Le temple de Salomon renfermait bien des merveilles où l’on aurait tort de ne pas voir des réalisations technologiques. Vingt-quatre antennes surmontaient l’édifice : des paratonnerres, ou plutôt des capteurs de foudre. De plus, Hiram, l’architecte du temple, avait coulé dans le bronze une gigantesque piscine d’eau vibrée par la foudre. Cette piscine de bronze était nommée la Mer d’airain. (source)II Rois, XXV, 13 et Jérémie LII, 17
Salomon fut le plus grand roi de son époque, et son usage des machines volantes atteste assez de la bénédiction des dieux d’avant. Il avait reçu de ces anciens astronautes un certain nombre d’appareils, de techniques et de machines élaborées qui ont fait de son règne, de son palais et de son temple d’authentiques merveilles du monde antique. Malheureusement, nombre de ces précieuses réalisations furent détruites par les Chaldéens de Babylone.
La plus étonnante de ces merveilles fut sans doute cette piscine destinée à recueillir les boules de foudre que captaient de nombreux paratonnerres placés sur le toit du temple. Des paratonnerres qui s’appelleraient mieux des capteurs de foudre. Pour mieux saisir le fonctionnement de cette machine à foudre, prière de se reporter à l’article consacré au temple de Salomon.
« Plus près de l’autel des holocaustes à l’orient, en tirant un peu vers le midi, fut placée la Mer d’airain. C’était un immense vase de bronze, destiné à conserver l’eau dans le temple pour l’usage des prêtres. Ce vaisseau avait dix coudées de diamètre, et trente de circonférence, car il était rond et de la profondeur de cinq coudées. Le bord en était orné d’un cordon, et embelli de pommes ou boules en demi-relief. Le pied était un parallélépipède creux de dix coudées au carré, et de deux coudées de haut.
Le vase fut nommé la mer à cause de sa vaste capacité. Sa coupe seule contenait 2000 baths d’eau, et le pied 1000; en tout 3000 baths. Il était appuyé sur douze bœufs de bronze, disposés en quatre groupes de trois bœufs, dirigés vers les quatre parties du monde, et laissant entre eux quatre passages, qui rendaient le bassin accessible par-dessous la mer, où les prêtres allaient se purifier. On tirait l’eau du vase par quatre robinets qui la versaient dans le bassin. » (source)
Selon moi, les capteurs de foudre et la mer d’airain sont deux éléments d’un piège à foudre. Deux pièces d’une machine à changer l’homme en dieu. C’est la foudre qui vibrait l’eau de la Mer d’airain pour en faire de l’eau de Jade.
« La Mer d’airain – yam moustak en Hébreu – était selon la Bible une grande piscine ronde, en airain fondu, qui se trouvait à l’entrée de temple de Salomon. Cette piscine avait 6 mètres de profondeur et 12 mètres de diamètre, soit environ 36 mètres de circonférence. Le bord était orné de deux rangs de fleurs ciselées, les parois avaient pour épaisseur la largeur d’une main et le bassin tout entier était supporté par douze bœufs, également en airain. C’est dans cette piscine que les prêtres venaient faire leurs ablutions. Elle fut brisée par les Chaldéens lors de la destruction du temple et transportée par morceaux à Babylone. » (source)Robert Charroux, Le livre du mystérieux inconnu
De nombreux temples de la foudre, si ce n’est tous, avaient leur piscine. Ainsi celui de l’Osireion, temple d’Osiris à Abydos, en Égypte. On sait que la grande pyramide de Gizeh, Égypte, était entourée d’un large bassin, comme les pyramides du Soleil et de la Lune à Teotihuacan, Mexique.
Idem, le bassin d’Akapana à Tiahuanaco, au Pérou. Citons aussi celui d’Harappa, en Inde, sur le parvis du temple.
Voyez cette piscine antique à Mahabalipuram, ou Manipuram, en Inde. Creusée dans une pierre monolithe, elle semble avoir été taillée par des machines modernes munies de lames rotatives rapides.
