« Les anciens croyaient que la terre était plate, » dit-on. Mais non! Nos ancêtres, instruits et cultivés, n’ont jamais cru une telle niaiserie. Ce mensonge est si répandu que bien des profs y croient dur comme fer. Et tout le monde fait comme eux. Mais rien n’est plus absurde. Voyez la Bible: « Celui qui trône sur le globe de la Terre »Job, 22-7 « Car à Yahweh sont les gonds de la Terre et sur eux il a posé le globe »Samuel, 2-8

 

L’erreur universelle

Sur ce point, la Bible est plus juste que le Coran, qui soutient que la terre est plate, étendue comme un tissu. Nous verrons plus loin que cette erreur n’en est sans doute pas une.

Des chrétiens prétendent que cette erreur scientifique prouverait que le Coran n’a pas été écrit par Dieu, mais des hommes. Car Dieu ne peut se tromper. Ces drôles de chrétiens feraient bien de la fermer. Aucune religion n’échappe à ce genre de critique. Ne lit-on pas dans la Bible que Jésus est né à Nazareth? Cette ville n’a été fondée que trente ans après sa mort.

La Bible comme la Torah ou le Coran contiennent une foule d’erreurs et d’approximations. Ce peuvent être des ajouts tardifs, erreurs de copistes ou fautes de traduction. Sur ces sujets si sensibles, la plus grande prudence est nécessaire. Mais les arguments pseudo-scientifiques des islamistes pour prouver contre vents et marées, contre ESA et NASA, que « si, bien sûr, la terre est plate! » font preuve de mauvaise foi ou pire, d’imbécilité.

Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus, mon crâne n’est pas plus plat que la Terre, la vraie. À ceux qui la croient aussi plate que sur l’image, je conseille de vérifier que leur crâne ne l’est pas. L’absence de cerveau pourrait bien expliquer leur sottise.

 

Science incrédule

On doit se souvenir d’une vérité première. Les anciens en savaient beaucoup plus long que nous. La connaissance a commencé à décliné avec l’apparition d’une nouvelle déesse, la science. Grosso modo, la science apparaît pendant l’Antiquité. La logique étant sa seule arme, elle l’a invalidé dès le début. Ainsi la science toute neuve a posé des principes faux sur les temps anciens, ces principes ont tué dans l’œuf toutes spéculations postérieures. Elle a tout foutu en l’air à force d’incrédulité. 

À quoi sert que les prophètes aient clamé cela, si vous l’ignorez? Et les druides savaient ça aussi. Ils le tenaient des grands Atlantes et des architectes des grandes pierres. (source)Henri Vincenot, Les étoiles de Compostelle, p.27

Ci-dessous la reproduction d’une fresque mythologique sur laquelle la terre n’a pas l’air plate…

 

 

Souverains poncifs

On en a entendu des bêtises ! L’ignorance crasse des bâtisseurs des pyramides, ceux des dolmens, ceux des temples cyclopéens, des Cités des Cimes andines, autant de poncifs toujours colportés par l’éducastration nationale. Foutue pensée unique! Heureusement, quelques sages, initiés inspirés, s’évertuent à rectifier le tir, mais qui les écoute? Qui les entend? Une fois de plus je le crie haut et fort: dans l’antiquité et longtemps avant, l’instruction existait, souvent orale. Et de tout temps, les gens instruits ont su que la terre était ronde. La Bible le dit, il faut le croire.

Nous avons été pouponnés, dorlotés, éduqués par des êtres beaucoup plus intelligents que nous. Les dieux d’avant, des aliens, nous ont tout appris. Le déclin a fait son œuvre. Tout se dégrade, la connaissance en premier. Mais il reste toujours une poignée de sages qui sèment les ferments d’une renaissance, et le vieux monde chaotique repart pour un énième tour de piste. De toute façon, la connaissance n’intéresse que le tout petit nombre des irréductibles curieux.

Quant au peuple, celui d’hier comme celui d’aujourd’hui, il n’en sait rien et s’en moque éperdument. Il y a toujours eu des gens instruits et des ignorants. Ils vivent ensemble, travaillent ensemble, ils écrivent pour des publics différents. Certains véhiculent le mensonge et banalisent l’ineptie; d’autres, plus rares, enseignent les nobles vérités. Chacun ses lecteurs, et les ânes seront bien gardés par leurs semblables.

