Les Peuples de la Mer

 

Ils ont accosté dans leur vaisseaux rapides, ils ont atterri dans leurs engins volants, ils sont descendus de bêtes énormes — des éléphants, en ces temps lointains, étaient inconnus dans les savanes africaines. Les anciens Grecs les nommaient Pélasges, ce qui signifie « ceux du large ». Le Peuple de la Mer venait de l’océan immense, il savait faire parler le feu du ciel.

Quand ils ont envahi le rivage et la plaine, les Égyptiens ont cru voir des diables droit sortis de l’enfer. Leurs armes inconnues et la présence d’éléphants à leurs côtés ont terrifiés les Égyptiens qui n’en avaient jamais vu. Les armes à feu et les éléphants évoquent aussitôt une origine atlante. Plusieurs auteurs ont montré l’avance technologique des anciens astronautes. Platon mentionne la présence d’éléphants sur l’île Atlantide. Les pachydermes seraient-ils arrivés d’Atlantide sur les navires de ces peuples avant de coloniser l’Afrique où le climat et les étendues sauvages leur convenait ?

Ces peuples d’Atlantide, à quoi ressemblent-ils ? Leurs femmes ont le bleu du ciel et le vert de la mer sur les paupières et d’autres fards sur le visage. Les guerriers vêtus de pourpre et d’orichalque sont coiffés de casques de cristal. Ils ont des lances de fer qui crachent la foudre. Leurs engins volants sèment la mort et la désolation. Leurs armes inconnues terrifient les plus braves, effarés par ces animaux géants qui écrasent les huttes et les barrières. Ni rien ni personne ne semble en mesure d’arrêter la marche des Géants de la Mer et du Ciel. En peu de jours, tout  semble perdu.

Les textes que nous possédons ne précisent pas l’existence d’engins volants dans l’armée de ce peuple. Mais d’autres textes aussi anciens en font état, on peut donc inférer qu’il en fut bien ainsi. Le peuple de Rama, notamment, était réputé pour ses engins volants, tout comme le roi biblique Salomon. Et j’ai de bonnes raisons de croire que les Peuples de la Mer étaient des escouades de Rama.

 

 

La plupart des historiens refusent catégoriquement que notre lointain passé ait pu être technologique. Ils invoquent l’aspect chamanique attesté chez les peuples de la protohistoire. Les deux aspects ne s’excluent nullement. Qu’importe, les « négationnistes » tenants de la version officielle, préfèrent ignorer les témoignages multiples attestant la présence d’électricité, de radiations mortelles, de guérisons par la foudre ou par un éclair technologique, j’en ai dressé un catalogue édifiant. Mais un tel bouleversement effraie ces universitaires timides. Leur thèse est parfaitement résumée ici.

Je m’en tiens à la mienne, conforté par ce description de Platon : « Le Peuple de la Mer envahit et détruit tout sur son passage. De nombreuses villes sont prises et détruites, et sans la résistance héroïque des Athéniens, toute la Méditerranée aurait été conquise. » (source)Platon, Le Timée Les Grecs les ont baptisés Pélasges. « Pélasges » (en grec ancien Πελασγοί / Pelasgoí) est le nom donné par les Grecs anciens aux premiers habitants de la Grèce, avant les grandes invasions achéennes, éoliennes et ioniennes. L’étymologie de ce nom reste incertaine. Dans l’Iliade, Homère en parle comme d’un peuple originaire de Thessalie : «les tribus des Pélasges aux bonnes lances, des Pélasges habitants de la plantureuse Larisse»  (source)Wikipedia 

Les bonnes lances en question seraient plutôt des bâtons qui crachent le feu. Mais la chose était oubliée du temps d’Homère. Quant à l’origine qu’il donne aux Pélasges, nous savons que le chansonnier grec était un pasticheur assez peu digne de foi, ce qui lui a valu le mépris des sages.

Homère méritait d’être chassé des concours à coups de bâtons,  et Archiloque aussi. 

Héraclite

 

« Hérodote déclare que le premier nom de la Grèce était Pélasgie (Πελασγία) et donne une origine pélasgique aux Éoliens. Argos est appelée «pélasgique» par Homère, et Dodone, en Épire, vénère Zeus Pélasgique. Certaines constructions, comme les murs cyclopéens d’Athènes, sont qualifiées également de pélasgiques. » (source)Wikipedia  

Ainsi les Pélasges et les Cyclopes ont partie liée ! Les Pélasges seraient les descendants des hommes fameux qui ont monté la tour de Babel et dont la Bible parle comme de géants orgueilleux. Attention, la piste n’est pas balisée. Tous ces faits se sont déroulés avant l’époque que nos professeurs appellent l’histoire. L’origine des Pélasges restera tabou pour l’histoire officielle tant que l’existence de l’Atlantide et d’Hyperborée ne sera pas admise. Faute de documents d’époque, la discussion est close. Dommage. La piste est prometteuse.