J’ai vu comment le site d’Avebury, dans le Wiltshire UK, était jadis totalement parcouru par des filets d’eau ou des ruisseaux, et j’ai compris le rôle que jouait l’eau dans les capteurs de foudre antiques. J’en ai cité plusieurs(voir plus haut), le bassin sommital de l’Akapana, la pyramide de Tihuanaco au Pérou, etc.
L’eau de foudre joue un rôle central dans la technologie antique de l’éveil fulgural. Les Égyptiens la nommeront Eau de Jade, et les Amérindiens l’appelaient à l’origine l’Eau de Tlaloc. Cette divinité toute puissante était le dieu de la foudre, de l’agriculture et de l’irrigation. J’ai montré pourquoi ces trois choses sont réunies sous sa divinité : dans les Andes, la pluie ruisselle le long des montagnes et irrigue au fil de sa descente les innombrables terrasses de culture maraîchère qui couvrent la plupart des falaises. Car si l’eau n’est pas « bénie » par la foudre, la terre sera moins fertile.
Chez Hergé ou son ami Edgar Jacobs, la foudre joue un rôle tout à fait singulier qui mérite l’exégèse. Tintin au Tibet rencontre un vieux lama qui lévite sans crier gare. Comment s’appelle ce vieux lama ? Foudre Bénie.
Initié par son ami et collaborateur Edgar-Pierre Jacobs, Hergé a traité de nombreux sujets en rapport avec nos pouvoirs inconnus. La foudre et ses effets tient une place importante dans son œuvre ainsi que dans celle de Jacobs.
J’ai tout lieu de penser que ce lama avait été béni par la foudre, tout comme mon benefactor. Cet éveil instantané que donnent les boules de foudre a réveillé des pouvoirs mystérieux, celui de léviter pour le lama d’Hergé, et pour Flornoy celui de faire apparaître des entités qu’il nommait des alliés.
Chac dans les Andes ou Tlaloc dans les sierras du Mexique étaient des dieux ruisselants. S’agit-il du même personnage? Dans les deux cas, le dieu de la pluie est aussi celui des récoltes. Quant à la foudre, on la trouve à l’origine de tout.
Les cités des cimes andines étaient des pièges à foudre. La foudre apportait l’eau qui donne la vie au corps et aux plantes, et l’éveil qui donne la vie à l’esprit. La foudre apporte l’énergie vril, qui fait aussi tourner les machines et briller les lampes.
Les dieux d’avant ont enrichi de grandes quantités d’eau, pour leur consommation, celle de leur bêtes, et celle de leurs plantes. Les eaux d’irrigation, vibrées par la foudre et enrichies par les nitrates qu’elle y développe, produisaient des récoltes abondantes et variées, qui faisaient des envieux dans les vallées où des chasseurs primitifs trouvaient à peine de quoi survivre.
L’eau de jade n’est pas seulement bénéfique pour l’agriculture. Nos ancêtres savaient en tirer profit de bien des façons. Ils la buvaient par petites quantités, ses vertus étaient innombrables : guérison, rééquilibrage énergétique, cure de rajeunissement, voire éveil.
Le rééquilibrage énergétique peut s’obtenir par d’autres biais: le reiki, et particulièrement le reki d’Erquy que je pratique en stage, offre des résultats plus que satisfaisants. Le reki rééquilibre dans tous les cas, il fait parfois bien davantage. Un stagiaire piétine depuis trop longtemps au bord de l’éveil, sans franchir le pas. Le cas n’est pas rare. Au niveau de l’arcane XV Le Diable, il a tous les chakras fonctionnels et grands ouverts à l’exception de la fontanelle. Il n’en peut plus. Le petit coup de pouce du reki d’Erquy lui donne le centimètre-cube de chance dont il a besoin pour s’éveiller.
Tout autour du monde, les initiés s’immergeaient dans des piscines d’eau de foudre taillées dans la pierre, ou comme les piscines de métal. Car Salomon n’était pas le seul à se baigner dans une piscine d’airain : les anciens dignitaires chinois faisaient leurs ablutions dans des vasques du même type.
