Ce que je révèle est inutilisable aujourd’hui. Donc inaudible. Je ne sais plus que faire ici bas. J’ai perdu la moitié de mes lecteurs en un an. Inutile de me répéter, déjà je suis allé trop loin. Il faut parfois des hurleurs d’évidences. Ils se sont rendormis comme Vinci, comme Cheikh Anta Diop, Pathé Diagne, Bob Marley, Spinoza, Nietzsche, Van Gogh, Balavoine et tant d’autres…
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Un homme simple
Ils ont voulu changer le monde, mais le monde ne veut pas changer. Il suit un programme qui se répète en boucle à l’infini. Si le monde ne change pas, il nous change tous, qui que nous soyons. Les hurleurs le comprennent tôt ou tard à leurs dépens.
Ils ont parlé, ils se sont égosillés. En vain. Leurs voix perdues, leurs corps en terre, ils retournent d’où ils sont venus… nus et glacés… tandis que le monde poursuit sa course folle vers un destin palpable. La lumière qui brille en eux pourra en éclairer d’autres, qui passeront à leur tour et seront oubliés afin que rien ne change. Tout ce qui arrive est voulu. Aucun dieu n’y est pour rien, tous ils s’inclinent.
Est-il déjà trop tard pour moi ? Je suis un homme simple. La simplicité m’aime et je l’aime en retour. Je n’ai ni l’importance ni le talent de ces grands hommes. Comme eux pourtant, j’ai consacré ma vie à chercher la vérité derrière les ombres mouvantes que d’
imbéciles démons agitent devant nos yeux. Sans illusion. La plupart des humains sont trop las ou trop faibles pour s’insurger. Aucun reproche.
Celles et ceux qui m’ont aimé ont eu envie de m’imiter. L’une après l’autre, ils ont abandonné. Sans retour.
Sébile tendue
Mes jours sont comptés. Mes réserves aussi : je n’ai plus rien. Mes économies ont vécu. Elles devaient me mener jusqu’à la fin, tant pis. Ma chance a tourné, les dettes deviennent criantes. La sagesse voudrait que j’arrête les frais. Pas sans payer ce que je dois.
Comment trouver des revenus ? Les conteurs de légendes n’intéressent pas les employeurs. Les éveilleurs non plus. En dernier recours je me tourne vers ceux qui apprécient mon œuvre. Une fois encore, le vieux sage tend sa sébile et attend vos offrandes.
Une sébile (du latin cibus, « nourriture ») est un petit récipient en bois ou en terre, rond et creux. Il sert en particulier aux pauvres à recevoir l’aumône ou à collecter l’offrande lors d’une cérémonie religieuse.
Toujours les mêmes
Certains me donnent beaucoup, toujours les mêmes. Ils sont trop rares. Pourquoi sont-ils les seuls à contribuer ? Si j’ai moins de lecteurs, la quantité fait place à la qualité. Vous passez plus de temps sur le site, vous lisez plus de pages, vous revenez plus souvent.
Mais non. Il n’y aura pas de publicités sur ce site. Je ne publierai pas de livre non plus. Ici tout est gratuit, tout le restera jusqu’à la fin.
Bilan
Amies lectrices, lecteurs fidèles, je ne puis compter que sur vous. Faites le bilan de ce que vous avez reçu au fil des mois ou des ans. Eden Saga, demandez-vous. À quoi ça sert ? Des millions de lecteurs, des milliers d’images, des centaines d’articles, des dizaines de découvertes. Une vie de recherche, ça vaut combien ?
Quand et combien ?
Le passé oublié, l’avenir inévitable, le présent fragile… La force intérieure, la quête de lumière,
le don d’Isis,
le voyage astral,
la ligne de temps… Les grands auteurs, les éveilleurs, les sages… La pensée,
l’action, la réflexion, la signification, l’initiation… Le sens,
les sens, l’essence et l’existence…
Les artistes,
les poètes, les aventuriers,
les mystiques…
Les secrets, les mensonges, les dissimulations, les interdictions…
Les déesses, les dieux, les prophètes, les fous…
L’existence fait éclater tous les systèmes.
Demandez-vous combien ça vaut. Voyez combien vous pouvez donner, et à quel rythme. Il y a péril en la demeure. La saga se meurt.
Impubliable
Ce que je conte ici ne se trouve pas dans les livres. J’ai bravé trop de tabous, violé tant d’interdits, décoché tant de flèches, rectifié trop d’erreurs. La pensée unique m’a banni. La bien-pensance me voue aux gémonies. Je suis impitoyable, infréquentable, impubliable. Comme tout ce qui est indispensable. Publier
Xavier ? Quel éditeur prendrait un tel risque ?
Dans ce monde de mensonges, seule est vraie ma sincérité.
