La Genèse Hindoue

Les déesses dansent en rang ; élevant leur bras, leurs mains forment une tête d’oiseau-serpent :
elles sont dominées par leurs seigneurs et maîtres, les dieux serpents volants

 

Les Vedas sont les textes religieux à l’origine de l’Hindouisme. Ils m’ont servi de source et d’élan pour cet aperçu de nos origines. Les dieux et les déesses qui nous ont faits m’ont pris par le cœur et je suis entré en Rêve. J’en ai ramené ces perles de culture hindoue. Je les ai rapprochées des genèses sumérienne, maya, grecque, égyptienne, celte et autres légendes qui méritent d’être lues et relues.

 

Toutes les légendes méritent d’être lues. C’est l’exacte traduction du mot latin legenda : qui doit être lue.
Le mot légende peut être défini comme un récit imaginaire, élaboré à partir de faits historiques réels et destiné à magnifier un personnage ou un événement passé.

 

Textes sacrés de l’Hindouisme

Le corpus révélé (Shruti) :

  • Les 4 Vedas : 1 hymne, 2 formules sacrificielles, 3 mélodies rituelles, 4 formules magiques
  • Les Brâhmanas : décrivent le rituel et spécule sur son mode d’action dans l’invisible
  • Les Upanishads : équivalences ésotériques entre structure et cosmos, sacrifice et personne humaine

Le corpus des traditions (Smirti) :

  • Les Dharmashâstras : Traités de l’ordre universel; le Dharma dont la Loi de Manu.
  • Mahâbârata : les guerres divines
  • Râmâyana : l’épopée de Rama
  • Sûtra : recueils d’aphorismes philosophiques 
  • Purâna : mythologie des dieux et leurs cultes

Les Dieux sont venus sur terre avant nous. À nos ancêtres, ils ont révélé la vérité. Puis ils ont traversé l’espace jusqu’au domaine des Déesses nos Mères célestes, bénies soient-elles dans les siècles des siècles.

À force de purification intérieure, certains de nos ancêtres ont obtenu la voyance, ils ont reçu des visions, ils ont entendu la parole. D’autres, avec sincérité, dans l’amour, ont transmis la parole sacrée. Moi qui ne suis ni pur ni ancêtre, je m’évertue aux deux.

 

La création selon les Hindous

 

 

Atharvan / Hénoch

De souche divine, Atharvan a connu l’amour de la Déesse. Il approuve l’acte sacré qui s’accomplit ici. Ce fils connaît son père et sa mère, il est à la fois terrien par son père et céleste par sa mère. Il a visité le ciel, l’espace et le svar, ce qui est au-delà de l’espace.

Ce qui signifie que son astronef a parcouru la terre, le système solaire et le vide inter-sidéral.

Hénoch aussi a connu l’amour de la Déesse. À n’en pas douter, Atharvan et lui ne font qu’un. Le quatrième veda, l’Atharva veda, correspond au Livre d’Hénoch qui a été retiré de la Bible comme de la Torah.

L’hindouisme n’a pas eu peur de nos origines extra-terrestres. Les aventures spatiales de nos ancêtres y sont présentes, dans les vedas, les upanishads, le Mahabharata et le Ramayana.

J’ai conté par le menu l’histoire d’Hénoch, cet humain divin qui fut l’amant d’Ana et un des modèles dont s’est inspirée la légende de Jésus.

Ce que ni l’histoire, ni la Torah, ni la Bible ne nous disent, à cette époque le pouvoir suprême était celui de la Grande Déesse, qu’on l’appelle Héra Junon, Hathor ou même Isis. Hénoch fut son heureux amant, ce qui lui valut quelques déboires et bien des satisfactions.

Le livre d’Hénoch a été retiré de la Bible parce qu’il détonnait trop. Hors-contexte, limite sacrilège, les dieux spationautes qui emmènent Hénoch sur leur exoplanète. « Hénoch marcha avec les Elohim, puis il disparut car les Elohim l’enlevèrent » 

Ni les curés ni les rabbins ne pouvaient laisser dire des âneries pareilles. Beaucoup d’informations capitales sont ainsi effacées par bêtise, qui est avec le bon sens la chose la mieux partagée.

