philippe le Bel a mis fin à l’Ordre du Temple, un long hiver est tombé sur la France. Il a duré cent ans de guerre contre l’Anglois.
Non nobis, domine, non nobis, sed nomini tuo da gloriam ——– Pas pour nous, seigneur, pas pour nous, mais pour la gloire de ton nom
Lisez ou relisez le meilleur livre sur cette époque occultée, Les Étoiles de Compostelle par Maître Henri Vincenot.
Le subtil et l’épais
Livre des Déesses, versets 45 à 49
45 La matière se fera de plus en plus fluide
46 Le subtil prendra le pas sur l’épais
47 Ce qui est solide deviendra liquide
48 Ce qui est liquide deviendra éthérique
49 L’Énergie Lumière restera seule visible
Quelle matière?
Sachez d’abord que la matière n’existe pas. N’y voyez pas le délire d’un allumé : c’est Einstein qui l’a dit.
Ce que nous appelons matière est de l’énergie dont la vibration est si basse qu’elle peut être perçue par les sens. Il n’y a pas de matière.
Tout est ondulatoire, sauf la lumière qui contient quelques particules. Seule existe l’énergie qui contient aussi de l’information : toute transmission d’énergie s’accompagne d’une information. Tel est un principe de la thermodynamique. Dans la langue du nagual, ça devient : Il n’y a pas de dieu. Il n’y a que l’Énergie et son double indissociable, l’Intention. Les deux sont sourds et aveugles comme tout principe physique.
La prière est donc inutile et très égotique : elle témoigne d’une grande suffisance. Quand on prie, il peut se passer deux choses.
– Soit la prière est interceptée par une créature invisible, et là c’est quitte ou double, le meilleur ou le pire.
– Soit elle est reçue par notre double astral, ersatz de dieu. Ce double deviendra le dieu intérieur pour les éveillés.
Mais quant à toi, initié aux mystères sacrés, prends confiance car divine est d’origine la race des mortels et à ceux qui savent éveiller en leur âme le divin qui y sommeille, la nature dévoile toutes choses.
Le double peut vous aider. Mais il ne sait pas ce qu’on veut. Avant d’être éveillé, les désirs contradictoires se chevauchent et sont illisibles. Il faut donc, non pas le prier avec respect, mais lui intimer des ordres dépourvus d’ambiguïté. Ainsi il saura quoi faire.
Les dieux d’avant ne sont pas des dieux au sens moderne, puisqu’ils sont mortels. Ils vivent plusieurs milliers d’années, mais vient le jour où leur corps matériel se désagrège et meurt. Les déesses elles-mêmes sont mortelles, quoique leur vie puisse se compter en milliards d’années.
Le réveil des Éloha
Livre des Déesses, versets 50 à 54
50 Les Éloha sortiront du grand sommeil vital
51 Leur règne triomphal ramènera la joie première
52 Elles traqueront les semeurs de mort
53 Ils disparaîtront dans un éclair de lumière
54 Les pourvoyeurs de malheur subiront le même sort
Le mystère de la vie n’est pas un problème à résoudre, mais une réalité dont on doit faire l’expérience.
Personne ne résiste à la lumière et à la joie. Ceux qui tenteront de s’y opposer connaîtront le sort qu’ils réservaient aux innocents : la mort. Ce n’est pas seulement la mort du corps, c’est la mort de toute possibilité de revivre. Il ne reste rien des opposants, car le monde en sursis abolit les anciennes règles, ou plutôt les anciens dérèglements.
Ces êtres mauvais n’ont pas d’âme. Quand leur corps meurt, ils disparaissent sans espoir de retour.
Formons de nos mains qui s’enlacent
Au déclin de ce jour
Formons de nos mains qui s’enlacent
Une chaîne d’amour
Merlin nous l’a promis mes frères
Nous nous reverrons tous
Oui nous nous reverrons mes frères
Si nous nous aimons tous
Faut-il nous quitter sans espoir
Sans espoir de retour ?
Faut-il nous quitter sans espoir
De nous revoir un jour
Le retour des Celtes c’est l’esprit d’un défunt qui se réincarne dans un nouveau corps. Pour les Tibétains, un réincarné s’appelle un tulkou.