Ici une photo prise sur les tombes de la dynastie Ming, où l’on peut voir une copie parfaite de la mer d’Airain de Salomon. On sait que le grand roi biblique s’est rendu jusqu’en Chine grâce à son mystérieux astronef. Serait-ce Salomon qui a lancé la mode de cette baignoire magique jusqu’en Chine ? Ou bien était-ce une coutume alors répandue, issue de l’enseignement des dieux astronautes ?
J’imagine qu’elles étaient reliées à un captage de foudre, comme la Mer d’airain. J’imagine aussi qu’elles étaient emplies d’eau de Jade. D’ailleurs le jade n’est-il pas d’origine chinoise? On peut supposer que ce nom lui a été donné pour illustrer son origine. Il est tout à fait probable que les sages de l’antique Cathayancien nom de la Chine aient eu connaissance d’une technologie de la foudre, avant de la transmettre au reste du monde par l’intermédiaire de voyageurs en caravanes — ou en astronef, comme le grand Salomon.
Il y avait plusieurs qualités d’eau de foudre, qui était plus ou moins efficace selon la quantité de vril que l’eau avait reçu. On peut aussi fabriquer l’eau de jade sans l’aide de la foudre. Un ingénieur français du siècle dernier a fait cette découverte que je tiens pour prodigieuse. En travaillant sur les propriétés physiques de l’eau, il a percé le secret des patriarches : une eau de longue vie qui ne doit rien à la foudre, et tout aux particules cosmiques.
L’eau est sans aucun doute le plus précieux liquide. Ses propriétés reconnues sont hallucinantes. Que dire de ses usages plus secrets? Eau de Jade ou de foudre, mémoire de l’eau, sans oublier les rivières utilisées par les brujos, sorciers du Mexique, comme thérapie du corps subtil ou moyen de locomotion astrale.
Juan Matus, benefactor de Carlos Castaneda, évoque cette curieuse propriété des fleuves et des cours d’eau. Par un déplacement adéquat du point d’assemblage, l’initié parvient à faire voler son corps d’énergie sur l’eau mouvante. Il acquiert une vitesse prodigieuse et peut ainsi se déplacer sur de très grandes distances en l’espace de quelques instants. Il suffit au sorcier de rejoindre son corps d’énergie par la voie astrale pour se retrouver en lui. Le sorcier est alors libre d’agir dans ce nouveau lieu, tandis qu’il reste où il était auparavant, continuant de vaquer tranquillement à ses occupations.
Ce dédoublement, je l’ai vécu il y a une dizaines d’années, et Jean-Claude Flornoy l’a connu dès son plus jeune âge, et dans les deux cas, l’eau a joué un rôle prépondérant: l’eau de mer en ce qui me concerne, et le lait maternel pour mon benefactor. J’ai conté ces épisodes dans l’article Ici et ici.
Au terme de cet exposé, je me demande si l’usage des bénitiers de pierre dans nos églises et cathédrales n’est pas une survivance d’un rite de bénédiction fulgurale. L’eau du bénitier aurait été préalablement vibrée par la foudre, captée par un paratonnerre sur le sommet du clocher et conduit jusqu’au bénitier par un circuit de métal conducteur ou de pierres à polarités alternées.
Ainsi, quand le croyant puisait cette eau bénite, il s’en appliquait une petite quantité en trois points du schéma énergétique, sur le front pour ouvrir le troisième œil, au plexus cardiaque pour ouvrir le chakra du cœur, et un peu au-dessous du nombril pour activer le chakra du ventre.
Cette coutume n’est pas mentionnée dans le nouveau testament, elle n’a rien à voir avec la religion de Jésus, qu’il fut réel ou romancé. Le bénitier ci-dessous a été daté du 2e siècle AEC. Il n’est donc pas chrétien, en tout cas pas au sens du christianisme de Jésus. Car il y a eu beaucoup d’autres christianismes avant ce prophète dont l’existence historique est loin d’être avérée.
Si le christianisme eut été arrêté dans sa croissance par quelque maladie mortelle, le monde eut été mithriaste.
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