Le reiki, dit-on, vient du Japon. Mais il existait il y a 2500 ans, ici même en Bretagne. Je vous ai déjà conté la véritable histoire du Reki de Rekinea. Sa pratique s’est transmise jusqu’au Moyen Âge en terre celte, je l’ai retrouvée pour vous. Vous aussi vous pourrez accomplir des prouesses si vous avez des mains d’amour. Il s’agit de cet amour qui n’a pas de saison. On l’appelle l’amour inconditionnel.
Enfant, j’ôtais le feu en passant la main dessus, et j’effaçais aussi les plaies des copains. Vieillard, ma technique s’est affinée : je maîtrise l’art de guérir sans contact. Je sais activer l’énergie de vos corps subtils et restaurer les chakras faiblards ou endommagés. Ce sont mes mains qui agissent, leur puissance est multipliée par la technique antique du reki dont la douceur fait merveille.
Les mains d’amour sont une grande force et le reki d’Erquy, un grand bonheur à vivre. Pour moi comme pour mes visiteurs, dont certains viennent de loin. Plusieurs d’entre eux ont pris le pli de passer me voir chaque année. On peut les comprendre: quand on aime, on y revient. Ce don naturel ne date pas d’hier. Il vient d’une époque où l’on ne soignait personne. Tout le monde savait se guérir seul. Mieux encore, personne n’était jamais malade…
L’art de guérir remonte aux pré-diluviens. Leur civilisation est largement méconnue. Ce qui est avant l’antiquité gréco-romaine a été mis de côté. L’histoire dédaigne les mythologies, pourtant riches en informations précises et précieuses. Ce site y consacre des centaines d’articles où j’ai rassemblé de très nombreuses données originales. J’ai entrepris de rendre justice à notre véritable passé qui a été oublié. Dénaturé. Occulté.
L’âge heureux qui a précédé le déluge est celui des dieux d’avant. Le temps où les dieux géants marchaient parmi les hommes. Géants par la taille, ils l’étaient aussi par la connaissance, riches des innombrables savoir-faire d’une civilisation dont la mémoire se compte en milliards d’années. Les dieux d’avant nous ont tout enseigné, à commencer par l’art de guérir, de soulager, d’éveiller.
L’homme a reçu leur précieux enseignement. Il n’a pas eu à progresser de la bête à l’être humain comme nous l’enseigne naïvement la paléo-anthropologie. Tant que les sciences de l’homme refuseront l’évidence qui aveugle les mythologues, les humains actuels resteront persuadés qu’avant eux, aucune autre civilisation n’avait atteint un tel degré de développement dans tous les domaines. Grave erreur qui nous prive du plus antique savoir du monde, combien efficace, combien précieux!
Mais l’ego sociétal n’est pas près de lâcher prise.
Éduqué par de tels maîtres, l’homme a toujours su guérir. D’abord il s’est guéri lui-même. Puis il a douté de lui, la raison et la religion l’ont dissuadé de s’aider lui-même, pour l’âme comme pour le corps il a fait confiance à des spécialistes. Vinrent les chamanes, les druides, les moines, les gurus, les confesseurs, les rabbins, les imams et les ayatollahs. Ils soignent le corps en soignant l’âme …ou ils l’affaiblissent en bloquant l’âme.
Tant qu’on savait l’art de se guérir soi-même, aussi longtemps qu’on faisait confiance en son propre guérisseur, celui que j’appelle le guérisseur intérieur, on n’avait pas besoin d’intermédiaire pour parler aux dieux, ni de diplômés remboursés par la sécu pour nous soigner. On n’était jamais malade. On savait parfaitement que toute maladie est un dysfonctionnement, et que la cause est à chercher d’abord en soi-même.
De ces temps plus simples, subsiste encore une pratique quasi-magique, l’art de guérir. Ceux qui le pratiquent ne sont pas différents des autres, ils ont tout simplement gardé – ou retrouvé – le chemin de leur magie intérieure.
La guérison a toujours été pratiquée, parfois clandestinement, et sous une foule de noms : passes magnétiques, imposition des mains, kundalini reki, neoreki, reki d’erquy, nettoyage subtil, massage holistique, touch-assist… Quelque soit l’époque ou l’école, chaque praticien finira par rencontrer sa méthode personnelle et trouvera les mots pour en parler. Mais sans l’amour inconditionnel, la meilleure méthode ne vaut rien. Cet amour-là est comme celui d’une Maman qui guérit mieux ses enfants que tous les médicaments.
Guérir! Le grand mot est lâché. C’est un très vieux flacon qui a reçu trop d’étiquettes. La passion de nommer, de labelliser, de baptiser, de s’approprier la chose avec le mot qui la désigne est une maladie qui résiste à tous les guérisseurs. Ils en sont les premières victimes et je n’échappe pas à la règle des faiseurs de bien. L’étiquetage frénétique dont ils font preuve illustre leur imagination …et leur besoin de reconnaissance. Tous les deux sont sans limite.
