Faites quelque chose !! Eden Saga est plus qu’à poil ! Aidez-la à se fringuer pour les fêtes !!!
Plus que deux semaines
Avant la fin du compte à rebours, il me reste une petite quinzaine pour donner la becquée à ma banque affamée. Ce sont les pauvres qui meurent de faim, mais ce sont les organismes financiers qui ponctionnent, réclament, assignent et exigent. Les riches échappent à leur racket en planquant leurs milliards hors d’atteinte…
À moins d’un sursaut de générosité, Eden Saga n’atteindra pas 2025
Découragement
Ce que je révèle est inutilisable aujourd’hui. Donc inaudible. Je ne sais plus que faire ici bas. J’ai perdu la moitié de mes lecteurs en un an. Inutile de me répéter, déjà je suis allé trop loin.
Je me suis réveillé pour voir que tous les autres dormaient encore. Alors je me suis rendormi.
D’imbéciles démons
Ils ont voulu changer le monde, mais le monde ne veut pas changer. Il suit un programme qui se répète en boucle à l’infini. Si le monde ne change pas, il nous change tous, qui que nous soyons. Les hurleurs le comprennent tôt ou tard à leurs dépens.
Ils ont parlé, ils se sont égosillés. En vain. Leurs voix perdues, leurs corps en terre, ils retournent d’où ils sont venus… nus et glacés… tandis que le monde poursuit sa course folle vers un destin palpable. La lumière qui brille en eux pourra en éclairer d’autres, qui passeront à leur tour et seront oubliés afin que rien ne change. Tout ce qui arrive est voulu. Aucun dieu n’y est pour rien, tous ils s’inclinent.
Est-il déjà trop tard pour moi ? Dois-je me rendormir comme tous ces génies ? Moi je n’en suis pas un, oh que non ! Je suis un homme simple. La simplicité m’aime et je l’aime en retour. Je n’ai ni l’importance ni le talent de ces grands hommes. À leur suite, j’ai consacré ma vie à chercher la vérité derrière les ombres mouvantes que d’
imbéciles démons agitent devant nos yeux. Sans illusion. Mais avec obstination.
La plupart des humains sont trop las ou trop faibles pour s’insurger. Aucun reproche. Celles et ceux qui m’ont aimé ont voulu m’imiter. L’une après l’autre, ils ont abandonné. Sans retour.
Ça fait froid dans le cœur.
Sébile tendue
Déjà je sens la fin qui vient. Mes jours sont comptés. Mes réserves aussi : je n’ai plus rien. Mes économies ont vécu. J’ai rêvé qu’elles me mèneraient jusqu’à la fin, tant pis. Faut pas rêver.
Ma chance a tourné, les dettes deviennent criantes. La sagesse voudrait que j’arrête les frais. Pas sans payer ce que je dois !
Comment trouver les revenus qui manquent ? Les conteurs de légendes n’intéressent pas les employeurs. Les éveilleurs non plus. Les patrons préfèrent ceux qui endorment encore plus profondément leurs employés, histoire d’éviter les grèves. Je pourrais faire grève, mais ça m’avancerai à quoi ? Qui serait pénalisé en dernier ressort ? Vous, chers lecteurs. Vous êtes l’Alpha et l’Omega de la Saga.
En dernier recours je me tourne vers vous, la foule de toutes celles et tous ceux qui apprécient mon œuvre. Une fois encore, le vieux sage tend sa sébile et attend vos offrandes.
Une sébile (du latin cibus, « nourriture ») est un petit récipient en bois ou en terre, rond et creux. Il sert en particulier aux pauvres à recevoir l’aumône ou à collecter l’offrande lors d’une cérémonie religieuse. En l’occurence, il s’agit plutôt du formulaire de don qui s’affiche ici à droite comme sur chaque page.
Ça vaut quoi cette Saga-là ?
J’ai moins de lecteurs, c’est vrai. mais à en juger par la qualité de vos courriers, la quantité a fait place à la qualité. Vous passez plus de temps sur le site, vous lisez plus de pages, vous revenez plus souvent. Certains d’entre vous me donnent généreusement, obstinément : toujours les mêmes. Trop rares fidèles. Imaginez que chacun d’entre vous me donne un peu, un petit billet par-ci par-là. Il suffirait de presque rien pour que mes finances funambules gardent l’équilibre.
