Creuser la vie

 

Creuser toujours. Creuser sans cesse. Creuse en souvenir de la Terre Creuse. Pour célébrer l’ère glaciaire des souterrains. Chez les Hommes Taupes que nous étions alors. Au fond des lacs, au creux des fosses abyssales s’ébattent les surfeurs d’argent, géants sous-mariniers du double de notre taille et quatre fois plus forts. As-tu vécu dans le corps d’un de ces gars-là ? Creuse-toi, creuse. Approfondis le sujet. Pas n’importe lequel! Le seul sujet qui importe : TOI.

 

Attention! Pas d’ego là-dedans. Pas de glorification de ta merveilleuse personne. Sois juste reconnaissant d’être vivant, d’être celle ou celui que tu es. Reconnaissant pour l’autre que tu vas devenir. Envers qui cette reconnaissance? Aucune idée. Ce qui compte, c’est remercier. Tout le reste, supputations mentales. Ego mal placé. Qu’est-ce ça fout ? Tu reçois sans savoir pourquoi, tu remercies sans savoir qui. Sincèrement. Tout ce qui compte, la sincérité.

L’ego est la seule partie de l’être humain qui ne connaîtra jamais l’éveil. (Adage lamaïste)

 

Surfeurs d’argent

On a observé des surfeurs d’argent dans les lacs sibériens, comme on a cru voir un dinosaure dans un loch d’Écosse. Sauf que ces géants des lacs s’en sont pris à des plongeurs russes. Plusieurs morts à déplorer. Voyez l’histoire.

On a pu admirer jadis les géants de Bamiyan, Afghanistan — avant leur destruction par la haine qu’engendre l’ignorance. Pour des croyances hors-sujet. Ces statues n’étaient pas des bouddhas. Le 1er mesurait plus de 50 mètres. Il représentait la première humanité, la race des Cyclopes. Le 4e mesurait 4 mètres. C’était la taille des dieux d’avant, Titans Olympiens ou Atlantes, puissants maîtres de la quatrième humanité.

Certains d’entre eux — comme Zeus, le dieu des dieux — se sont reproduits avec des humaines. Tandis que certaines déesses ont copulé avec des humains. Des serpents avec des humaines. Ça nous a valu la race des demi-dieux, les Héros grecs, les Patriarches bibliques. Ceux que j’appelle les Parfaits ou les Lumineux.

Ces surfeurs d’argent sont-ils leurs héritiers? Je ne saurais le dire. Mais je saurais l’écrire! La preuve : je viens de le faire.

Quelle que soit leur origine, ces géants aquatiques ne nous aiment guère. Ils veulent vraiment qu’on leur foute la paix. D’accord, c’est noté. Tout compte fait, ils sont imparfaits. Je subodore des Archontes

 

 

Creuse en toi

Creuser c’est approfondir. Tout le contraire de se creuser la cervelle. Descendre en toi. Pénétrer ton corps profond. Renforcer les liens directs avec ta chair, ton sang, tes influx nerveux, tes ressentis les plus minimes deviendront des signaux que tu ne peux ignorer. Peu à peu, tu vas te familiariser avec cette merveilleuse machine de chair et d’os.

Je ne parle pas de biologie. Une discipline qui se renie de décennie en décennie peut-elle avoir le nom de science? En aucun cas. Ce déni s’applique, hélas, à toutes les sciences humaines, qui ne sont qu’inhumaines au lieu d’être surhumaines.

Tel père, tel fils. On ne peut étudier le fils en ignorant son père. On ne peut étudier l’humain en ignorant le divin. Il est en nous, comme les gènes du père se retrouvent dans son fils. Cherche et tu trouveras. Dans ta chair est tapi l’Esprit.

Créature que tu es, matière animée, tu abrites en toi l’Esprit, l’éternité. C’est Lui qui te rend invincible. Sans lui tu n’es qu’un artifice. Aussi vain que la fausse intelligence qui braie comme un âne: I-A! I-A! L’intelligence informe à tics. Fruit du piège archontinental en Silly-Conne Vallée.

Si l’icône valait… Mais vaut-elle un seul kopeck? Pas pour moi, merci! Je la laisse aux Archontes.

 

Révolte

Creuse en toi, tu découvriras des merveilles. Un savoir de ton corps qu’il voudra t’enseigner. La magie quotidienne de ton guérisseur intérieur, un milliard de fois plus efficace que toutes les pharmacopées. Truqué, le caducée! Fuyez les médecins. Hôpitaux malsains. Sonnez le tocsin. Jetez les vaccins. 