Ancien éditeur, je sais de quoi je parle. Les idéologies, les sectes, les religions, les partis, les clans sont tout-puissants. J’ai reçu des insultes, des anathèmes, des menaces aussi. Un sage doit ignorer bassesses et calomnies.
J’appartiens à l’antique tradition des enchanteurs. Je cherche la beauté au milieu des horreurs. Je souligne ce qui va dans le sens du meilleur, du plus haut, de l’éveil. Je retiens les rêves qui font plaisir et les gens qui donnent confiance en l’humanité. J’exalte les actes d’amour. Le don de soi. La dédication. Le bénévolat. Ce qui élève, ce qui grandit, ce qui épanouit, ce qui comble. Je réenchante ce monde de chiffres. J’exalte
l’autre voie.
Si le grain ne meurt
Dans chaque être rencontré, je vois la grandeur à venir. Je pressens ce qu’il sera s’il développe le meilleur en lui. Peu y parviennent. Bien peu savent se hausser sans écraser, se grandir sans exploiter, marcher sans courir, sans faiblir, sans écraser les pieds. J’encourage de toutes mes forces ceux qui osent. Qui insistent. Qui tissent la toile de la solidarité, du partage, de l’échange gratuit.
Je refuse la dictature de l’argent-roi, du coup l’argent se vexe et m’évite. Ce monde mercantile et vénal ne veut plus de moi. J’ai envie de continuer pourtant. Il y a encore tant à dire, tant de belles histoires à conter, tant de grandeur à exalter. Cette aventure commence à peine. Pour qu’elle continue, il faut qu’un grand élan vienne au secours de ma
pompe à phynancemerci Alfred Jarry défaillante.
Pompe à phynance
Ubu roi est une pièce de théâtre d’Alfred Jarry en cinq actes, publiée le 25 avril 1895 dans la revue de Paul Fort Le Livre d’art, puis la même année aux éditions du Mercure de France, et représentée pour la première fois le 10 décembre 1896 par la troupe du théâtre de l’Œuvre au Nouveau-Théâtre. Il s’agit de la première pièce du cycle Ubu.
Comme on sait, la machine à décerveler est, dans le monde d’Ubu, l’instrument rigoureusement complémentaire de la pompe ou du crochet à phynance – et l’on ne se lasse pas d’admirer la prescience jarryienne, la généralité et l’actualité de ses trouvailles. (Frédéric Lordon, in Le Monde Diplomatique)
Grâce à vous
Je m’adresse à toutes et à tous. Mais pour la première fois, spécial dédicace à ceux qui ont un cœur aussi grand que le porte-monnaie. Une seul don de l’un d’entre eux, de l’une d’entre elles, me permettrait d’envisager l’avenir sous d’heureux auspices. Pour changer.
Vous lâchez des millions pour un hôpital, un centre aéré, un hospice ou tant d’œuvres charitables qui font appel à votre générosité. Vous leur donnez parce que vous savez que c’est utile, que votre argent sera bien utilisé. Ici aussi.
Je guéris des maladies incurables. J’efface les traumatismes anciens. Je redresse les bossus. Je change le cours des vies gauchies. Pensez-y. Mon action quotidienne de guérison et de prévention vaut celle d’un hôpital. La médecine soigne, je guéris.
Mieux : je forme des guérisseurs et des praticiens de reki. Une petite équipe de gens résolus et une grande marée de lecteurs fidèles, l’aventure doit se poursuivre. Un geste de votre part et mon œuvre vivra.
Le monde a besoin d’aide
Et vous qui ne pouvez pas faire face à la vie, vous les démunis, les petits, les sans grade, il y a une autre façon d’aider.
C’est de vous aider. Mon reki peut le faire. Il peut vous aider à y voir clair, vous aider à grandir, vous aider à devenir celle ou celui qui dort en vous sans voir le jour. Votre puissance pourra s’exprimer. Vos qualités prendront le devant. Vos blocages vont vous foutre la paix une bonne fois pour toutes.
Si tu ne t’aides pas, qui le fera ? Et si personne ne t’aide, comment pourras-tu aider quiconque ?
La vie n’est pas un conte de fée, mais l’enchanteur Xavier a la baguette magique. Saisis au vol le centimètre-cube de chance pour te réaliser. Le temps passe, le temps court, le temps de rêver est bien court, que faut-il faire de tes jours ? Viens ici célébrer les noces avec toi-même.
Ceux qui viennent me voir repartent différents. Ce n’est pas un bien-être passager, ni une thalassothérapie, ni un hammam. L’acquis est durable, tenace. Ta participation financière en aidera d’autres. Notre rencontre va compter pour toi comme pour moi. Personne ne vient me voir par hasard.
Certains reviennent. Les retrouver me montre comme ils ont changé. Comme ils rayonnent. Comme ils ont grandi.
Le stage individuel