La bataille contre l’ignorance est une cause perdue d’avance. La majorité se fout de la connaissance. Elle s’en tape, du voile d’Isis. Je sais que je travaille (comme un fou!) pour une personne sur dix mille. C’est du moins ce qu’affirmait Mevlana Rumi.

Prends cent hommes, tu y trouveras un homme de foi. Prends cent hommes de foi, tu y trouveras un homme de connaissance.

Rumi

 

Djalāl ad-Dīn Muḥammad Balkhi (persan : جلال‌الدین محمد بلخی) ou Rumi dit Mevlana, 1207-1273, poète, théologien et mystique persan a profondément influencé le soufisme. Il a fondé à Konya (Turquie) l’ordre des Mevlevi ou derviches tourneurs.

 

 

La mort dans l’âme

Une personne sur dix mille au mieux. Si elle me trouve… Et si les proportions sont les mêmes. Rumi est mort il y a sept siècles. Depuis, la décadence s’est accélérée. Si ça se trouve, ce que je raconte n’en intéresse plus qu’un sur cent mille. Et à ma mort, un par million. Un peu plus de sept mille personnes sur le globe seront capables de comprendre ma démarche et d’en faire leur miel.

Ce qui n’a pas grande importance vu ce qui nous attend. L’humanité toute entière sera peut-être réduite à sept mille personnes ? Dans ce cas, les élucubrations d’un obscur écrivaillon seront retournées au néant d’où elles n’auraient jamais dû sortir.

Et alors? Si ça peut profiter à un seul homme, et que cet homme soit une femme, et que cette femme puisse le transmettre à un seul papillon intelligent, je n’aurais pas perdu mon temps.

Ce soir j’ai la mort dans l’âme. C’est triste et ça fait mal. Mais c’est moins pire que la mort dans le corps. Et moins mauvais pour la santé. L’âme est immortelle, oui ou non? Avoir la mort dans l’âme est juste un gros flip causé par une mauvaise digestion. Les moules n’étaient pas fraîches. Ou les patates trop crues. Ça pèse et ça ballonne.

 

Croire sans y croire

Je suis venu ici en ce moment précis pour porter témoignage. J’ai eu accès en d’autres temps à toute la sagesse oubliée du monde. Pourtant peu me croient. Comment m’étonner de cette incrédulité ? Mes paroles sont rares, je bouleverse toutes les données admises, je ne respecte aucune des doctrines établies, je conspue sans scrupule l’ignorance générale. Vivement que je meure qu’on m’oublie. 

Les gens ne savent plus combien il est doux de croire. Et dangereux aussi. Le sage est croyant, forcément. Mais pas seulement. Pas absolument. Au-delà de la foi du croyant, il y a la connaissance, enseigne Mevlana Rumi.

Je ne veux pas croire, je veux savoir.

Carl Sagan

 

C’est de la connaissance que descend la sagesse. Et non de la croyance qui est pourtant indispensable. Comment dépasser ce paradoxe ? La sagesse du guerrier de lumière, le passeport du chercheur de vérité, le salut du croyant consiste à croire sans y croire.

 

 

Jérôme Bosch

Comme j’étais en train de chercher des  images pour illustrer cet article, mes recherches m’ont fait croiser la route d’un artiste que j’adore. Jheronimus van Aken, dit Jérôme Bosch, 1450-1516, est un peintre néerlandais, rattaché au mouvement des primitifs flamands. Une de ses œuvres les plus célèbres est le Jardin des Délices, le triptyque ci-dessus dans sa forme ouverte.

Comme son nom l’indique, un triptyque est constitué de trois volets panneaux ou volets. Le Jardin des Délices nous montre dans le volet de gauche Adam et Eve au paradis terrestre; dans le volet central le jardin d’Éden et ses merveilles; et dans le volet de droite, un enfer qui pourrait illustrer celui de Dante.

Ces trois volets sont articulés pour pouvoir se refermer. On ne nous montre que très rarement l’apparence du triptyque refermé. Je suis tombé dessus non par hasard, puisqu’il n’existe pas, mais par une décision des instances qui dirigent nos destinées. Et j’en suis tombé sur le cul!

 

La Création du Monde

Le triptyque s’intitule la Création du Monde. Et quand il est refermé, qu’y voit-on ? Non pas notre bonne vieille planète Terre, mais le vaisseau spatial de  nos créateurs, que le plus connu des philosophes grecs, Platon, a nommé Hyperborée. Voici l’image :

 

 

J’ai reconstitué le tryptique refermé de façon que l’image en soit plus saisissante. Pour faire plus joli, j’ai ajouté deux panneaux latéraux qui n’existent pas sur l’original. À gauche, j’ai mis le portrait de l’auteur, ce peintre génial totalement avant-gardiste. À droite, j’ai mis l’original de Bosch, le triptyque refermé tel qu’il l’a créé.