J’ai guéri des personnes atteintes d’un cancer généralisé, dûment métastasé, phase terminale et le reste. Pour moi c’est plus facile à ôter qu’une épine ou qu’un rhume. Je n’y connais rien, inutile de m’expliquer ce que disent les médecins. Il faut déjà des années d’études étriquées alambiquées pour comprendre leur charabia.
Mes études et mon goût me portent ailleurs.
Mais oui, en conséquence ouvrez l’œil, et le bon. L’œil fée grand ouvert, vous ne pouvez pas confondre. Si vous connaissez le premier, savez-vous que le second vient de chez moi, en Bretagne? Plus précisément de la ville où j’habite, ravissant port des Côtes d’Armor où mes parents ont jeté l’ancre il y a un peu plus de 70 ans. J’en ai 75, autant dire que j’ai toujours connu Erquy. Qui s’appelait jadis Rékinéa. Lisez son histoire, vous ne la trouverez pas ailleurs.
Le reiki fut fondé à la fin du 19e siècle par le Japonais Mikao Usui qui aurait reçu les « clefs de la guérison » par une révélation mystique. Voulez-vous que je vous dise? Ce que Mikao Senseiprofesseur, maître appelle une révélation mystique, je l’appelle annales akashiques. Après une méditation qui a mis k.o. Mikao, son point d’assemblage s’est décalé jusqu’à la période des anciens Celtes, vers -2500. Et là, il a reçu l’enseignement des Druides. À la suite du druide Ramos, ils pratiquaient le reki d’Erquy.
Les druides étaient les hommes les plus savants du monde.
Dans le reiki nippon, on impose les mains sur la peau ou on promène ses mains à quelques centimètres du corps physique, sur la première couche des corps subtils. Ce passage a pour but de nettoyer le schéma énergétique, que les Celtes appelaient l’Arbre de Vie. Encore faut-il pouvoir y sentir les chakras… ce qui n’est pas donné à tous les praticiens du reiki japonais! Je l’ai pratiqué de la deuxième façon, sur le premier corps subtil, pendant trois bonnes décennies. Jusqu’à ce que les mémoires enfouies de ma ville m’infusent les principes druidiques, plus celtiques, plus authentiques.
À mon tour, j’ai succombé à la manie de l’étiquetage. Voulant souligner l’évolution de ma pratique, je l’ai baptisé le néoréki de Rékinéa. Le temps passant, ma pratique s’est enrichie par l’expérience. Mon reki celtique vient de monter en grade. Il s’intitule désormais le reki d’Erquy.
Avec ce reki, il me semble avoir atteint la plénitude et l’accomplissement d’une très ancienne technique qui du temps lointain où ce joli port était une colonie hellénique perdue en Armorique. L’avantage d’avoir sa méthode propre est une évidence: on peut évoluer au gré des fluctuations énergétiques, cosmo-telluriques, etc. Celui qui s’en tient à l’enseignement reçu, celui du reiki japonais par exemple, n’aura jamais une adéquation optimale avec son temps. Suite au boost incroyable que nous recevons à chaque éruption solaire, s’adapter est vital. Qui n’évolue pas, régresse.
Il m’arrive parfois de promener mes paumes sur le premier corps subtil, comme dans le reiki nippon. Mais ça devient de plus en plus rare. Je préfère travailler à une plus grande distance, souvent le besoin s’en fait sentir. Au lieu de suivre une méthode rigide, j’obéis à mes sensations. La distance n’est pas un handicap, au contraire. On sent mieux de loin que de près. On est alors à même de corriger des dysfonctionnements qui affectent les corps subtils les plus éloignés, ainsi que l’aura.
Si gratifiant de travailler sur les couches d’énergie qui entourent le corps de tous les êtres vivants! Si enthousiasmant d’avoir les mains d’amour, d’être un faiseur de bien!
Je travaille sur les 7 chakras du corps physique, auxquels j’ai ajouté 7 autres, les chakras secondaires: chevilles, genoux, coudes, poignets, pouces, paumes, oreilles. Comme vous pouvez le noter, les chakras secondaires sont tous doubles, côté droit et côté gauche.
Très récemment, ma pratique m’a amené à élargir encore mon domaine d’intervention. J’y ai inclus quatre chakras supplémentaires prolongeant le corps physique vers le zénith, au-dessus de la tête ; et vers le nadir, sous la plante des pieds.
Ces quatre chakras ne sont perceptibles qu’à des personnes sensitives très entraînées. À eux seuls, ils demandent plus de travail que pour tous les autres. S’en abstenir revient à ruiner le bénéfice de toute la séance. Maintenant que je les ai inclus, je n’imagine pas pouvoir un jour m’en passer.
Certes je pourrais en ajouter encore un vers le nadir, et un vers le zénith. Pour l’instant je m’abstiens de le faire pour ne pas empiéter sur la première couche de l’aura. Je préfère m’arrêter avant de l’atteindre. L’aura est notre âme immortelle, ou plutôt son image terrestre. Elle impose un total respect. Tant que nous sommes dans ce corps de chair, l’aura est notre protection la plus sûre.
