En 1992, quand Flornoy m’a montré les passes magiques qui nettoient les chakras, je ne pensais pas y engager toute mon énergie et le faire patiemment évoluer ces trente dernières années. Le reiki du vénérable japonais Mikao Usui a pris un coup de jeune en terre celtique. Voici le reki du Nagual.
Mon benefactor et ami Jean-Claude Flornoy m’a montré sa pratique des soins énergétiques, aussitôt je l’ai imité. L’aventure a continué après son départ vers le Soi. m’a mené des passes magiques au massage, puis au reiki japonais, au Kundalini reki, Néoreki, reki d’Erquy, reki celtique, et enfin, au Reki du Nagual. Sa puissance peu commune suppose maîtrise et précision. Les élus seront triés sur le volet…
Sans Flornoy, maître du Domaine de Rochefort sur Mayenne, expert en tarologie et familier des énergies subtiles, jamais je n’aurais pu développer tant de formules pertinentes de reki occidental. Contrairement à l’ancien reiki japonais, les miens correspondent aux réalités actuelles. J’ai dû les adapter sans cesse à notre époque changeante et à son environnement climatique, géo-biologique, énergétique. Et ce travail d’adaptation va se poursuivre grâce à ma gamme de rekis pour toutes sortes de visiteurs.
Ce que je dois aux années Rochefort est difficile à oublier. Pourquoi l’oublierais-je ? Cette parenthèse irréelle, si féconde, reste un des temps forts de ma vie riche en sommets. J’ai joui d’une longue existence aventureuse, généreuse, amoureuse, découvreuse. Délicieuse.
J’ai suivi la trace brillante de mon benefactor, bénissant chaque jour celui de notre rencontre, un été 1965, dans un camp scout avec mon autre ami et allié, Devic l’irremplaçable. Ces deux-là ont pris la tangente, me laissant sous un réverbère que je prends pour une étoile, à faire le pied de grue dans l’espoir fou d’un retour impossible.
Même s’ils revenaient, les reconnaîtrai-je ? L’un pourrait être cette petite fille de deux mois qui m’a fait un si étrange sourire. L’autre serait-il ce gosse des rues qui chante Carmen pieds nus dans le caniveau. Sont-ils de retour ? Il n’y a pas d’autre moyen d’arriver sur cette planète. Nous devons tous passer par la case grossesse, 9 mois de vie aquatique et désagrément de la naissance.
Quoique plus puissant, le dernier né s’inscrit dans la ligne de mes précédents rekis : il effectue en peu de temps le nettoyage des chakras, le contrôle de l’espacement juste des corps subtils et l’effacement des blocages sur le schéma énergétique. En plus, il peut nettoyer en profondeur des engrammes remontant jusqu’à l’enfance.
Son efficacité fait ma légitime fierté. Ce qui, avec l’ancienne méthode Flornoy, pouvait demander plusieurs semaines, s’effectue en quatre jours et sans la moindre pénibilité. La méthode Flornoy, plutôt rude, pouvait confiner à la torture… La mienne est de meilleure compagnie. Je l’ai longtemps cherchée, cette formule qui réunit l’ensemble des techniques magiques auxquelles j’ai la chance d’être initié.
L’audace est porteuse de génie, de pouvoir et de magie.
Tout est énergie, tout est subtil, le grossier n’est que dans celui qui regarde.
Unifiées dans le Reki du Nagual, s’harmonisent toutes mes influences : les passes magiques des brujos mexicains, voyants du nagual et guerriers toltèques ; les pratiques secrètes des hommes-médecine lakotas, la puissance des chants de pouvoir, des sweat-lodges ; la magie des Böns, populations archaïques du Tibet ; et les incroyables passes incantatoires des chamanes Tongouzes de Sibérie.