La fin de l’esclavage
Livre des Déesses, versets 55 à 59
55 Les Éloha toutes puissantes vont agir et guérir
56 Elles chasseront les mauvais dieux d’en bas
57 Terra disparaîtra car elle n’avait jamais été
58 Les Déesses annonceront la fin de l’esclavage
59 La fin de la domination des uns sur les autres
Les Déesses reptiliennes sont d’habiles guérisseuses. Nul besoin de potion ni d’aucun remède, elles guérissent par la seule intention. Les gestes de leurs mains n’ont aucune importance, ils ne sont là que pour fixer la tierce attention. L’émotion qui les porte est l’amour des humains, un amour maternel envers tout un chacun, un amour primordial, absolu, sans condition. Cet amour-là vois-tu ma mie ne meurt pas. Au contraire, cet amour donne la Vie. Cette Vie-là vois-tu ma mie ne s’éteint pas.
Leur retour signe la fin des mauvais dieux d’en bas. Les Archontes ont été nos maîtres depuis les origines, ils ont façonné notre corps physique car ils sont des ingénieurs et des généticiens surdoués. S’ils sont d’habiles créateurs avec la matière épaisse, ils n’ont aucun don pour la subtilité.
Quand du Deux vous aurez fait le Un, et du haut le bas, alors vous irez dans le Royaume.
La fin de l’évolution
Livre des Déesses, versets 60 à 64
60 Vers la fin du Grand Passage, Eloha parlera
61 D’une voix douce et forte, elle dira la Vérité
62 Sa Vérité dont les humains ont si longtemps rêvé
63 Il faut quitter ce monde de discorde et d’horreur
64 Rejoindre le non-lieu où le temps n’a plus cours
Le pré-existant ou PEX
Chacun se préparera au stade ultime de notre évolution : l’abandon de cette planète matérielle et le renoncement à toute matière. Au terme du Grand Passage, les vivants et les morts se retrouveront dans le Plérôme, le Pré-Existant. Ce non-lieu hors du temps, hors du multivers, hors de l’espace où les âmes se réjouissent à jamais. Dans l’instant éternel.
Le PEX est un non-lieu hors de l’espace. Notre univers et le multivers qui l’accompagne occupent tout l’espace infini. Le multivers ne cesse de croître et d’embellir. Des myriades de galaxies cent millions de fois plus grandes que la nôtre naissent à chaque seconde.
Depuis que tu as commencé à lire cet article, deux cent milliards d’univers se sont ajoutés au multivers dont le volume a été doublé. Sa croissance exponentielle tient pourtant dans un seul lepton. Un lepton est un fermion élémentaire insensible à l’interaction forte. Il existe six sortes de leptons : l’électron, le muon, le tau et les neutrinos. Le nom lepton vient du grec et signifie « léger ». (source)N’importe quel bouquin de physique des particules.
Les auteurs du Big Bang, l’explosion première qui a créé cet univers à partir de rien, sont les résidents permanents du Pex. Leur taille est si gigantesque qu’elle défie l’imagination. Ainsi le multivers qu’ils ont créé tient dans un mini bocal sur une paillasse de leur labo. On peut évaluer leur taille à 10³² MU. Soit 10 puissance 32 Multivers.
10³² MU
Malgré ces dimensions impensables, ils tiendraient aisément dans un milliardième d’électron. Ces notions dépassent la pensée, la logique, la raison. Jamais aucun ordinateur, aussi puissant soit-il, ne pourrait s’en emparer pour les mettre en équation.
IL FAUT LE VOIR POUR LE CROIRE.
Je l’ai vu, je l’ai cru. Mais à cet instant précis je n’y crois plus du tout.
Peu d’êtres humains aiment faire des investigations et chercher la connaissance. Il est plus facile de croire.