On me suggère différentes pistes mercantiles pour y parvenir. Mais non. Je ne veux pas souscrire à la religion planétaire, celle du pognon, celle de
l’archonte Mammon à tête de bouc. Il n’y aura pas de prélèvement obligatoire ici. Pas publicités sur ce site. Les .pdf sont téléchargeables gratuitement. Je ne publierai pas de livre non plus. Ici tout est gratuit, tout le restera jusqu’à la fin.
Mais quand on boude sa religion, Mammon fait la gueule. Je dis merde à l’argent et le manque d’argent m’emmerde constamment. Voilà pourquoi le seul recours digne d’Eden Saga est la générosité de mon lectorat. Ils reçoivent, ils donnent. De l’intérêt, de l’affection, de la passion, de l’amour, ils m’écrivent aussi, un petit coucou fait toujours plaisir, et puis, par réalisme, ils me glissent la pièce de temps en temps.
Amies lectrices, lecteurs fidèles, je ne puis compter que sur vous. Faites le bilan de ce que vous avez reçu au fil des mois ou des ans. Eden Saga, demandez-vous à quoi ça sert ? Ces millions de lecteurs, milliers d’images originales, centaines d’articles, dizaines de découvertes et pas mal de révélations. Toute une vie de travail pour accoucher d’une œuvre offerte… Un cadeau sans prix, ça vaut combien ?
Sans vos sous c’est fini
Le passé oublié, l’avenir inévitable, le présent fragile… La force intérieure, la quête de lumière,
le don d’Isis,
le voyage astral,
la ligne de temps… Les grands auteurs, les éveilleurs, les sages… La pensée,
l’action, la réflexion, la signification, l’initiation… Le sens,
les sens, l’essence et l’existence…
Les artistes,
les poètes, les aventuriers,
les mystiques…
Les secrets, les mensonges, les dissimulations, les interdictions…
Les déesses, les dieux, les prophètes, les fous…
L’existence fait éclater tous les systèmes.
Demandez-vous combien ça vaut. Voyez combien vous pouvez donner, et à quel rythme. Il y a péril en la demeure. La saga se meurt. N’hésitez plus, donnez. Tout ce que vous glisserez dans la Saga d’Eden vous sera rendu par
le Vivant qui me protège depuis toujours.
L’enchanteur désenchanté
Initiateur je suis, révélateur aussi. Ce que je conte ici ne se trouve pas dans les livres, et pour cause ! J’ai bravé trop de tabous, violé tant d’interdits, décoché tant de flèches, rectifié trop d’erreurs. La pensée unique m’a banni. La bien-pensance me voue aux gémonies. Je suis impitoyable, infréquentable,
impubliable. Comme tout ce qui est indispensable. Publier
Xavier ? Quel éditeur prendrait un tel risque ? La profession se contente d’éditer ce qui se vendra. D’où les montagnes de conneries qui se copient entre elles.
Dans ce monde de mensonges, seule est vraie ma sincérité.
Ancien éditeur je fus, je sais très bien de quoi je parle. Les idéologies, les sectes, les religions, les partis, les clans sont tout-puissants. J’ai reçu des insultes, des anathèmes, des menaces aussi. Un sage doit ignorer bassesses et calomnies. J’essaie…
Sans me plaindre toutefois. J’ai été gâté par la vie qui m’a donné sans compter, c’est pourquoi je donne à présent, sans compter. Sans mollir. Je sais qu’il y a parmi vous tant de souffrances, physiques ou morales. Tant de désillusion, de fatigue accumulée, de découragement. Je le vois, je vous lis et je pleure. Vous me donner l’énergie qui sans vous me manquerait. Vous me rajeunissez.
Pour la plupart d’entre nous, la vie ressemble à une échelle dans un poulailler : glissante et couverte de merde.
Je suis un
compagnon passant du
Clan du Loup, qui suit l’antique
tradition des enchanteurs. Je cherche la beauté au milieu des horreurs. Je souligne ce qui va dans le sens du meilleur, du plus haut, de l’éveil. Je retiens les rêves qui font plaisir et les gens qui donnent confiance en l’humanité. J’exalte les actes d’amour. Le don de soi. Le dévouement. Le bénévolat. L’engagement. Ce qui élève, ce qui grandit, ce qui épanouit, ce qui comble. Je réenchante ce monde de chiffres. J’exalte
l’autre voie.