Je travaille essentiellement avec le nagual, le côté gauche du corps subtil. Pour le poète Fernando Pessoa, « le côté gauche du savoir est la science, le raisonnement, la spéculation intellectuelle ; et son côté droit : la connaissance de l’occulte, l’intuition, la pratique magique. » (source)
Pour Castaneda, ces deux voies sont inversées, car il ne parle pas des hémisphères cérébraux comme Pessoa, mais de la « connaissance du corps« . Le côté gauche du cerveau correspond au côté droit du corps, et le côté droit du cerveau correspond au côté gauche du corps. Le benefactor de Castaneda lui expliquait que presque tout dans nos vies se passe côté droit. Or la transformation radicale d’un être, ne peut s’obtenir par le raisonnement. Il faut recourir à des énergies subtiles que, faute de mieux, on nomme magie.
Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie.
L’univers est rempli de magie et il attend patiemment que notre intelligence s’affine.
J’opte sans hésiter pour la formulation castanedienne, plus proche de la réalité vécue par les guerriers du nagual, sans cesse à l’écoute du corps, des visions, des ressentis et des intuitions qui n’ont strictement rien du mental. Le nagual correspondrait au côté gauche (du corps) et le tonal au côté droit. La magie est côté gauche, la raison côté droit. L’éveil passe par la voie de la main gauche et ne doit rien à celle de la main droite.
Dans les rites asiatiques, cette transformation se réalise au terme d’interminables exercices spirituels ou de pratiques sexuelles, alors que le nagualisme de Castaneda peut l’obtenir par un simple décalage du point d’assemblage.
C’est pourquoi je cherchais depuis des années un moyen d’insérer le nagualisme au sein de ma pratique du reki celtique. C’est à présent chose faite. Par la grâce de cette fusion, les perspectives de mise au clair et de guérison sont incroyables. Sous forme d’une étude de cas, voici la genèse de cette découverte.
B*** est venue me voir trois fois ces dernières années. Elle a suivi de près l’évolution de mon néo-reki. J’ai pratiqué sur B*** plus que sur n’importe qui d’autre. Aussi quand j’ai découvert le nec plus ultra, j’ai aussitôt pensé à elle pour une première expérience. Le résultat a dépassé nos espérances.
Presque voisine, B*** habite Morlaix. Nous sommes convenus d’un séjour de deux jours. Le lundi à 16h, la première séance de tantra reki s’est terminée. Je ne savais pas encore si ça suffirait, ou s’il faudrait refaire une séance le mardi.
D’ordinaire tout se règle dès la première séance. Mais cette fois-ci, le cas est grave et très enraciné. Ce n’était pas du tout mon reki habituel. On aurait dit un exorcisme. J’en ai pratiqué il y a quelques années, épisode éprouvant, mais quand on constate le soulagement de la libération, on oublie toute pénibilité. L’exorcisme est un combat corps à corps avec le diable.
La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas !
Une saloperie vivante a pris possession d’un corps physique, ce qui entraîne de grandes souffrances pour le légitime propriétaire dudit corps, qui est parfois condamné à rester dehors. Alors son esprit plane au dessus de son propre corps. Il ne sent rien de physique, ni bisous, ni câlins, ni coups, ni blessure. L’autre en profite à sa place.
OK, alors que veux-tu ? En guise de réponse, elle se met à parler en langues. J’en reconnais plusieurs au passage, et puis voilà de l’elfique, vrai de vrai, aux sonorités qui sont celles du film Le seigneur des anneaux. Le plus fou là-dedans, je comprends tout. Plus fort encore, je lui réponds dans cette langue. Un dialogue s’engage. Je suis ici pour un exorcisme, m’avoue-t-elle. Attends voir ? Un exorcisme ?? Je n’ai jamais fait une chose pareille. Je ne suis ni prêtre, ni moine, même si j’en ai l’air. En fait je ne suis même pas sûr d’y croire. La vraie vie est assez éloignée des films d’horreur. Encore heureux !
Mon refus provoque chez elle un terrible accès de rage. Avec ses trente-cinq kilos toute mouillée, elle me dépasse soudain d’une bonne tête. Sa carrure devient celle d’un camionneur culturiste. Elle se met à hurler. Sans prendre le temps de réfléchir, je fais une chose que je n’ai jamais faite : je lui balance une baffe de toutes mes forces.
Et là je vois une entité monstrueuse fuir de son corps et se précipiter à toute vitesse à travers la fenêtre pourtant fermée. Exit le démon. La fenêtre est intacte.