Dans la vie d’Hénoch, rien que du bizarre. Sur terre, il fut un grand prophète : « Il vit dans une vision de son sommeil le passé et l’avenir, ce qui adviendrait parmi les humains, génération après génération jusqu’au jour du Jugement, il vit et connut tout. (Jubilé IV-16-25)» (source)

 

 

Contes d’Éternité

 

 

Notre Père, notre Mère

Purusha notre Père selon la chair est né à l’époque védique. L’Atharva Veda le décrit comme un homme cosmique sacrifié par les dieux pour créer toute vie.  La même légende se retrouve dans la mythologie sumérienne : la déesse Ishtar Inanna demande qu’on sacrifie deux dieux venus comme elle de l’espace, afin de façonner le premier humain avec leur sang.

Prajapati est le géniteur. Je suis tenté de l’assimiler à Purusha l’homme cosmique, le dieu extra-terrestre qui a donné quelques-uns de ses gènes à l’humain. Dans les Vedas comme dans l’Hindouisme en général, dieux et déesses possèdent des noms innombrables. Dans les textes, on évite de répéter le même nom, ce qui ne simplifie pas l’interprétation. Il se peut aussi que chacun de ces noms corresponde à un avatar d’une déesse ou d’un dieu.

Prakriti notre Mère est l’autre nom de la Grande Déesse, qui en a reçu tellement. Mais son omniprésence dans toutes les genèses antiques fait d’elle un personnage incontournable, dont l’existence ne peut être mise en question. Elle a donné une âme à cet être de chair. Les Gnostiques disent la même chose. Notre corps physique fut façonné par les Archontes. La Déesse Mère l’a trouvé à son goût, elle lui a donné une âme immortelle, car elle est Mère Divine, elle appartient à l’incréé ou pré-existant.

J’ai déjà expliqué que ces descriptions sont la traduction imagée d’une création in vitro, résultat d’une manipulation génétique entre différents gènes, dont ceux du porc et du bonobo, mêlés aux gènes divins des surhommes astronautes. Je dis surhommes et no dieux, car notre vision de Dieu, être immortel, est tristement erronée. Tout ce qui vit meurt un jour, les dieux n’échappent pas à la règle générale.

 

Innombrables trinités

Ainsi la Mère, le Père et l’enfant que nous sommes forment une trinité, la plus antique, celle qui a servi de modèle à une autre, inventée beaucoup plus tard, et totalement dénaturée, puisque la Mère a été remplacée par l’Esprit Saint dont on ne sait pas trop de quoi il s’agit.

La sagesse de l’Égypte antique a développé de nombreuses triades qui sont, elles aussi, les prototypes parfaits de la trinité chrétienne bancale et contrefaite.

 

La Déesse Mère

 

La Genèse Aztèque / Maya — Toutes les traditions les plus antiques se rejoignent et se complètent. Je veux tirer de ce fonds commun la véritable histoire de notre apparition sur Terre, avec l’aide d’êtres supérieurs venus de l’espace, plus précisément d’Alcor dans la Grande Ourse. Ces êtres, les Fils du Soleil, vivaient dans un gigantesque vaisseau sphérique hyper-lumineux, que toutes les traditions désignent comme le Soleil. 

 

L’Amérique du Serpent

 

 

Aditi Grande Déesse

Aditi est la déesse mère créatrice de la nature, elle parcourt l’espace sans limites, elle déverse sur le vivant l’énergie universelle pure et libre. La tradition hébraïque patriarcale et sexiste l’a soigneusement dissimulée. La Bible n’en parle pas, la Torah et le Coran non plus. Aditi est plurielle et féminine. Elle est la déesse et ses multiples avatars.

Aditi vient du ciel, elle vient de l’espace. Elle est le père, la mère, le fils. Tous les dieux sont ses fils, toutes les races sont nées d’elle. Elle seule permet ce qui a été, ce qui est, ce qui sera. La grande déesse ne vieillit pas. Reine de l’espace, elle a de nombreux domaines. L’empire des mille étoiles et ses terres innombrables lui appartiennent.

