Le 3e cycle s’achève sur des jolies surprises et d’autres volants sur le seuil de l’éveil. L’aventure astrale se poursuit vers d’autres merveilles. Quand j’ai eu l’idée d’un groupe scalaire pour émettre de l’amour inconditionnel, je n’avais pas imaginé les astral volants. Cette belle histoire dépasse mes espérances.
Les ondes scalaires, excentriques, inexplicables, sont selon moi les ondes porteuses de l’amour. Leur comportement semble irrationnel, mû par des mécanismes que la physique ignore. Pour nous, elles ont été les compagnes discrètes de fabuleux moments d’intimité avec notre planète et l’espace infini.
Tous les soirs à 21h depuis cinq ans, nous nous réunissons en astral pour émettre et recevoir l’amour inconditionnel. Chacun peut s’abreuver à cette source vive, mais il y a plus grand bénéfice à donner qu’à recevoir. Ouvrir son cœur, agir sans attendre de récompense, verser ce don sur le compte de l’Homme, oublier la satisfaction, oublier la bonne action, oublier le don, s’oublier soi-même et quand la place est nette, quand le récipient est vide, pourra couler l’Eau Vive qui régénère, le flot qui réveille et l’onde qui révèle.
Depuis lors, cette pratique m’a ouvert d’autres portes. Maintenant nous sommes passés aux travaux pratiques. L’atelier scalaire propose de la lune noire à la pleine lune un cycle de vol astral. Cette aventure est vécue toutes les nuits par un petit groupe de passagers du vent. Le principe est simple. J’émets un faisceau d’ondes scalaires qui forme un cocon dans lequel les astral volants trouvent aisément leur place.
Ne me demandez pas comment je fais, je n’en sais foutre rien. Je le fais, c’est tout. Ou ça se fait pour moi. Toutes les nuits, les passagers des étoiles viennent sagement prendre leur place dans le cocon volant. Quand la formation est complète commence le vol proprement dit.
Ce cocon protège les volants et les dispense de toute dépense énergétique pour le vol. Toute leur énergie est disponible pour se souvenir. Ils gravent chaque épisode dans leur cœur, afin qu’au réveil, de l’autre côté du miroir, il en reste quelque chose. Il faut de la patience pour que cette mémoire-là revienne, elle revient quand il convient.
J’émets pendant la journée, quand les astral volants sont plongés dans leurs activités habituelles, ce qui ne les empêche pas de sentir soit une bouffée d’énergie inédite, soit une réaction physique surprenante, que sais-je encore ? Les signes sont nombreux pour qui reste en éveil. Pour les lire, il faut parfois user de sagacité. Craquer le code. Pour mieux les lire, au pire, il faut les dire. Se répéter les mots jusqu’à l’étrangeté, jusqu’à ce que le son domine le sens et compose une autre chanson, ainsi va la langue des Oisons.
Ce vol n’a rien d’un voyage organisé. Le groupe n’impose pas sa loi. Les excursions hors cocon sont nombreuses et salutaires. De nombreux épisodes sont reliés à chacun, et vécus en solitaire. Il n’est pas utile que les autres en soient témoins. Et s’ils le sont, comme vous ne vous connaissez pas et qu’ils n’interprètent pas les choses de la même façon, la discrétion est totale.
Nous avons pris le train qui traverse les mondes. Nous avons côtoyé des abîmes de feu. Nous avons tutoyé des cimes invincibles. Et sur les méridiens nous avons louvoyé. Le souvenir rétif n’a pas souri à tous. Il reviendra demain ou plus tard, croyez-moi, tout ça ne s’oublie pas. D’autres ont vécu la joie de se voir évoluer dans des lieux insensés, entre cime et abîme, entre rêve et raison, entre dans ta maison. Viens. Ta place est ici.
Qui savait au début ce que cette aventure allait nous apporter ? Pas moi, je l’avoue. Et sans doute pas vous. Je publierai très bientôt un compte-rendu complet du 3e cycle, qui comme les précédents a donné de beaux résultats : merveilles, sérénité, découvertes. L’aventure continue. Impossible de s’arrêter en si bon chemin.
Alors si vous vous sentez d’attaque, on remet ça pour accueillir le printemps. Le renouveau. Le commencement de la vraie vie. De l’autre côté de l’oubli. L’astral promis. Le vol permis. On recommence. On se déploie dans l’infini comme un vol d’oies sauvages, qui vont plus haut et plus loin que les autres oiseaux.
Venez mirer le toit du monde, vous éclater du fond des ondes aux planètes qui font la ronde, voler tout doux comme une aronde,le vieux nom de l’hirondelle devancer l’orage qui gronde, filer dans les vallées profondes, frôler le Soi, quitter le moi, et vous souvenir de tout ça.
De la lune noire à la pleine lune,
du samedi 13 mars au dimanche 28 mars 2021.
Afin que le plus grand nombre puisse participer à cette fête pour l’âme, le don pour s’inscrire est fixé à 25 €. Notez que pour un vieux bonhomme comme moi, au-delà du bonheur de servir, la tâche est écrasante. De grandes quantités d’énergie sont nécessaires, sans parler du temps à lire et à répondre chaque jour à votre précieux courrier.
Je n’hésite pas à donner davantage, c’est pourquoi je remercie de tout cœur celles et ceux qui versent davantage. Mais je vous aime tous autant.
Cette grosse pierre sculptée pose une foule de questions auxquelles je vais tenter de répondre.
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