Quel flip ! Je suis secoué. Je regarde ma fée des tropiques affalée sur le sofa, hors d’haleine et tremblante. L’athlète géant s’est changé en une fillette qui pleure.
Mort de remords, j’examine sa joue brouillée de larmes. Aucune trace de bleu ni d’ecchymose. Ben v’là aut’chose ! Vu la force du coup, je m’attendais à voir du sang, une fracture maxillaire, un os qui perce les chairs ou que sais-je encore ? Rien de rien. La pauvre petite tremble de tous ses membres. Minuscule, toute fragile, elle semble avoir trois ans. La puissance démesurée dont elle a fait preuve n’est plus qu’un souvenir. Elle sanglote longtemps, assez pour vider une boîte de kleenex. Elle me demande d’une toute petite voix que je ne reconnais pas : « Il va revenir ? Il reviendra ? »
Elle veut parler du démon qui l’habitait. Je ne sais pas quoi lui dire. J’ouvre la bouche pour lui répondre, mais la voix qui sort n’est pas la mienne. « Non, il est parti pour de bon. Il ne reviendra pas. » Comme un con, j’ajoute : « Sauf si tu lui demandes. » Toute-puissance du libre-arbitre. C’est notre limite infranchissable.
Évidemment, sitôt rentrée chez elle, la petite a rappelé son démon qui s’est empressé de rappliquer dans le corps offert. Depuis lors, je n’ai aucune nouvelle.
Avec B***, autre cas de figure. La possession était subtile. Elle portait dans son corps d’énergie une sorte de relais hertzien de la négativité. Par ce relais des ordres et des punitions étaient transmises, émanant de qui-tu-sais-pas. Et B*** obéissait. Souffrait. Et ça n’en finissait pas. Elle m’a demandé de l’aider à s’en débarrasser. Dès lors, je pouvais agir.voir plus loin : Corollaire corrélé
L’origine de cette malédiction remonte à la toute petite enfance, et sans doute avant. Il s’agit d’une geis, mot irlandais qui désigne un sort intime lié à une personne ou une famille. La geis peut se transmettre de génération en génération. C’est le cas de celle de B***.
Geis, nom féminin, désigne dans la littérature médiévale irlandaise soit un interdit soit une injonction par la parole. L’infraction ou le non-respect de la geis entraîne des conséquences catastrophiques. C’est donc un processus lié au surnaturel et à la magie, mais qui est accessible à tous. Il n’y a pas de critères particuliers et il suffit d’exprimer une geis pour qu’elle soit mise en place.
Pour en finir avec une geis, il y a plusieurs méthodes. Dans le cas de B*** j’en vois deux.
– Remonter dans le temps jusqu’à l’origine de la malédiction. Et quand on a trouvé l’imprécateur, on deale avec lui. On tente de le raisonner. Qu’il soit mort ou vif ne change rien. Il suffit pour ça de maîtriser la ligne de temps, l’entre-monde et l’intention.
– Expulser l’origine hors du corps d’énergie. On s’y prend de la même façon qu’avec une entité noire. On isole le terminal relais qui transmet la geis. Il suffit d’être sensitif, voyant, plein d’énergie vibrante.
Il y a des années que j’essaye les deux sur B***. Rien ne fonctionne. Je me souviens soudain d’un tour de passe-passe que Flornoy a testé sur moi. Amassant toute l’énergie subtile de B*** je la façonne en boule. Je compte changer sa polarité. Y faire naître la lumière blanche qui tout nettoie. Mais non. Dès que je sors l’énergie grise hors du corps physique, elle s’évapore !
Catastrophe ! Je revois les affres qui m’ont saisi jadis. Flornoy n’avait pas fait de détail. Il m’a retiré toute mon énergie subtile, j’étais exsangue. J’étouffais. Quinze jours de regonflage m’ont été nécessaires. La Mayenne m’a guéri. Deux semaines à plat ventre dans la boue de la rive pour que la force de l’eau vive me rende la mienne. Du pur Castaneda que je ne conseille à personne.
Avec B*** j’avais prévu d’éviter cette bévue. Mais l’énergie subtile ne se manie pas aussi facilement que les engrammes. Toute la puissance du sortilège m’a explosé au visage. B*** se tasse sur la table de massage tandis que son énergie s’en va nourrir les lames du plancher.