Rien à foutre de toutes ces merdes qui nous empoisonnent pour le seul profit des gros labos collabos. Chacun de nous porte en lui de quoi guérir ses maladies.et celles des autres De quoi les prévenir avant qu’elles ne s’incrustent. Chacun porte en soi tout un monde, celui d’où l’on vient. Chaque monde ne ressemble à nul autre. Se révolter contre soi-même, c’est renier son monde intérieur. 

Des milliards de vivants, tes compagnons d’avant, sont condamnés par ta révolte. Sans pitié, un à un, tu les passes au fil de l’épée. Souviens-toi de toi-même, cet autre monde que tu n’as quitté que pour quelques instants. Ton vrai monde où tu reviendras ta vie faite, ta mort accomplie.

Vivre ou changer, les deux sont frères. Rien ne s’oublie jamais et pourtant! Rien ne subsistera de cet instant où je vois les lettres apparaître, magiquement, sur l’écran. Magie, tu vas les lire et magie, tu les comprendras. Ton cerveau n’y sera pour rien. Seul parle ce que tu fus, ce vers quoi tu reviens. Sers-toi des infos contenues dans ton aura. Ton âme est ta mémoire. Chéris-la.

L’âme de la chair est dans le sang. (la Bible)

 

 

Révolution

Révolte, faire une volte, puis la refaire. Révolte comme révolution font un tour sur toi-même. Un demi-tour, suivi d’un autre. Pour que toujours tout recommence. Quand tu creuses pour t’enfoncer, tu grimpes vers la surface de ton être oublié. Il se tient tête à l’envers dans l’univers de toi. Pendu par la cheville, le monde est étranger.

La rivière passée, tu continues ta route. Tu cours après tes doutes. Pourquoi renaître? N’en as-tu pas assez de mourir qu’il te faut d’autres vies pour vivre d’autres morts? Combien de fois veux-tu mourir encore? La ronde inféconde de tes vies intérieures te grise et te consume. Le gel couvre la terre. S’y épand du purin qui fume. Dans la chair de la terre un printemps se conçoit. Fœtus ou vagabond? Qu’importe? Il grandira.

Mourir n’est rien. C’est vieillir qui nous tue. (Lao Surlam)

 

Il faut creuser encore. Tu n’atteins pas encore l’énergie. Regarde les couleurs. Le jaune, l’orangé. As-tu passé le vert? Perçois-tu le violet? Tu dois descendre. Creuse.

Des souvenirs encombrants te bloquent. Des larmes desséchées t’empêchent de marcher. Du sang séché sur la lame. Quel crime infâme? Ce n’est que ton enfant qui meurt. Le petit que tu fus n’est plus. C’est terrible à se dire. C’est pire à l’accepter.

 

Double fond

Quand le désespoir te mine, quand tu as descendu jusqu’au bout l’escalier d’en bas, tu ne peux t’enfoncer davantage. Le ciment du sol sous tes pieds, prends un pic, un piolet. Prends un marteau-piqueur. Dynamite-moi ça. Fais péter. Avec tes mains nues s’il le faut, creuse comme un fou. Bravant la mort, tu dois descendre encore. Le fond de la piscine cache un tunnel secret qui descend, vertical. Un double fond vital. Et c’est là que s’étalent, abondantes, les marées de tes vies. C’est là qu’est l’énergie. Puise. Bois. Inspire encore.

Vois et bois. Tout est là. Tout ce qui est à toi.

Les secrets qui n’en sont pas, les souvenirs qui n’en sont plus, les gens connus, les livres lus, le bazar où ta vie t’a mis, tes amis, ton amie, creuse! Un tunnel connu que de toi, un plancher sans toit, creuse. Ton passé tu retrouveras. L’aimeras-tu? Le cri qui tue. Le temps perdu qui s’évertue à te désorienter. Et les Archontes pour te hanter. Sauras-tu qui tu es? Qui tuer? Quitter?

Chaque nanoseconde enferme un multivers. Chaque note d’une chanson comme d’une symphonie est un superamas d’opéras oniriques.

Il faut avoir du chaos en soi pour enfanter une étoile qui danse. (Friedrich Nietzsche)

 

 

Grandeur astrale

La grandeur, ce qui manque. L’instant qui file perdure à jamais. Le voyageur de l’espace-temps peut atterrir au cœur de tout instant passé, présent et avenir. Comment voyager dans l’espace-temps? Quatre pas dans l’astral t’en diront plus qu’un long discours. Viens me voir, je l’enseigne.

D’ici ta visite que je souhaite prochaine, si tu veux en savoir plus, demande aux Archontes, c’est leur spécialité. Cultive ta propre grandeur, non comme un Roi ou un Macron, plutôt comme le géant que tu fus jadis. Qu’il soit ton modèle en toutes choses. Que la grandeur de ses actes soit l’aune où mesurer les tiennes.