Le meilleur en vous
Dans chaque être rencontré, je vois la grandeur à venir. Je pressens ce qu’il sera s’il développe le meilleur en lui. Peu y parviennent. Bien peu savent se hausser sans rabaisser les autres, se grandir sans les exploiter, marcher sans courir, sans faiblir, sans écraser les pieds. J’encourage de toutes mes forces ceux qui osent. Qui insistent. Qui tissent la toile de la solidarité, du partage, de l’échange gratuit.
Je refuse la dictature de l’argent-roi, en retour l’argent se vexe et m’évite. Ce monde est mercantile. Le grand cirque vénal ne veut plus de moi. J’ai envie de continuer pourtant. Il y a encore tant à dire, tant de belles histoires à conter, tant de grandeur à exalter. Cette aventure commence à peine. Pour qu’elle continue, il faut qu’un grand élan vienne au secours de ma
pompe à phynancemerci Alfred Jarry défaillante.
Qui Ubu boira
Ubu roi est une pièce de théâtre d’Alfred Jarry en cinq actes, publiée le 25 avril 1895 dans la revue de Paul Fort Le Livre d’art, puis la même année aux éditions du Mercure de France, et représentée pour la première fois le 10 décembre 1896 par la troupe du théâtre de l’Œuvre au Nouveau-Théâtre. Il s’agit de la première pièce du cycle Ubu.
Comme on sait, la machine à décerveler est, dans le monde d’Ubu, l’instrument rigoureusement complémentaire de la pompe ou du crochet à phynance – et l’on ne se lasse pas d’admirer la prescience jarryienne, la généralité et l’actualité de ses trouvailles. (Frédéric Lordon, in Le Monde Diplomatique)
Aidez l’aide
Je m’adresse à toutes et à tous. Mais pour la première fois, spécial dédicace à ceux qui ont un cœur aussi grand que le porte-monnaie. Une seul don de l’un d’entre eux, de l’une d’entre elles, me permettrait d’envisager l’avenir sous d’heureux auspices. Pour changer.
Vous lâchez des millions pour un hôpital, un centre aéré, un hospice ou tant d’œuvres charitables qui font appel à votre générosité. Vous leur donnez parce que vous savez que c’est utile, que votre argent sera bien utilisé. Ici aussi.
Je guéris des maladies incurables. J’efface les traumatismes anciens. Je redresse les bossus. Je change le cours des vies gauchies. Pensez-y. Mon action quotidienne de guérison et de prévention vaut celle d’un hôpital. La médecine soigne, je guéris.
Mieux : je forme des guérisseurs et des praticiens de reki. Une petite équipe de gens résolus et une grande marée de lecteurs fidèles, l’aventure doit se poursuivre. Un geste de votre part et mon œuvre vivra.
Une aide pour grandir
Et vous qui ne pouvez pas faire face à la vie, vous les démunis, les petits, les sans grade, il y a une autre façon d’aider. C’est de vous aider. Mon reki peut le faire. Il peut vous aider à y voir clair, vous aider à grandir, vous aider à devenir celle ou celui qui dort en vous sans voir le jour. Votre puissance pourra s’exprimer. Vos qualités prendront le devant. Vos blocages vont vous foutre la paix une bonne fois pour toutes.
Si tu ne t’aides pas, qui le fera ? Et si personne ne t’aide, comment pourras-tu aider quiconque ?
La vie n’est pas un conte de fée, mais l’enchanteur Xavier a la baguette magique. Saisis au vol le centimètre-cube de chance pour te réaliser. Le temps passe, le temps court, le temps de rêver est bien court, que faut-il faire de tes jours ? Viens sur le Cap d’Erquy célébrer les noces avec toi-même.
Ceux qui viennent me voir repartent différents. Ce n’est pas un bien-être passager, ni une thalassothérapie, ni un hammam. L’acquis est durable, tenace. Ta participation financière en aidera d’autres. Notre rencontre va compter pour toi comme pour moi. Personne ne vient me voir par hasard.
Certains reviennent. Les retrouver me montre comme ils ont changé. Comme ils rayonnent. Comme ils ont grandi.
Je vous en prie, je ne veux pas me rendormir. Cette aventure dure depuis 17 ans, elle doit continuer. Eden Saga nourrit ma vie comme elle nourrit les vôtres. Elle donne du sens dans les ténèbres et la confusion. Elle nous aide tous à grandir et grâce à elle, nous pourrons un jour atteindre le sommet de nous-mêmes. Donnez. Si vous ne le faites pas pour moi, faites-le pour vous.
Le stage individuel