Ici j’ouvre une page secrète de l’histoire cachée, l’épopée des Cabires. Ces quatre dieux premiers restent largement dans l’ombre de l’oubli, à l’instar des mille facettes du grand Rama d’Hyperborée. Sachant que peu d’entre nous peuvent en saisir la portée, j’en parle pourtant, car rien de ce qui était caché ne doit le rester.
Si je suis libre de tout dire, l’ordre dans lequel je traite des sujets ne m’appartient pas. Il m’est imposé à travers un sentiment d’urgence et de nécessité auquel il m’est impossible de me soustraire. Dont acte. Certains de mes lecteurs ne comprennent pas l’intérêt que je porte à la protohistoire. Souhaitent-ils que je reste centré sur le développement personnel? Pour moi, les deux sont nécessaires et complémentaires.
Une première version de cet article a été publiée le 4 mai 2019. De nouvelles informations me sont parvenues, aussi suis-je tenu de poster ce qui suit.
Les Cabires sont des divinités mineures dans plusieurs endroits de la Grèce, et surtout dans les îles de Samothrace, de Lemnos et d’Imbros. Leur culte à mystères fut importé en Grèce par les Phéniciens. Ces divinités se sont modifiées par la suite en se confondant avec les dieux pélasges, le fameux Peuple de la Mer conduit par Rama le conquérant. Les dieux Cabires sont alors devenus des protecteurs de la navigation.
Le grand prêtre du culte cabirique, appelé Eues, recevait la confession de ceux qui se faisaient initier. La dernière cérémonie de l’initiation, qui ouvrait à l’initié l’accès des mystères, s’appelait thronisme : l’initié, après avoir subi les plus terribles épreuves, était assis sur un trône éclatant de lumière, le front couvert d’un voile, couronné d’un rameau d’olivier et ceint d’une écharpe, tandis que tous les prêtres et les mystes, se tenant par la main, exécutaient autour de lui des danses symboliques. (mytheslegendes.com/mythologie-des-mysteres-cabires)
Les mystères demeurent l’une des pratiques de la religion grecque que nous avons beaucoup de mal à cerner en raison du silence imposé aux initiés, qu’ils ont le plus souvent bien gardé. (persee.fr)
Exigua est virtus præstare silentia rebus; at contra, gravis est culpa tacenda loquiMince est le mérite de garder le silence sur une affaire ; d’autre part, grave est la culpabilité de parler de choses sur lesquelles il faudrait se taire, disait Ovide à propos des mystères de Samothrace. Mais ce goût du secret ne visait qu’à protéger l’initiation contre des intrusions vulgaires. Trop de siècles ont passés depuis cet interdit. Les cultes à mystères ont gardé leur secret. Se taire à présent ne pourrait qu’empêcher les chercheurs de lumière d’accéder à une vérité salvatrice.
« Tout ce qui est couvert d’un voile sera dévoilé, tout ce qui est caché sera connu » dit Jésus au chapitre 12 l’évangile selon St Luc. On ne peut qu’approuver ces sages paroles de vérité et de clarté. Ce site n’a d’autre ambition que de lever le voile d’Isis et je m’y emploie depuis 15 ans. Le don qu’elle nous a fait est oublié, il est pourtant d’une actualité brûlante.
Dans les différents sanctuaires consacrés aux Cabires ont été retrouvés de nombreux vases et calices, ainsi qu’un nombre très important de statuettes : satyres, personnages du culte dyonisiaque, ainsi qu’une foule de jeunes gens vêtus d’un long manteau, des participants au mystère initiatique qu’on appelle les mystes. Viennent-ils offrir un sacrifice — celui d’un agneau puisque nous sommes dans le cadre des rituels à Ram le Bélier d’Armor — ou sont-ils eux-mêmes les victimes sacrificielles ?
Je ne crois absolument pas aux sacrifices humains dans les cultes à mystères. L’enjeu véritable s’y oppose, et la pratique en serait contraire aux révélations d’Isis, initiatrice première des cultes à mystères.
Ce culte était réservé aux mâles, jeunes ou vieux. Les femmes ne sont pas présentes dans les épreuves subies par les mystes, ce qui implique qu’elles ne prenaient pas part à l’initiation. Lorsque des personnages féminins apparaissent, ce sont des hommes portant des masques et habillés en femmes. (persee.fr)
Les cultes à mystères nous ont été donnés pas une déesse, la grande Isis. Les femmes ont longtemps été à la pointe de l’initiation. La Déesse Mère ou Grande Déesse est celle qui a présidé à l’aménagement de cette planète. À l’époque romaine, les femmes n’avaient plus droit à l’initiation. On mesure le déclin ! La dictature du patriarcat avait déjà ébranlé si fort les antiques fondements du matriarcat d’ordre divin que les femmes étaient devenues inférieures et indignes d’une élévation spirituelle strictement réservée aux mâles ! Depuis, hélas, les offenses à la condition féminine n’ont fait que croître en puissance et en vilennie.