Grand en tout, sauf par l’ego. Fouet en main, tu le tiens en respect loin du cœur. Armé de la seule intention, tu n’as nul besoin de l’ego. L’humilité fait meilleur usage. Elle nous garde longtemps. Garde-la donc.

 

L’astral conscient

L’astral est infini. Très accessible aussi. Il est gratuit. Pour y aller, pas d’autre énergie que la tienne. Sans limite et gratos. Parole. Viens passer des vacances, j’y suis toutes les nuits. Tu auras le plaisir de vivre l’astral conscient. Mais sois prudent, le danger guette!

Qui goûte au voyage astral s’ennuie sur terre. Il lui faut la grandeur infinie, le vertige, l’incroyable énergie que l’on reçoit là-bas. Où? C’est ici. Car l’astral est partout, tout autour, et en toi. Il suffit de pousser la porte du saloon. Comme dit la chanson: « Au saloon pas de groom à la porte, c’est du pied qu’on pousse le battant« . Entre donc. Sois le bienvenu.

 

 

Alpha quotidien

En fait, tu connais déjà. Sans t’en souvenir peut-être, tu y vas toutes les nuits, comme chacun de nous. C’est une des phases du cycle de sommeil, lorsque le cerveau émet des ondes alpha. Cette phase s’appelle le sommeil paradoxal. Elle est propice aux rêves. Il y a cinq phases de sommeil paradoxal par cycle de sommeil et quatre ou cinq cycles par nuit. Donc entre 20 et 25 phases pleines de rêves. Sachant qu’un rêve, même s’il t’a paru long, est instantané. Nous faisons des milliers de rêves toutes les nuits.

Et au mieux, nous nous souvenons de quelques-uns. Certaines personnes n’en ont aucun souvenir. Je les entends dire qu’elles ne rêvent pas. Faux. Elles rêvent autant que les autres mais ces rêves restent enfouis dans l’inconscient.

 

Brouillage au réveil

Ils ne sont pas perdus, mais cachés. Notre conscience ne peut donc s’en servir pour guider notre conduite. D’ailleurs, même quand on s’en souvient, nos rêves sont-ils utiles à quelque chose? Ils sont souvent brouillés dès le réveil. On les trouve absurdes, incohérents, surréalistes ou stupides.

J’ai cru que ce brouillage était un mécanisme du cerveau, un programme visant à atténuer les chocs éventuels que pourrait nous donner les souvenirs de rêves trop crus, de cauchemars trop violents. Si c’était le cas, le cerveau brouillerait aussi les images violentes de la vie éveillée. Lors d’un attentat, à la place du sang, on verrait des fleurs qui se changeraient en papillons.

Donc le cerveau n’y est pour rien. Dans ce cas, qui brouille notre mémoire? Bon sang, mais c’est bien sûr! Les bouffeurs de tête! C’est leur spécialité. Et en astral, ils sont chez eux.

 

 

Archontes, danger!

Effectivement, l’astral est le domaine des Archontes, c’est pourquoi je t’ai mis en garde contre les dangers éventuels liés à la pratique de l’astral conscient. Cette pratique est exaltante, plus addictive qu’une drogue et meilleure pour la santé. Mais elle n’est pas brouillée. Tu risques de vivre en direct des évènements dont le dormeur inconscient n’aurait eu aucun souvenir, ou bien des souvenirs brouillés avec des fleurs bleues et des papillons roses.

Donc, si tu as peur d’avoir peur, abstiens-toi. Saches pourtant que tu ne risques rien d’autre que les quelques inconvénients énumérés dans un prochain article, Archontes Prédateurs. J’y donnerai aussi les moyens de s’en protéger.

 

Reptiliens

Depuis plus de dix ans, les Serpents Volants me font signe. Pour compléter votre compréhension des Archontes, vous pourrez lire ou relire:

Quetzalcoatl Serpent à PlumesLe Serpent et le VautourLilith et les Reptiliens —  Mystérieux AnunnaSerpents Volants AnunnakiMythiques Rois SerpentsLe Peuple SerpentDragons d’EdenDragons d’EnferArchontes de l’AstralLes bouffeurs de têteLes InvisiblesLes démons du ZoharArchontesArchontes de la GnoseArchontes selon Lash — Archontes Prédateurs

 

 

Tu n’y verras clair qu’en regardant en toi. Qui regarde l’extérieur, rêve. Qui regarde en lui-même, s’éveille.
Carl Gustav Jung