La Terre nous protège, le ciel est sans haine, Aditi nous protège et nous guide, son navire est bien dirigé, ceux qui parmi nous sont purs monteront sur ce navire qui ne sombre pas. Il ne peut sombrer car ce ne sont pas les mers qu’il traverse, mais l’immensité de l’espace intersidéral.

La tradition égyptienne parle de Nout, la nuit, l’espace, arc-boutée sur la terre pour la protéger. On y évoque souvent la barque de Nout qui fend le ciel.

Mille étoiles réclament la présence d’Aditi qui est sans cesse en mission loin d’Alcor son étoile, loin d’Ur sa planète natale. Aditi, toi qui portes sur tes genoux le vaste espace, offre-nous une place sur ton vaisseau ceint d’une triple protection.

 

Le Matriarcat

 

Ils sont venus du Ciel pour semer la vie sur cette planète. Nous leur devons tout ce que nous attribuons naïvement à « la nature. »
Laissez faire cette nature imaginaire et vous verrez les beaux dégâts qu’elle fera et le joyeux bordel qui en découlera !

 

Les dieux sumériens

Le parallèle entre la genèse hindouiste et celle de Sumer est trop évident pour que je le passe sous silence. La tradition sumérienne reconnaît neuf dieux premiers, venus de l’océan céleste. Ce sont les tout premiers visiteurs de Terra, la troisième planète du système de Ra, le soleil. 

Il y a aussi Sept Rishis, sept dieux primordiaux. Dans le même esprit, la Bible parle des sept Elohim. Ce mot signifie dieux-déesses, car ils sont doubles et hermaphrodites. La Gnose évoque les Sept Archontes, hermaphrodites également.

La tradition mésopotamienne rejoint celle de Sumer à quelques détails près, les noms des dieux par exemple. Ainsi Enki de Sumer s’appelle Ea en Mésopotamie et Tiki en Amérique. Mais il s’agit d’un seul et même dieu généticien, créateur de la race humaine à la demande de son fils Marduk.prononcer Mardouk

 

 

Nos maîtres reptiliens

 

Marduk armé de ses deux vajras poursuit Tiamat et son armée de monstres 

 

Marduk

Marduk, appelé également Bel-Marduk, Bellus-Marduk ou Baal-Marduk est l’un des principaux dieux de la mythologie mésopotamienne et le dieu national de Babylone. Désigné sous le nom de Amar-Utu en akkadien, il était le fils aîné du dieu Ea, ou Enki. Il est l’époux de Zarpanitu et possède un fils appelé Nabu, le dieu des scribes. (source)

Bel-Marduk est Baal, Bel et Bélénos pour les Celtes. L’astroport de Baalbek était le sien. Mais plus souvent que dans l’espace, ce dieu préférait être sur terre, voire sous terre. Bélénos est en effet le dieu des profondeurs.

 

Tiamat et Kingu

Le monstre femelle Tiamat fait régner la terreur chez les humains nouvellement créés. C’est Marduk / Mardouk qui va l’affronter. Il réussit d’abord à vaincre le nouvel époux de Tiamat, le monstre Kingu, qu’elle avait elle-même engendré. Lorsque Tiamat ouvrit sa gueule pour dévorer Marduk, celui-ci dirigea contre elle une tempête qui l’empêcha de refermer ses mâchoires, puis il attrapa le monstre dans son filet et décocha une flèche qui lui ouvrit le ventre et lui déchira les entrailles.

Marduk extermina l’armée de monstres, puis il fendit le crâne de Tiamat et découpa son corps. Il utilisa l’une des deux parties pour former la voûte céleste, et l’autre pour former le fond de l’océan. Puis il perça les deux yeux de Tiamat pour créer les sources du Tigre et de l’Euphrate, et il plaça sa queue dans le ciel pour former la Voie lactée.

 

La création selon Sumer

 

 

Le char du Soleil

Les dieux sont très nombreux dans le panthéon sumérien, mais ceux qui comptent se distinguent par leurs pouvoirs et leurs exploits. De même dans l’Hindouisme, les dieux d’avant sont innombrables, mais un petit nombre d’entre eux les dominent tous. Ces super-dieux sont les enfants de Prakriti / Aditi / Ana / Ama, la Grande Déesse.