Quand on recherche le contenu des mystères de Samothrace, on ne devrait jamais passer sous silence un aspect essentiel de la révélation qui concernait les
pouvoirs du métal, moment si important de l’initiation que tous, semble-t-il, même les esclaves, recevaient, tout au moins à l’époque romaine, un anneau de
fer aimanté que certains sertissaient d’or ? (persee.fr)
Les esclaves mâles, bien entendu… Les femmes n’en étaient pas jugées dignes. À Rome, il valait mieux être esclave mâle que femme libre.
Quant au magnétisme, l’aimant était connu de longue date : il avait été enseigné aux humains par les dieux, qui en faisaient un usage constant. J’ai expliqué comment fonctionnait le moteur polymétallique des Atlantes, ainsi que les coques d’alliage métallique qui avaient la propriété de repousser l’eau, donc d’éliminer les frottements de celle-ci contre la coque. Ces navires hyper véloces pouvaient atteindre des vitesses qui nous laissent rêveurs. Et dont la technologie nous rappelle que nous ne sommes ni les premiers, ni les plus évolués des êtres de Terra.
Avant de devenir des divinités grecques mineures et de faire l’objet d’un culte à mystères, les Cabires ont eu leur existence propre dont la légende atteste d’un très haut niveau dans la hiérarchie divine. Ils étaient astronomes et ingénieurs de la Fertilité, c’est à dire en clair des maîtres généticiens venus du fond de l’espace. Leur culte secret était célébré en Irlande par les Tuatha dé Danaan, ainsi qu’en Grèce à Thèbes, Samothrace, Lemnos et Imbros.
Les Tuatha dé Danaan, rappelons-le, géants eux-mêmes, descendaient en droite ligne des Hyperboréens — voire étaient-ils Hyperboréens eux-mêmes. Des « dieux » en tout cas, c’est à dire des êtres tout-puissants, omniscients, capables de prouesses à nos yeux d’humains chétifs.
Ce qui confère aux Cabires une très grande importance, puisque les Hyperboréens –quasi-divins ou dieux eux-mêmes– leur vouaient un culte secret. Plusieurs initiés voient dans les mystérieux Cabires les tout premiers terraformeurs de cette planète, antérieurs aux Elohim, et supérieurs à eux sans doute. C’est aussi l’avis de l’érudit breton Jean Ciril, auteur des annotations dans le livre d’Alfred Weysen, L’île des veilleurs.
En principe,difficile d’être affirmatif à leur sujet ! les Cabires étaient quatre : deux mâles, Axiocercus et son fils Cadmilus ; deux femelles, Axiera et Axiocersa. Mon interprétation est la suivante : Axiera est la toute première Grande Déesse. La génération suivante est incarnée par le couple Axiocersa et Axiocercus. La troisième par leur fils Cadmilus. Ce dernier a pour nom un diminutif. Cadmilus peut se lire « le petit Cadmos ». Il est possible que son père s’appelât, non Axiocercus, mais Cadmos – ce nom est répandu dans la Grèce mythologique.
Les Cabires étaient des divinités helléniques (mythologie grecque), dont l’origine, la nature véritable et les transformations diverses offrent à l’historien des religions anciennes un des problèmes les plus ardus et les plus intéressants qui soient.
Leur nom se rencontre, pour la première fois, au IVe siècle avant notre ère, dans un fragment de Pindare (Hippolyte, Ref. Hoer., V, 7, p. 136) jusqu’au temps d’Épaminondas, ils restent confondus dans la foule des démons, personnification des forces physiques, que le progrès des idées philosophiques et le développement du sens religieux transforment peu à peu en divinités du monde moral.
Depuis ce moment jusqu’à la chute du paganisme ils prennent une importance qui les rend égaux, sinon supérieurs, aux personnalités les plus éminentes du Panthéon hellénique; ils deviennent l’objet d’un culte mystérieux, rival du plus célèbre et du plus respecté, du culte d’Eleusis.
