L’astral, mode d’emploi

 

Là-haut c’est beau. Mais l’alpinisme n’est pas donné à tout le monde. Cette internaute a une autre solution. C’est une philosophe. Elle n’a pas besoin de rando en montagne, de sport extrême ni d’attraction foraine pour se donner le vertige. Elle se contente de considérer la vastitude de l’univers. Écoutons-la. C’est une guerrière.

 

« Parfois je me file le vertige toute seule de me dire que nous vivons, évoluons, existons dans un Univers dont nous ne connaissons rien. L’Univers que nous pensons infini… Ça m’effraie moi de penser que l’Univers est là depuis toujours…  Qu’il n’a ni mur ni sol ni plafond !  Qu’au final nous ne sommes rien… Juste un grain de poussière microscopique au milieu de millions de milliards d’autres. Une toute petite planète peuplée d’êtres sans grande importance comparé à tout ce que renferme l’Univers. L’humain n’est qu’une micro-particule. Il n’est nullement supérieur aux autres êtres vivants. Il n’est supérieur à aucune chose en cet Univers. Il Est…mais il n’est rien. »  (une lectrice)

 

Première partie

Sortie de corps

Merci à elle d’exprimer ce que chacun de nous, guerrières et guerriers de l’infini, avons pu ressentir à un moment de notre existence. Et ce moment de vertige, jamais nous n’avons pu l’oublier tant il est réel, si puissant! Plus vrai que bien des choses qu’on croit vraies, et qui ne sont que projections mentales.

 

La réalité de l’astral est de cette nature absolue. Dès qu’on l’expérimente, on ne s’en remet pas. Notre plus cher désir est d’y retourner.

Je pratique les sorties de corps conscientes depuis l’enfance. La première dont je me souvienne clairement est à douze ans. La seconde, plus inouïe encore, date de mes seize ans. Depuis, j’ai vécu les années Rochefort, avec les deux amis qui ont le plus compté pour moi, mon quasi frère Devic, et JC Flornoy, mon benefactor. En ce temps-là, chaque jour nous apportait son lot de merveilles. L’inédit se bousculait sur le paillasson. En ouvrant la porte, on ne savait jamais où ce simple geste allait nous entraîner.

Et aujourd’hui… Aujourd’hui!! C’est mille fois plus fou encore. Jamais je ne me suis senti aussi vivant, jamais je n’ai été aussi étranger en ce monde où tant de gens s’ennuient et se désespèrent. Il y a de quoi: tous les signes nous préviennent des heures sombres qui nous menacent. Pour la grande majorité de nos contemporains, l’avenir n’a jamais été aussi déprimant. Et pourtant!

Il suffit d’un tout petit pas de côté, une glissade infime, un mini pas chassé, et plus rien ne ressemble à ce purgatoire couleur grisaille. Le soleil gigantesque d’Arcturus nous éblouit. La ronde des galaxies géantes nous emporte dans sa course effrénée. Il pleut des mondes. Les lampions du temps éclairent doucement la grande valse des mémoires. Elles sont autant de livres ouverts.

Le quotidien qu’on voit de sa fenêtre est un ballet cosmique qui nous invite à l’aventure, la grande, l’impossible Aventure de l’âme. C’est d’elle que je vais vous entretenir.

 

 

Changement de régime

Là je fais mon docte enseignant bien sérieux et bien chiant. Ça ne me ressemble pas. Quittons vite fait le corps en saignant. C’est la cas de le dire.

Mes sauts hors du corps, je voulais être sûr de ne pas les confondre avec un rêve banal. Au début, je leur donnais des numéros, ça a commencé à mon troisième saut, puisque les deux premiers s’étaient déroulés en toute conscience. Dès ma sortie de corps j’ai dit tout haut : Saut 3! Et le voyage astral a commencé. Idem pour le suivant: Saut 4! Mais au sixième, quand j’ai gueulé Saut 6! ça m’a fait marrer comme une baleine et j’ai regagné mon corps illico presto comme un con.