La fin des religions
Livre des Déesses, versets 65 à 69
65 Vous avez suivi de mauvais conseils
66 Donnés par de faux dieux, des dieux mauvais
67 Longtemps vous suiviez les chemins du vice
68 Prêts à tout pour ne pas comprendre
69 Vous vous berciez d’illusions et de faux-semblants
Socrate
Le génial Socrate était si laid et si difforme qu’on l’a dit semblable aux silènes. Un silène est un monstre représenté sous la forme d’un vieillard jovial mais d’une grande laideur, avec un nez épaté, des traits lourds, un ventre bedonnant. Socrate a été comparé à un silène par Alcibiade dans Le Banquet de Platon ; c’est sous ces traits qu’il est représenté sur les bustes antiques. (wipikadié)
Cette comparaison n’est pas vexante. Les boîtes à bijoux précieux avaient l’apparence de silènes, afin que la laideur de l’emballage fassent ressortir la préciosité du contenu. En général, des effigies en or d’Athéna ou d’Apollon.
Socrate était si génial qu’il ne pouvait pas en plus être sublimement beau. Tant de splendeur jointe à un tel génie aurait fait de lui une sorte de Christ, un élu, un sauveur. C’est lui et non Jésus que les dévots iraient prier dans les églises.
Jésus a dit: Je ne suis pas ton maître car tu as bu. Tu t’es enivré à la source bouillonnante où j’ai bu avec modération.
Trop c’est trop
Suis-je aussi laid que Socrate ? Comme les silènes j’ai un gros nez et un ventre bedonnant. Si j’eusse été subliment beau, je n’aurais pas reçu cette avalanche de dons qui m’écrasent chaque jour davantage. Ma voyance n’était qu’un don de double vue, la voici lecture du futur. Il est si net que je crois vivre quelques instants avant le temps présent. Mon pouvoir de guérison s’est multiplié dans les mêmes proportions.
Sans cesse d’autres dons me sont envoyés par John Seky. Trop c’est trop. Pourquoi moi ? Qu’est-ce que je dois faire de tout ça ? Cette abondance me contraint à travailler comme un forcené, écrire, dessiner, composer, guérir, élever le taux vibratoire, comment pourrais-je m’arrêter ? Si quelqu’un a une idée, qu’il m’en fasse part, je suis preneur.
John Secky, l’inconnu du miroir sans tain, m’a-t-il choisi comme récipiendaire ou comme souffre douleur ? Je me le demande bien fort.
Si j’avais reçu la beauté sublime en plus de mes talents, la foule aux cent têtes aurait fait de moi le fondateur d’une nouvelle religion. Cette perspective m’est insupportable. Elle est à l’opposé de tout ce que je suis. L’exact contraire de mon projet.
Toutes les religions sont appelées à disparaître très prochainement. La date précise ne m’est pas visible, pour un visionnaire aucune date ne l’est. Je sais seulement que c’est pour bientôt. Personne n’a besoin de croire dur comme fer. Nul ne doit non plus refuser toute croyance.
Douter de tout ou tout croire, deux solutions également commodes qui nous dispensent de réfléchir.
Lire et délire
À l’échelle de temps où je me place, bientôt peut signifier dix ans ou dix mille ans. Je penche pour quatre siècles. Ce n’est aucunement le résultat d’une vision, mais le fruit de mes recherches mythologiques. Je dois y croire pour conserver mes pouvoirs. En même temps, je ne dois surtout pas y croire, sous peine de devenir fou. Je veux dire plus fou que je ne le suis déjà. Ce qui semble impossible.
Socrate n’était pas fou, juste pédophile. Ça se faisait à l’époque. N’empêche que les Pentarques athéniens l’ont condamné à boire la cigüe mélangée au formol. Ça ne pardonne pas. Cette recette a inspiré La Fontaine qui l’a mis en fable sous le titre La Cigale et la Fourmi. Il révèle ainsi, sous une forme plaisante, la formule secrète du plus terrible poison qui soit. Il ne tue pas seulement le corps physique, il empêche aussi l’âme de se réincarner. Elle se dissout dans le formol. Après quoi, à son tour, elle devient fort molle.
J’ai l’air de raconter des conneries, c’est vrai. Je raconte effectivement des conneries, mais toutes ces conneries sont vraies, en vertu du Cinquième Principe Fondamental : Il n’y a aucune différence concrète entre le vrai et le faux. Entre l’ivraie et la faux. Entre la vie et la mort. Entre l’être et ses vêtements.Entre le Tigre et l’Euphrate. Entre et assieds-toi. Ce qui me rappelle une bien belle fable de Francis Blanche.