B*** s’endort sur la table de massage. Je sors. Elle met une heure à émerger. Je retourne voir comment ça va. Elle regarde dans le vague. Nébuleuse. Lointaine. Gauche. Un peu ivre. Malgré ça, il y a dans son aura une tonicité, une vivacité que je ne lui avais jamais vues. Pour l’instant, B*** ne sent rien d’autre qu’une fatigue accablante. Avec une vive sensation d’étrangeté.
Elle passe la nuit ici, dans la salle de reki. Je voulais rester à portée pour veiller au grain, si jamais. Le lendemain, elle rentre à Morlaix. Pas trop vaillante avant deux heures de route. Et toujours à côté de ses pompes. Petit-déj nutritif. Reki de contrôle. Je fais ce que je peux pour qu’elle se regonfle, sans la remplir avec mon énergie. Très important après un tel nettoyage.
Les sorciers yaquis le font. Ils vident complètement leurs apprentis pour les remplir avec leur énergie perso. Ils n’ont aucun scrupule d’agir ainsi au mépris du libre-arbitre. Moi pas. J’évite. Maintenant que B*** a l’opportunité de se regonfler avec de l’énergie propre, libre de tout engramme, inutile de lui refiler les miens.
D’ailleurs elle aurait refusé tout net. En cours d’exorcisme, elle a cessé d’accepter mes dons d’énergie. Elle en a pris le minimum pour que la magie fonctionne. Juste une pincée. Le reste, je l’ai repris dans la face. Retour à l’envoyeur ! Et ça douille.
Son refus bat dans mon plexus. Puissant et douloureux. Fichue loi des reflux ! Quand l’énergie de guérison est bloquée par l’inconscient du malade, le guérisseur reçoit un choc en retour. Toute l’énergie refusée lui revient négative et sa puissance est multipliée par dix. Depuis hier, j’en bave…
Sinon je suis en super forme, ma puissance s’est amplifiée (encore!) mais le doute s’est accru dans la même proportion. Allez, une petite formule pour les addicts du rationnel. La puissance est égale au doute divisé par la confiance.
Pour éviter le refus et le reflux pénible, la première règle est de ne jamais proposer ses services à quelqu’un qui ne demande rien. Il n’y croirait pas et les chances de refus sont trop grandes. Le guérisseur doit attendre qu’on lui demande avant d’agir. Et c’est le malade lui-même qui doit faire la demande, pas un ami ou un proche. Le malade en personne. Sans qu’il ait subi aucune pression.
Pourquoi refuser ce qu’on nous donne si ça nous fait du bien ? C’est la question que je me suis posée dès que Flornoy m’en a parlé. Soulagement immédiat, guérison définitive, pourquoi le malade refuserait-il de tels cadeaux ? Flornoy n’en savait rien.
J’ai découvert la réponse des années plus tard, tandis que je soignais W***. Il souffrait d’une saloperie qui le contraignait à deux dialyses par semaine. Ses reins étaient morts, inopérables. L’ablation impossible a contraint le chirurgien à lui greffer un troisième rein sur l’abdomen. À sa demande, je lui ai envoyé une bonne dose d’énergie par ondes scalaires. Le lendemain je reçois un mail surexcité. W*** venait de pisser trois gouttes, ce qui ne lui était pas arrivé depuis vingt ans !
Fort bien. Plusieurs jours durant je reprends mes émissions scalaires. Chou blanc. Alarmé, il m’écrit : « Je viens te voir à Erquy« .
Bonne idée. Dans mon lieu de pouvoir, la Force est avec moi. Je me suis dit que cette guérison n’allait pas traîner. Une semaine et deux dialyses plus tard, toujours rien. Il est rentré fort déconfit.
Quelques temps après cet échec qui m’a mis sur le flanc, j’ai compris deux choses :
1 la loi des reflux dont je venais de subir les effets redoutables,
2 le désir de ne pas guérir qui possédait l’ami W***.
Je lui en fait part, il m’insulte et raccroche. Le temps passe. Il me rappelle, penaud.