Je me suis dit que j’allais arrêter cette manie. Je ne voulais surtout pas crier Saut 7! pour me retrouver en train d’enfiler mon corps comme une chaussette. Plus la peine de compter, j’étais sûr d’être conscient, sûr de contrôler mes sauts quantiques dans l’infini.

Le voyage astral est le choc de l’infini et l’expérience du vertige, comme nous l’a si bien dit cette internaute. J’allais écrire astronaute, c’est aussi son cas. Et celui de tous les passagers de l’astral. Ce vertige nous saisit sans crier gare, sitôt qu’une sortie de corps nous confronte à l’infini. Je devrais dire aux infinis.

L’infini est unique par nature, puisqu’il est infini. J’ai vite découvert que l’infini est double, et que je suis juste entre les deux. Le premier contact a révélé ma toute-petitesse face à l’univers sans bornes. Dès mes douze ans, j’ai connu le vertige métaphysique. Depuis j’ai compris que le voyage astral commence presque toujours de cette façon, par un vertige cosmique. Si l’on considère notre univers intérieur, le vertige est tout aussi grand. Double infini, double vertige.

 

L’axe immobile

Le second vertige est l’opposé et le complément du vertige face à l’infini. Face à l’infiniment petit, le vertige microcosmique nous révèle notre toute-puissance face au micro-univers qui nous habite jusqu’à l’infiniment petit. Cette expérience ineffable ne vient pas tout de suite sur le chemin de soi. Mais quand elle vient, ce n’est pas notre grandeur qui nous éblouit, ce n’est pas non plus notre petitesse qui nous accable, c’est un paisible mélange des deux : l’enivrante sensation d’être un carrefour, un point.

De n’être qu’un point, certes, mais un point infini. Coexistence épanouissante des contraires. La grisante certitude d’être l’axe immobile autour duquel tourne la roue du monde. Je m’identifiais avec le frêne Yggdrasil des légendes vikings. Je voyais le monde extérieur dans toute sa vastitude qui tournait autour de moi, et en moi, à l’intérieur de l’axe que j’étais, je voyais l’infiniment petit.

Sensation hyper grisante dont je ne tirais pas l’orgueil des ânes et des gourous car en face du tyrannosaure, en face du dragon des origines, en face de la gigantesque baleine bleue, que pèse l’orgueil de la fourmi ? Et je me suis dit qu’une fourmi philosophe doit sentir l’infiniment petit à l’intérieur de son corps vertigineux, et la paramécie aussi, mais si, tout comme moi, au même titre que moi.

 

 

Vertige multi-cosmique

Il existe d’autres vertiges métaphysiques qu’on peut découvrir par la suite, ou pas du tout. Parmi eux, il y a le vertige multi-cosmique. Ce vertige particulier s’empare du sujet qui fait l’expérience concrète du multivers. Attention, ce vertige est terriblement puissant. J’expose ici la démarche intérieure correcte, mais je ne recommande pas cette pratique sans une assistance éclairée, ou sans une expérience conséquente du vol astral.

À partir du vertige face à l’immensité de l’univers, visualise une infinité d’univers parallèles, tous aussi vastes que le premier, tous très proches les uns des autres, vertigineusement. Il s’agit pour toi de te glisser dans l’un d’eux, n’importe lequel, et de revenir à ce point charnière où tu peux en pénétrer une infinité d’autres. J’ai nommé cet endroit particulier le Multipli.

Il n’y a que deux choses qui soient infinies, l’univers et la bêtise humaine. Mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue.

Albert Einstein

 

Je peux fournir l’entraînement nécessaire pour toutes ces pratiques. J’ai déjà emmené une bande de lecteurs en astral. Ces voyageurs de l’infini ont été encadrés, la progression contrôlée, les expériences mesurées et de courte durée. Il y a eu plusieurs séries de vol astraux groupés. L’une d’elle s’est mal terminée pour moi, car j’ai servi de bouclier à toute la meute des Loups Volants.