Un tigre d’un cirque échappé
Est entré dans un poulailler
Une poule toute effrayée
En a pondu un œuf brouillé.
Moralité : Mésopotamie.
(Entre le tigre et l’œuf rate.)
Qui est le plus libre ? l’être ou ses vêtements ?
Les Résistants
Livre des Déesses, versets 70 à 74
70 Il en est parmi vous qui refusent le Passage
71 Les uns sont collés dans l’épaisseur du trait
72 Les autres sont rivés à leur corps périssable
73 En vérité aucun ne pourra continuer
74 Le monde qu’ils chérissent arrive à son terme
Aubaine
On pourrait croire que tous les humains se réjouiront du Grand Passage. Il y a l’éternité à la clé, ce n’est pas rien. Une telle aubaine n’arrive qu’une fois en 64’000 ans. On se dit que tout le monde va vouloir en profiter.
Pourtant la résistance secrète a surgi de deux camps opposés. Des opposés naissent les contraintes qui dégénèrent en vice masochiste. La soumission des insoumis est la pire des abominations. Ainsi surgit l’esclavage, ainsi s’impose la domination des moins justes sur les plus vicieux.
La résistance se cachera dans les profondeurs de la terre, chez les Archontes qui l’encourage. Elle s’organisera selon deux axes extrêmes : ceux qui refusent d’abandonner la matière, et ceux qui refusent de croire à la vie éternelle désincarnée. C’est un puissant ferment de discorde qui ne peut que réjouir les Archontes, amis du mal, agents du malheur, auteurs du malaise, armée du Malin.
La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas.
Vomir
On pourrait croire que les deux camps se ressemblent et vouloir qu’ils se rassemblent. Ainsi prospèrent toutes les religions. Mais les frères désunis sont les pires ennemis. Aucun des deux ne veut se rendre, les deux sont prêts à vomir plutôt que de reconnaître leurs torts. Ainsi s’enracinent toutes les détestations. Dans le dégueulis.
Mais le monde va s’effacer et ses entrailles se fermeront en premier. Les deux factions de résistance ne verront pas se lever le Jour. Ceux qui ont choisi les ténèbres ne connaîtront pas l’Aurore.
Tous les autres humains, le grand nombre, iront grossir les rangs du PEX. Ils y seront heureux comme pharaons en Loire, eux qui jadis riaient et forniquaient comme larrons en foire.
Le pré existant n’a que faire des remords, il se fout des regrets. La potion d’oubli fera son œuvre et le piège éternel se refermera sur les nouveaux archanges.
L’Orient désigne le monde spirituel où se lève le pur soleil intelligible, et les Orientaux ceux dont la demeure intérieure reçoit les feux de cette éternelle aurore.
Car tout ce qui vit, tout ce qui vient, tout ce qui va, tout ce qui veut est à Eloha. Sa propriété pleine et entière.
La Vierge Mère
- Dans la gueule du Loup
- Blanche Fontaine
- L’or d’amour
- Notre Dame d’Alcor
- Notre Dame Anne
- L’affaire Zeus
- Un amour d’Ama
- La Grande Déesse
- Son Altesse Ana
Puisque tout vient d’Elles, puisque tout leur appartient, la nuit des temps doit laisser place au Jour. Elles nous ont comblé de dons, et leurs cadeaux futurs sont plus aimables encore. Éveille-toi, il est l’heure. N’aie plus peur. Sèche tes pleurs. Prends ton vol dans la douce lumière de l’Ultime Auroreà paraître bientôt avant que la nuit tombe sur les mondes.
Les Matriarches
- Notre Mère Hathor
- Le Livre des Déesses
- Les Matriarches
- Maat Mater
- Les Reines du Monde
- Les mystères d’Isis
- Lilith et le petit Adam
- Qui es-tu Danaé ?
- Stryges, goules, succubes
- Le guerrier était une femme
- Le don d’Isis
- Astarté, Ase de Tartessos
- Les Amazones
- Le dieu taureau
- La Déesse et le Cornu
À paraître : L’ultime Aurore, Livre des Déesses, troisième partie