Dans la tradition à laquelle j’appartiens, la seule action qu’un guérisseur peut avoir sur l’aura, c’est le compactage. On l’exerce en agissant sur les corps subtils, et non sur l’aura. On sent les corps subtils et les chakras avec la paume des mains, tandis que l’aura se perçoit avec le dos des mains. Mais le bio-énergéticien ne cherche pas à corriger quoi que ce soit d’autre sur l’aura. D’ailleurs est-ce possible? Certains croient que oui, je serais curieux de les voir faire et d’en mesurer l’impact sur leurs patients.
Fort heureusement, le moi supérieur du sujet rétablit les modifications du schéma énergétique qu’il estime inappropriées, trop précoces, voire dangereuses pour la personne. Bien des praticiens du reiki nippon ont été sauvés par ce verrou — dont ils ignorent tout!
Par son action sur le corps subtil et sur le schéma énergétique, le praticien remet en route des mécanismes subtils qui ne demandent qu’à fonctionner.
Les Amérindiens appellent ces mécanismes « le guérisseur intérieur » et j’ai adopté l’expression. C’est bien de ça qu’il s’agit. Le corps physique y gagne dans une proportion difficile à croire par ceux qui n’ont pas essayé. Assommé par des traitements allopathiques disproportionnés, notre guérisseur intérieur se morfond et se meurt. Il suffit de le ranimer. Avec le dos des mains, on évalue la taille de l’aura. Avec la paume, on agit sur les chakras. Cette énergie subtile pourrait s’appeler l’énergie vril : il n’y a pas de différence de nature entre l’énergie des mégalithes et celle du corps humain.
Et celle d’un éclair ou celle d’une boule de foudre, pareil. C’est tout du vril.
« La Vie n’est qu’un ensemble de liens. Puisse ce site créer des liens harmonieux entre nous et véhiculer des informations propices à l’épanouissement de la Vie en nous et autour de nous. » ~~Thierry Janssen
Thierry Janssen était chirurgien, il est maintenant psychothérapeute. Pas à pas, il a parcouru le long chemin qui mène d’une médecine mécanisée, quasi-déshumanisée, à une approche globale, holistique, de la personne et de son trouble. « La guérison est un concept qui permet de faire le lien entre le corps et l’esprit, explique-t-il. Dans les cultures asiatiques, qui n’ont jamais séparé le corps et l’esprit, l’énergie est au centre des systèmes de guérison : Prana en Inde, Qi en Chine, Ki au Japon, etc. » (source)Nexus n°66 page 30
En ce moment, je me dis bio-énergéticien, et non guérisseur. Toujours le délire des étiquettes! Il est vrai que je ne guéris pas. La bio-énergie comme le reki d’Erquy sont des techniques, elles peuvent se montrer et s’enseigner comme toutes les techniques. L’art de guérir ne s’apprend pas. Il est inné, ou transmis par un guérisseur à un sujet qu’il juge doué des qualités nécessaires — au premier plan, l’humilité. Ensuite, la méthode importe peu, tant que l’amour inconditionnel guide notre conduite.
Et ce n’est pas Janssen qui dira le contraire: « Que nous choisissions des rituel existants ou que nous en inventions de nouveaux, l’important est que ceux-ci nous permettent de créer ce que nous espérons ».
Corps-esprit, slogan qui fait recette en ce moment. C’est tellement bidon que ça m’horripile dès que je l’entends. D’autres cultures se sont gardées de cette fâcheuse dichotomie entre corps et esprit. Pour les anciens Celtes, la personne est triple, et non double. Elle a un cœur, un corps et un esprit. Le cœur qui vibre, le corps qui sait, l’esprit qui agit.
Si l’un des trois vient à manquer, la personne est incomplète et donc incapable de guérir, d’aider par ses mains d’amour, etc. Les cultures antiques du grand nord européen, celle des Vikings notamment, fonctionnent sur le même modèle que les Celtes.
Les cultures traditionnelles d’Afrique et d’Amérique ont la même approche que les cultures asiatiques, celtiques ou nordiques. En fait, avant la débilité croissante qui a coupé les humains de la nature sauvage et de l’accès qu’elle nous offre au nagual, tous nos ancêtres étaient des guérisseurs.
Tous les hommes étaient des enchanteurs, toutes les femmes étaient des fées. De nos jours comme jadis, il y a aussi des enchanteresses et des hommes fées. Étiquetage, quand tu nous tiens!
Ils ont voulu changer le monde, mais le monde ne veut pas changer. Il tourne…
Nous avons affaire à deux christianismes en Grande-Bretagne, celui des Britanniques et celui des Celtes.
Cette grosse pierre sculptée pose une foule de questions auxquelles je vais tenter de répondre.
Voie royale de l'éveil, ce stage est une initiation qui ouvre la porte de l'être…
"L’Égypte pharaonique est une civilisation africaine, élaborée en Afrique par des Africains"
Vous connaissez les sept chakras qui palpitent sur le corps d'énergie. Et les autres ?