 

Les maîtres de l’astral

Mais ça m’a calmé. J’ai compris que le danger existe en astral, sensation que je n’avais jamais éprouvée lors de mes vols solitaires. C’est alors que j’ai rencontré les Archontes. Ces êtres très puissants peuvent nous réduire en bouillie si ça leur chante. Ils sont les grands patrons de cette planète depuis la nuit des temps. Ce sont eux qui ont créé le premier homme, une sorte de robot sans âme. Ils l’ont perfectionné à tel point que la Grande Déesse a jugé bon de lui donner une âme immortelle, la supra conscience.

Les Archontes sont supérieurement intelligents, mais n’ont pas cette supra conscience. La mort du corps, pour eux, est la fin de la partie. Aucune chance de gagner le Plérôme où sont les âmes immortelles. Leur cadavre disparaît comme un songe et semble se fondre dans le sol ou dans l’espace. Leur domaine est l’inframonde, juste sous nos pieds. Mais ils peuvent aussi évoluer en astral. Ils sont passé maîtres dans cette technique et n’ont pas apprécié que j’y emmène un car de touristes.

D’où leur colère et ma punition. Un terrible éclair m’a brisé le cou. J’en souffre encore après plusieurs années. Après ce que j’ai appris sur eux, je sais que j’ai eu beaucoup de chance. Ils auraient pu m’écrabouiller comme le moustique que je suis auprès d’eux.

Tant de fois j’ai frôlé la mort! Et je suis toujours parmi vous. J’ai toujours joui d’une protection sans faille. Pourquoi? Je ne sais pas. Mais j’en remercie quelqu’un. Qui ça? Je ne sais pas non plus. Plus ça va, moins j’en sais.

 

 

Quand le vide gagne l’intérieur du crâne, c’est le début de la sagesse.

Lao Surlam

 

Seconde partie

Rentrée de corps

Il y a dix ans, j’ai posté une première version du présent article. J’avais déjà une longue pratique du vol astral, sauf que je n’y avais jamais rencontré le moindre danger. C’était avant les terribles Archontes et leur caractère de cochon. Il était essentiel que j’actualise cet article avec mon expérience récente.

 

 

En 2014, j’ai écris ça

N’aie pas peur de t’égarer dans le multivers, au point de ne jamais retrouver ton univers d’origine. Cette éventualité ne se présente pas devant l’explorateur, car son fil d’argent toujours le ramène à son corps. Notre corps est le point d’ancrage qui nous permet à coup sûr de regagner notre port d’attache : cet univers particulier. Vu du seuil du néant où tous les univers communiquent, le nôtre n’a rien de particulier qui permette son identification certaine. Question de feeling ? Même pas.

On regagne son corps automatiquement, sans effort, sans douleur aucune, quelle que soit la durée et l’extension de la sortie de corps. En tout cas, c’est ainsi que ça s’est toujours passé pour moi. En astral, il n’y a ni temps ni distance. Que vous soyez dix ans ou dix secondes hors de votre enveloppe corporelle n’entame en rien votre capacité à regagner cette dernière. Le fil d’argent fait son travail quoi qu’il advienne, sauf la mort.

Celles ou ceux qui éprouveraient de la douleur, de l’appréhension ou toute autre émotion négative au moment de réintégrer leur corps doivent arrêter ce yoga. Quand l’énergie est trop faible, on risque la dépression, voire l’autisme. Ou la mort. Dans cet état, les sorties de corps sont des expériences dangereuses dont il faut proscrire la pratique. 

 

Pas si simple!

J’étais influencé par le discours standard sur les sorties de corps, le cordon d’argent et tout le saint-frusquin. Mais ce n’est pas si simple. De nombreux points sont archi-faux, comme je m’en suis rendu compte depuis. 