La création du monde ainsi reconstituée s’avère être une reproduction exacte du vaisseau mère dans lequel sont venus nos créateurs, terraformeurs de la planète Terra. Ces gens-là sont venus pour créer le monde tel que nous la connaissons. Si une œuvre mérite le titre de création du monde, c’est bien celle-ci.

Car enfin, si le génial Bosch était assez ignorant pour croire la terre plate, pourquoi l’aurait-il montrée dans un globe? Assurément, le peintre était un connaissant qui avait un but en peignant cette « couverture » qui, contrairement à la couverture d’un livre, resterait invisible car seul le triptyque intérieur serait exposé.

 

Quelle terre plate ?

Il n’y a pas de hasard, telle est ma conviction. Jérôme Bosch intitule son triptyque la Création du Monde et sur la « couverture » de son œuvre il nous montre la véritable création de notre monde. Le génial artiste a-t-il été chercher cette image dans les annales akashiques, qui sont une de mes sources favorites ? Ou bien s’est-il inspiré d’œuvres antérieures aujourd’hui disparues ?

Cela voudrait dire que toutes les représentations anciennes de la terre plate ne seraient autres que des images réalistes du vaisseau-mère des dieux d’avant. Sur une demie sphère, les quatre îles-continents d’Hyperborée, que les anciens Celto-Vikings ont nommées les quatre îles du nord. La demie sphère évolue librement dans une sphère transparente, de façon à se maintenir à l’horizontale à l’intérieur du vaisseau.

 

Sagesse des anciens

Cela implique aussi que les anciens n’étaient pas aussi ignorants qu’on le croit. Il n’y a jamais eu de théorie de la terre plate, mais juste des représentations du vaisseau-mère de nos créateurs. Des ignorants s’en sont emparé, ravis de dézinguer ceux d’avant qu’ils jugent à leur image et ressemblance.

Du coup la Bible dit encore plus vrai que vrai : « Celui qui trône sur le globe de la Terre »Job, 22-7 ne cherchez plus où est son trône, juste en haut du globe terrestre, il a posé un autre globe, son trône, le vaisseau mère Hyperborée. Et la seconde citation ne fait que renforcer la première :  « Car à Yahweh sont les gonds de la Terre et sur eux il a posé le globe »Samuel, 2-8

 

Hyperborée et ses îles flottantes

Le globe d’Hyperborée? Ce vaisseau mère est comme une deuxième terre toute proche de la première. Ce n’est pas une étoile ni une planète vagabonde, dans ses soutes le grand vaisseau peut emporter quatre îles volantes et flottantes qu’il dépose doucement dans les océans. Sur Terra, Hyperborée n’en a posé que trois : L’Atlantide dans l’océan Atlantique, Pount ou Lemuria dans l’océan Indien et Mu dans l’océan Pacifique.voir plus bas

Ces planètes ne se sont pas enfoncées dans les flots, elles ont décollé et rejoint leur garage dans les soutes du grand navire. Les dieux sont partis comme ils étaient venus. Ce qui n’empêche pas les abrutis d’échafauder des théories plus bancales les unes que les autres. La vérité est beaucoup plus simple, quoique que totalement incroyable…

 

Alerte maximale

Méfiage et prudentisme!!! La bêtise s’intensifie de jour en jour. Elle bave, elle poisse, elle englue les derniers neurones libres. Nourri par la bêtise et par la haine, notre espèce n’a plus rien d’humain. L’homme d’aujourd’hui ? Une espèce de cons.

 

 

Le vaisseau-mère Hyperborée

Puisque les dieux Atlantes et les Hyperboréens se ressemblent tant –des êtres très civilisés, très instruits et très puissants, possédant des objets merveilleux, vivant dans de luxueux palais– il y a fort à parier que ce sont vraiment les mêmes dieux cosmonautes.

 

L’île volante Atlantide

L’Atlantide est un sujet maudit. La plupart des historiens, protohistoriens ou archéologues se refusent obstinément à examiner la question autrement que pour en rire. Et pourtant ! Le mythologue que je suis, amoureux depuis toujours des contes et des légendes, n’a pas cette sorte de prévention. Latiniste, je sais que legenda signifie « qui mérite d’être lu. »

 

 

 

Xavier Séguin

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