Selon moi, vous vous en doutez, les Cabires ne sont pas des personnification des forces physiques, ils furent les forces physiques eux-mêmes. Les Cabires étaient capables à volonté de déclencher les pires orages par la maîtrise de l’électronique et donc de la météorologie planétaire, de faire tomber la foudre – ou son équivalent technologique – à leur gré où bon leur semble par la maîtrise de la fulgurologie, de déclencher des inondations sur telle ou telle partie du globe par la maîtrise de la climatologie, de déplacer des montagnes ou de bâtir des pyramides par la maîtrise de la gravité, de guérir à distance par la maîtrise des radiations et des ondes scalaires, de tuer ou blesser à distance par la même maîtrise, de ressusciter les morts par la maîtrise de l’électro-bionique et de l’invisible, de changer d’apparence par la maîtrise moléculaire, d’apparaître et de disparaître, de se montrer à deux endroits en même temps, par la maîtrise de l’ubiquité et de l’espace-temps, de changer d’époque, de planète, de plan, de rajeunir ou de vieillir, de grandir ou rapetisser, de changer de sexe, etc.
Comment ne pas les prendre pour des dieux tout-puissants ? Les héros, les demi-dieux, les dévas, les anges, les géants, les patriarches, tous des êtres bien plus puissants que nous, ont été pris pour des dieux et vénérés comme tels. Pourtant, je vous le dis, ils ne sont pas Dieu. Ils ne sont pas la Source. Ils sont des employés de Dieu, si l’on veut. Tout comme nous. Ni plus, ni moins.
Les étymologies du nom Cabire sont très nombreuses, mais elles tendent toutes vers une valeur supérieure indiquant l’aurore et la conscience. (source)Alfred Weysen, Le temple du secret et l’apocalypse, p.90
Kabir à Sumer désigne le bec de l’oiseau. Dans une des langues de la péninsule indienne, Kabir veut dire grand. La racine cabi, kapi, kap se retrouve dans nombreuses langues antiques pour désigner le chef. Caput, en latin la tête, a donné le Kapo allemand, le Capo italien et le Caporal français. Il y a aussi le mot chef, qui désigne, outre le boss, la tête en français vieilli. Voyez l’expression branler du chef. D’où le mot caput, chef, signifiant à la fois la tête et le boss.
« Kabar est le nom sumérien de Chypre. En Inde, Kabara est la tresse, la belle chevelure. En Hébreu, K est le dieu tout-puissant. Dans la même langue, KB désigne le sexe féminin, la matrice. Pour le monde grec, Kaberia désigne le violent mal de tête que Zeus éprouva lorsqu’il dut accoucher d’Athéna. » (source)Alfred Weysen, Le temple du secret et l’apocalypse, p.91
Dans le culte à mystères de Thèbes, une des divinités assimilée aux Cabires est le grand Prométhée, maître généticien lui-même et des plus brillants, puisque son oncle Zeus lui confia la tâche importante de créer notre race humaine. Sa cousine Athéna, fille de Zeus, l’assistait dans ses recherches. Voyant la perfection du dernier Adam qu’il avait conçu, Athéna supplie Prométhée de lui donner une âme, contrairement aux essais précédents qui en étaient dépourvus.
Ainsi ce modèle particulièrement réussi bénéficierait d’un accès à la transcendance, comme les dieux eux-mêmes, et donc de la possibilité de devenir dieux à leur tour. C’est notre tâche sacrée sur cette terre, dont on doit s’acquitter dans le temps qui nous est imparti.
On se souvient que Zeus fut le père et la mère d’Athéna, qui selon la légende est sortie toute armée de la tête de son père. On a trop l’habitude d’interpréter les mythes comme des tissus de fariboles ou d’y chercher des symboles au lieu de considérer les faits. Il faut se mettre à la place des ignorants qui ont été les premiers témoins de ces faits extraordinaires. Comment ont-ils pu les raconter à d’autres ? De quelle façon ce récit a-t-il été mutilé par les siècles ? Il faut ensuite recouper les premiers résultats à la lumière d’une autre source mythologique, géographiquement éloignée si possible.
Dans le cas jubilatoire de la naissance d’Athéna, j’ai expliqué ailleurs que sa fille était née dans une éprouvette, entièrement conçue par le cerveau de son père, et par la brillante application de la génétique eugénique des dieux d’avant. Cas pour moi jubilatoire, parce que ça tombe sous le sens. Zeus a engrossé une bonne centaine d’humaines, de nymphes et de déesses, sans doute bien davantage vu la longueur… de son règne. Mais pas seulement.