Quand j’écris mes articles, je plane si haut, si loin, que j’ai peur de ne jamais regagner ma planète, mon pays, ma ville, ma maison et mon propre corps physique. Alors j’ai imaginé un truc. Je branche la télé derrière mon dos — seul le son m’intéresse. Je mets TF1, la chaîne la plus con du multivers. Si typée, si débilissime et ringardoss que je la reconnais de très très très très loin. Je m’en sers comme d’un phare quand on est perdu en mer. Où que je sois dans le multivers, cette chaîne ringarde me tire à elle plus sûrement qu’un cordon d’argent.

Chlofff! Merci TF1! Je me retrouve devant mon écran en train de taper sur le clavier. Pendant tout mon vol, je n’ai pas cessé d’écrire en traversant les galaxies les plus reculées. Au retour je découvre ce que « j’ai » écrit en mon absence. C’est fabuleux. Ça ne parle pas de mon vol astral, ça raconte autre chose. Mais c’est bien torché, avec mes tics d’écriture habituels, synonymes rares, allitérations, rimes, gags foireux et jeux de mots laids pour gens bêtes. Pas de doute, c’est bien moi, c’est bien mon corps, je suis rentré. J’éteins la télé. Un peu de silence, ça nous fera des vacances.

Tout ceci pour vous dire que regagner son corps peut s’avérer délicat, voire angoissant si on n’a pas prévu son coup. Quand on veut voyager loin, inutile de ménager sa monture. Partir n’est rien, c’est le retour qui craint. On peut faire comme le Petit Poucet, semer des étoiles sur son chemin. Ou laisser la télé sur TF1.

 

 

Le mythe du cordon

C’est notre cordon qui nous ramène, dit-on. Il suffit de le suivre et on se retrouve dans son corps. C’est faux. Une légende racontée par des ignorants sans vécu. Je pratique le vol astral tous les jours. Les sorties de corps conscientes sont le plus clair de mon activité. J’arrive même à écrire mes articles alors que je vole au fin bout des pluri-mondes.

En fait, on est deux. Ou plus exactement, je suis ici et ici. Lisez ce lien, vous comprendrez. Le cordon d’argent n’est pas en argent et ce n’est pas un cordon. C’est un gros tentacule qui part du ventre, un peu en dessous du nombril. Il se ramifie autant qu’il veut, chaque brin se connecte sur les chakras de gens qu’on a rencontré, dont l’énergie nous branche. On est ainsi connectés à une infinité de personnes. Dans ce monde et dans d’autres : n’oubliez pas que chaque nuit nous pratiquons le vol astral. C’est le rêve ordinaire. Mais ce rêve-là reste inconscient.

Ce dont on se souvient au réveil n’a ni queue ni tête, le plus souvent. Le vécu de nos rêves est déformé par le mental. Il y a un programme dans le cerveau qui déguise nos rêves pour les rendre idiots, mais acceptables. Ce programme s’appelle l’habillage. Il est censé nous protéger des cauchemars que la réalité du multivers pourrait nous donner. Ta ra ta ta! C’est tout le contraire. L’habillage nous ment, comme tous les plans des Archontes.

 

Le point d’assemblage

Je mentionne le fil d’argent parce que vous êtes nombreux à connaître cette théorie. De cette métaphore. Mais je préfère rester dans l’univers mental de Castaneda, moins familier peut-être, mais qui rend ces choses beaucoup plus claires. Les guerriers du Nagual pensent que l’univers tout entier, y compris le multivers, est contenu à l’intérieur de notre luminosité – c’est ainsi qu’il nomme notre aura. Dans cette luminosité seulement visible pour les voyants, il y a un point particulier, saturé de brillance. Il se trouve dans notre dos, à une douzaine de centimètres derrière notre omoplate droite. Les Naguals l’appellent le point d’assemblage  ou P.A.

C’est par ce point que nous assemblons l’univers, disent les Naguals. D’où le nom « point d’assemblage ». Par lui nous percevons cet univers particulier, notre ici et maintenant. À l’heure actuelle, tous les humains ou presque ont le point d’assemblage à l’endroit que j’ai indiqué, qui est celui de la raison raisonnante. Cette uniformité se traduit par la pensée dominante et le credo envers la toute-puissance de la science. 