« Dans son ouvrage Les Vies parallèles, Plutarque cite les Pélasges comme possibles ancêtres des Romains : « après avoir parcouru la plus grande partie de la terre et dompté plusieurs nations, ils s’arrêtèrent au lieu où est aujourd’hui Rome ; et, pour marquer la force (Rome) de leurs armes, ils donnèrent ce nom à la ville qu’ils y bâtirent. » (source)Wikipedia  

Un autre lien se tisse entre les Pélasges et le peuple de Ram, celui des dieux d’Hyperborée. J’ai déjà montré comment Romulus, le mythique fondateur de Rome, avait partie liée avec Rama. Son nom même, Romulus, peut se traduire par le petit Rom, le petit Rama.

 

 

On commence à comprendre qui sont vraiment ces Peuples de la Mer. Si on les évoque au pluriel, c’est qu’il y a eu plusieurs vagues d’invasion distinctes, fort éloignées dans le temps. Les tout premiers seraient arrivés, selon moi, peu après le grand déluge de 10.500 AEC. Le départ, ou la disparition de l’île-vaisseau Atlantide et le tsunami dévastateur qui s’ensuivit a forcé le Peuple de la Mer à se réfugier sur les côtes les plus proches.

Certains sont allés vers les côtes américaines, ce sont les Quetzalcoatl en Mésoamérique et les Viracocha dans les Andes. D’autres sont venus s’installer sur les côtes atlantique, ils se sont confondus avec les Hyperboréens. D’autres sont allés sur la côte africaine, ce sont les Yoroubas et les Maliens. D’autres enfin ont mis à feu et à sang les côtes méditerranéennes, ce sont les Pélasges ou Peuples de la Mer. Leur langue était dérivée de la langue des dieux d’Hyperborée, tout comme le Sumérien. Ce qui expliquerait pourquoi « les éléments préhelléniques du grec archaïque ont aussi certaines affinités avec le sumérien. » (source)Wikipedia

On sait que Socrate, dont la mère était sage-femme, se réclamait d’une origine pélasgique. Parce que les Pélasges, héritiers des Hyperboréens, avaient appris leurs nombreuses techniques médicales et chirurgicales. On est confronté ici, une fois de plus, au fameux peuple de Rama l’Hyperboréen, Rama l’empereur du monde, qui a réussi la prouesse de pacifier et d’harmoniser les deux tiers de cette belle planète et non seulement l’Inde, comme le croient les Hindous. Le personnage historique de Rama n’était pas qu’un prince de l’Inde, il s’est voué à une tâche unificatrice planétaire. Alors que nous sommes en passe de réussir cette unification – ou d’échouer dans une guerre de tous contre tous – tirer les leçons de la saga de Ram me semble vital. 

S’il s’agit comme je le crois de la piste des Ramaïtes, on devrait retrouver nos Pélasges sur la route de l’Inde, en Europe centrale. Et c’est bien le cas. « Enfin pour le Néolithique, l’historiographie yougoslave désigne comme « Pélasges vinciens » (ou « Vinciens ») les habitants porteurs de la Culture de Vinča et comme « Pélasges diminiens » ceux de la Culture de Dimini, eux aussi pré-helléniques. » (source)Wikipedia  

Tout coïncide, les dates, les lieux, les descriptions. Je puis affirmer sans crainte de me tromper que les Peuples de la Mer ou Pélasges sont les rescapés des deux principaux déluges causés par les dieux d’avant. Le premier déluge, le grand tsunami d’Atlas, en 10500 AEC, et le deuxième déluge, la disparition du plateau de Dogger Bank et de la deuxième Atlantide, vers 2000 AEC. Les Pélasges sont les héritiers en droite ligne des géants Hyperboréens. Ce sont eux qui ont construit les monuments cyclopéens du bassin méditerranéen. Comme cette poterne de Mycènes, aujourd’hui Mykonos, en Grèce.

 

 

 

Dans la vie, il n’y a pas de solution, il y a des forces en marche. Créons ces forces et les solutions suivront.
Antoine de Saint Exupéry