Des modèles humains, il en aussi inventé des milliers dans son labo de génétique. Et puis des clones. Des doublons. Des jumeaux, les fameux dioscures. Athéna en a eu jusque trois cents modèles, connectés à elle, et absolument indiscernables de sa propre personne. Sacré nom de Zeus ! Elles s’appelait toutes Athéna, mais se reconnaissaient grâce à de subtiles inflexions de l’accent tonique qui différenciaient les trois cents homonymes.
Elles se matérialisaient à l’adolescence, et ne vieillissaient que très peu, et très lentement. Pas d’Athéna bébé, ça n’a jamais existé. Une Athéna ado, puis jeune adulte. Jamais vieille non plus. Elles étaient destinées à des fonctions guerrières et manifestaient de sérieux dons pour la tactique, la stratégie, la psychologie, et l’art d’influencer les foules. Sans arrêt, Zeus tentait d’améliorer son modèle initial.
Mais sa plus belle réussite, à la conception de laquelle tous les dieux ont participé, chacun dans son domaine d’élection, c’est sans conteste Pandore, la bellissima Pandora. Son nom signifie « qui a tous les dons« . Elle était plus belle que Vénus la plus belle déesse, plus intelligente que Junon — la puissante Héra, femme et sœur de Zeus, mais d’abord la cheffe du gouvernement divin d’Olympe en Hyperborée. Plus magique, plus sexy, plus proche, plus lointaine, plus attirante, plus attirée, plus aimable, plus solide, plus douce et plus forte était la magnifique Pandore la surdouée, toute dorée, tant adorée.
Ce qui n’a pas fait plaisir à sa légitime, la toute puissante Junon Héra ! Il l’a trompée des millions de fois, le bougre ! Mais là, ça dépassait les bornes.
Cabire c’est aussi cabri, qui veut dire chèvre dans bien des langues. Cabire c’est donc le Capricorne, ou le Bélier. « Ab Ram, en sacrifiant un bélier, donne leur nom aux Arabes Ab Ram – le brillant bélier – ancien nom des Arabes araméens avec Eber et Kabiru, leur nom en Egypte. Ab-Ram, fils de Ram le Bélier. » (source)Alfred Weysen, Le temple du secret et l’apocalypse, p.92 Par la génétique ou selon la chair.
« En Grèce, Kabiria était l’île de Déméter dont les Cabires gardent et révèlent les secrets de la vie. » (source)Alfred Weysen, Le temple du secret et l’apocalypse, p.92 C’est même possible que le céleri ait été utilisé aussi lors du rituel des « mystères » célébrés dans l’ancienne ville de Thèbes et dans les îles de Samothrace et de Lemnos en honneur des divinités chtoniennes appelées Cabires.
« Dans le monde arabe, la Kaaba protège la pierre noire à La Mecque, la ville sainte. Akhbar est le nom d’Allah et le pluriel, le superlatif de Kabir. » (source)Alfred Weysen, Le temple du secret et l’apocalypse, p.92 Incroyable ! Comme si on disait Allah Cabirissime. Puissant parmi les puissants. Je laisse à l’auteurAlfred Weysen, Le temple du secret et l’apocalypse, p.92 la responsabilité entière de cette étymologie que je ne peux m’empêcher de trouver jolie. En Inde, il y a aussi Kabir, grand ou chef.
« En Egypte, les sept cabires planétaires, symboles de la Grande Ourse, pilier axe du Ciel, sont ramenés à Ptah, père des Cabires. Les sept dieux de premier ordre donnent naissance à douze dieux célestes, six mâles et six femelles, formant un Conseil suprême. » (source)Alfred Weysen, Le temple du secret et l’apocalypse, p.92
Décidément, dès qu’il est question de l’origine des dieux terraformeurs, la Grande Ourse est partout. Les dieux d’avant étaient pour la plupart issus de la Grande Ourse, en latin Ursa Major.
Quand au conseil de douze dieux, on peut y voir l’archétype des assemblées de douze membres, à commencer par celle des apôtres de Jésus. Il est aisé d’y reconnaître aussi le modèle divin de la Table Ronde. La quête des Cabires serait-elle la vraie quête du Graal ? Gra comme grand, great, et Al ou All désignant le Tout, le multivers. Je m’aligne ici sur les puissantes déductions d’Alain Aillet, spécialiste de la langue des origines, qui semble être aussi la langue galactique. On en déduit avec lui que le GRA AL signifie le Grand Tout, the Great All.
Une première version de cet article a été publiée en mai 2019. La présente version a été corrigée et complétée.
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Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, inédit)
En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
Le symbole suggère, l'image montre. Que montre le caducée, arme d'Hermès ?
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