Il n’en a pas toujours été ainsi. À l’aube de cette humanité, il y a 300.000 ans et des brouettes, le point d’assemblage était plus à gauche et plus près du corps, à l’endroit de la magie opérative. L’intuition et la voyance étaient le mode d’appréhension ordinaire de la réalité. Ou plutôt des réalités 1, 2, 3. Sortir de son corps, c’est tout simplement modifier la position du point d’assemblage. Vu l’extrême petitesse de ce point dans notre luminosité, on comprend qu’il y a la place pour une infinité de positions différentes pour le point d’assemblage.

 

 

La cuvette du P.A.

Mais les humains de notre triste époque l’ont fixé dur comme fer. Juan Matus, le benefactor de Carlos Castaneda, explique qu’à force, le point d’assemblage a creusé une petite cuvette dans la luminosité de l’aura. Arriver à sortir le point d’assemblage de cette cuvette, voilà la difficulté. La position du P.A. est mondiale, identique pour tous et gravée dans le marbre. Immuable? Non. Mais pour déplacer son P.A. il faut être éveillé.

Ce qui permet de revenir dans son corps assez facilement, même sans TF1. Regagner la position habituelle au fond de la cuvette ne présente aucune difficulté particulière. C’est comme si on était tiré par un élastique qui nous ramène d’où nous sommes venus. Cette impression est sans doute à l’origine de la métaphore du fil d’argent. Ce n’est qu’une image. La réalité décrite par les voyants du Nagual est à la fois beaucoup plus simple et infiniment plus complexe. Elle rencontre de nombreuses similarités avec la théorie quantique.

 

Le coup du Nagual

Il existe plusieurs façons de déloger le P.A. hors de sa cuvette. Mais il faut toujours le faire en douceur. Si ton P.A. est expulsé avec un tant soit peu de vigueur, par le coup du Nagual notamment, le résultat peut s’avérer catastrophique. Un P.A. libéré de cette façon peut parcourir une grande distance à travers ta luminosité (=ton aura) jusqu’à une position très éloignée de sa cuvette d’origine.

Et tu te retrouves dans un corps tout vert avec des écailles, perdu sur un planétoïde loin des axes de communication intergalactique, et tout à fait incapable de regagner ton corps par tes propres moyens. Ou dans le corps d’une mouche, comme ça m’est arrivé du temps de mon apprentissage auprès du Nagual Flornoy.

C’est pourquoi je n’utilise jamais cette technique barbare, dont le résultat, même pour un sorcier expérimenté, est totalement imprévisible. Les méthodes que je pratique lors des séances de reki d’Erquy présentent une totale sécurité. Elles permettent d’assembler un moi futur, déjà éveillé, ce qui fait qu’en regagnant ton univers familier dans ton moi habituel, tu disposeras d’une nouvelle position du P.A. que je t’aurais offerte, avec pour toi la possibilité d’y retourner à volonté par tes propres moyens.

Que d’excellentes raisons de venir me voir en Bretagne magique, pour expérimenter des techniques dignes de la science-fiction, qui sont pourtant empruntées aux surhommes venus des étoiles dans un passé très lointain.

Pour poser ta candidature à un stage de reki d’Erquy, il faut t’y prendre tôt, l’affluence des demandes entraînant des délais de plusieurs semaines, voire de mois. Contacte-moi sans tarder.

Un guerrier traite le monde comme un mystère infini, et ce que les gens font comme une folie sans bornes.

Carlos Castaneda

 

 

L’astral en question

Pourquoi l’astral? Je vais vous dire. C’est le seul point de vue qui permet de comprendre le paysage étrange qui constitue le quotidien humain. Quand on est vraiment loin, on voit clair. Très clair.

 

L’astral

 

Astral Volants

 

Loups Volants

 

 

Homo hominis lupus / L’homme est un loup pour l’homme
Plaute