Dans les lointains chemins de l’espace, Pūṣan conduit le char du Soleil. Il va et vient entre les deux demeures qui lui sont chères, la Terre et Alcor. Le char du Soleil est aussi nommé Kharsag, le lieu où la Terre et le Ciel se rencontrent. Mon opinion est faite : il s’agit du grand vaisseau Hyperborée, aussi nommé Nibiru, la planète vagabonde. La tradition égyptienne évoque souvent la barque de Nout qui fend le ciel. (voir plus haut)

Dans le Rig Veda, Pūṣan est souvent présenté comme le guide des voyageurs et des caravanes. Il connaît tous les chemins, même les plus secrets. Il marche devant ceux qui voyagent pour leur ouvrir la route, écarter les obstacles et éviter les dangers. Pūṣan ne conduit pas un char tiré par des chevaux comme Indra, mais par des chèvres. Ce détail peut sembler étrange, mais il souligne un lien fort avec la terre, la simplicité, et la vie des éleveurs dans la vallée de la Sarasvatî et du Ghaggar. (source)

On a compris que les chèvres sont une célébration de leur venue sur Terre. Comme la déesse Hathor surnommée la Vache, Pūṣan est le père de la Chèvre, celui qui a réussi un croisement si fécond. Il fallait des généticiens surdoués pour faire apparaître tant d’animaux domestiques. Pūṣan réussit le croisement de plusieurs animaux pour créer cette source de lait nourricier, la Chèvre, plus rustique et plus résistante que la Vache, mieux adaptée aux régions montagneuses et arides.

Que Pūṣan nous éclaire de sa bonne lumière ! Qu’il nous trace la route avec son assurance, lui qui sait le chemin, lui qui peut naviguer dans l’espace.

 

Nibiru / Hyperborée / Kharsag

 

 

Sarasvati

Sarasvati est une autre forme de la Déesse. Elle est la Vache, la parole créatrice. La Vache en elle fait référence à l’apparition de cet animal salvateur, obtenu par manipulations génétiques sur d’autres bovidés — l’auroch et/ou le bison. Quant à la parole créatrice, ce sont les tous premiers mots de la Bible. Ce livre tellement déformé — trituré, annoté, humilié, dénaturé, boursouflé, travesti, maquillé, grimé, trahi — peut encore contenir quelques bribes de vérité. Minces, les bribes. Très minces, comme le delirium.

Au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu, dit la Genèse biblique. À l’origine était la parole qui crée le Tout, la parole de la Déesse.

Tous les vivants, humains, divins, faune ou flore, sont venus après. Les tout premiers sont arrivé portés par Nout dans le chariot de la nuit. Il s’est illuminé, il abrillé plus fort que l’astre du jour, et son nom est devenu Soleil le Grand, vaisseau des dieux d’avant, des Ahn, des Grands Ancêtres et d’Ann elle-même, la Déesse Mère.

Pūṣan qui pilote le vaisseau solaire, préserve-nous de la foudre, ton arme superbe, toniturante, fais qu’elle épargne nos récoltes, et ne conduit pas non plus ton Soleil trop près de nous, de peur qu’il ne brûle nos frères et tous nos biens. Tu t’es nommé Pousse Ann, celui qui pousse les ancêtres, qui pousse Anna — ou encore la pousse qui germe sur Anna.

Apollon, qui est le Pūṣan de la mythologie grecque, a confié les rènes du Soleil à son fils Phaéton / Phébus. Ce dernier n’a pas su piloter Hyperborée qui a frôlé la Terre. L’imposant vaisseau hyper-lumineux a tout brûlé, les récoltes, les demeures, les animaux et les gens. Vraie ou pas, la légende a le mérite de mettre en garde les humains. Les dieux ont des limites à leur toute-puissance…

 

La Bible des Déesses

 

Les Anciens étaient plus clairvoyants que nous le sommes.

 

La condition humaine est comme celle des troupeaux qui trottent dans la poussière, conduits à l’abattoir au son du galoubet, par d’interchangeables bergers.
Henri de Monfreid