– Xavier, tu as raison. Je ne veux pas guérir. J’ai trop à y perdre. Il y a cette jeune femme qui s’occupe de moi, fort dévouée, je l’aime. Si je guéris elle partira. Je perdrai aussi ma pension de 2000€. De quoi vivrai-je ? Grand invalide civil, je n’ai jamais travaillé de ma vie.
« Voilà pourquoi votre fille est muette » aurait conclu Sganarelle. Et voilà aussi pourquoi je fais preuve de la plus grande prudence avant d’accepter un malade ou un stagiaire.
Entre M*** et moi, la situation est plus bizarre. Elle n’a aucune raison de refuser une guérison qu’elle me réclame depuis longtemps. J’ai toute sa confiance et même un peu plus.
Cet arcane XIII a coupé un lien qui la retenait dans un autre monde depuis l’enfance. Il y a de quoi se sentir différent. D’ici quelques temps, elle comprendra que ses yeux voient ce qu’elle n’a jamais vu. Ses oreilles entendent des sons inconnus. Des paroles inédites passent dans son esprit vierge où par vagues, les souvenirs vont affluer. Mémoire d’une vie qu’elle ne se souvient pas d’avoir vécue, qui lui revient pourtant, elle qui n’en revient pas.
L’homme de l’avenir est celui qui aura la mémoire la plus longue
Soudain la confiance revient. La connexion fonctionne à nouveau. Même phénomène dans mes sorties de corps : soit j’accompagne mon esprit hors du corps, soit ma conscience reste dans mon corps tandis qu’une partie de moi vagabonde en astral. Mon double ?
Je me suis installé près d’elle dans la position du Sphinx. Je veille sur M*** comme un bon chien de garde. Ma mission : l’aider à ne pas absorber de saloperies dans le flot d’énergie qu’elle absorbe à pleins poumons. En permanence, elle aspire, elle se regonfle. Spectacle magnifique. Une renaissance !
Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant.
Entendons-nous bien. Ce reki de l’extrême n’est pas de tout repos pour moi. J’ai besoin pour récupérer d’une quinzaine de jours et autant de nuits. Pour le demandeur, les bénéfices sont là. M*** est tout à fait guérie de sa bipolarité.
Ceux qui voudraient tâter de cette renaissance doivent s’attendre à une enquête approfondie sur leurs motivations, antécédents, etc. Et après, mon accord n’est pas garanti, loin de là. Ce reki est réservé aux cas extrêmes. Pour les autres, j’ai dans mon sac à malices d’autres rekis celtiques propres à les requinquer pour longtemps.
Peut-être auras-tu la chance de rencontrer Noémie pour le deuxième reki, si je te propose le reki à quatre mains. Tout dépend du premier reki.
Le reki du Nagual se reçoit au cours d’un stage individuel de quatre jours. Une soirée de préparation avec debrief pendant le dîner ; après une nuit sur place vient la première journée de reki ; une deuxième nuit sur place et deuxième journée de reki, le plus souvent à quatre mains ; et le dernier jour, debrief final, conclusions, rangement et départ dans la journée.
L’hébergement du stagiaire se fera dans la grande pièce (avec vue sur mer) où se donnent les rekis. Il (elle) reste ainsi dans un bain énergétique parfait. Les repas sont pris en commun, chez moi, à deux pas de là dans le même jardin. Je prépare les moi-même avec amour. Le stagiaire me précisera s’il suit un régime particulier.
Merci à toi pour ton aide précieuse, t’en souviens-tu ? Non ? Toute ta mémoire va te revenir.
La peur ressemble à l'ego. Tant qu'on est vivant, on ne s'en débarrasse pas.
Il n'y a pas quatre éléments, mais cinq. Le premier s'appelle l'éther. On l'a oublié…
Oui, perdu. Mais qu'on ne s'inquiète pas, le remplaçant est prévu.
Je vous demande un ultime effort pour sauver Eden Saga. C'est maintenant !!
L’aventure Eden Saga aura duré dix huit années. Reste encore UNE chance, la toute dernière.
Le Yi King nous est parvenu incomplet. J'ai restauré un hexagramme.