Faite d’esprit pur, l’âme n’a rien de physique. C’est un halo qui nous entoure, l’aura, qui est l’autre nom de l’âme. Sait-on que l’âme a trois yeux? Le troisième œil est invisible comme l’âme. Mais pour voir l’âme, il suffit de regarder dans les yeux. Croiser un regard, c’est embrasser une âme. Nos yeux sont le miroir de l’aura. Ils montrent ce qu’on ne voit pas.
Chacun de nous possède plusieurs corps. Un corps physique et trois enveloppes plus ou moins larges. Au moins trois. Certaines personnes en ont davantage. Ces enveloppes sont qualifiées de corps subtils. Autour d’elle, une aura lumineuse que Castaneda appelle notre luminosité. Le tout s’assemble à la manière des poupées russes, les matriochkas. Le corps physique est la plus petite matriochka. Autour de lui, le corps d’énergie. Puis le corps astral. Puis le corps éthérique. Et bordant le tout, notre aura illumine l’ensemble. Et sa lumière se voit dans le regard.
Les noms des corps subtils, ainsi que leur ordre, sont sujets à caution. Je vous donne ma terminologie, que j’utilise depuis toujours, et qui me convient tant que le consensus ne se fait pas. De même, j’ai récemment découvert une caractéristique de l’aura qui est récente. Certains possèdent une aura double, voire triple. Il y a deux ou trois décennies, l’aura était unique. Sa forme est celle d’une grande amande, ou mandorle, ainsi qu’on nomme l’amande en langue d’Oc.
Les guerriers, selon Castaneda, parviennent à compacter cette aura jusqu’à lui donner la forme d’une savonnette. L’aura du guerrier est aplatie devant et derrière. Je n’ai jamais constaté cette particularité. Si elle existe ailleurs que dans l’imagination de Castaneda, le hasardqui n’existe pas! ne m’a pas permis d’en croiser une seule.
Je ne peux mentionner le hasard sans ajouter qu’il n’existe pas. Cette conviction s’est forgée en 75 ans d’auto-observation. J’ai toujours trouvé sur ma route ce qui était utile à mon parcours, à ma quête ou à mon développement. C’est une des choses qui m’ont amené à penser que nous sommes pilotés. Quelque chose ou quelqu’un nous guide de façon positive. Les indications que nous recevons par hasard sont de nature à nous améliorer. D’où l’article Gratitude pour mon pilote. Aujourd’hui je me dis que ce gentil pilote est ce qu’on appelle le double, notre dieu personnel qui s’incarne lors de l’éveil et devient alors le dieu intérieur.
Matériels, nos yeux voient la matière. Si le troisième œil est ouvert, l’aura devient visible. S’il ne l’est pas, on peut la deviner en regardant les yeux. Le contact de deux regards est une expérience merveilleuse. Si une personne ne peut soutenir ton regard, tu te demandes aussitôt ce qui se passe. Ce qui lui arrive. Ce qu’elle veut cacher…
Oui, la lumière de l’aura se voit dans le regard. Oui, nos yeux peuvent émettre de la lumière. En constatant ce fait connu de tous, les savants se sont émerveillés. Ils ont déclaré que notre cerveau produit de la lumière. La preuve : nos yeux brillent. J’ai pensé comme eux tout d’abord, j’en ai même fait un article. Aujourd’hui je n’en suis plus si sûr. Il se pourrait que la lumière dans le regard ne vienne pas du cerveau, mais de l’aura. Il se pourrait que le cerveau ne soit qu’un ordinateur bête et discipliné, chargé de mettre en ordre les puissantes intuitions qui naissent dans notre aura. Il se pourrait que l’âme soit la source immatérielle de nos pensées, et le cerveau sa simple traduction physique.
Allons plus loin. Notre aura, qui est l’âme, est impressionnée comme une pellicule photo par une foultitude de signaux venus d’on ne sait où. Des dieux? Des aliens? Du reste de l’univers? Notre cerveau capte ses signaux grâce à une antenne parabolique, le néo-cortex.
Le néo-cortex n’est pas présent dans tout le règne animal. Les premiers animaux n’avaient que des cortex à 3/5 couches, l’archicortex et le paléocortex, spécialisés dans la mémoire et l’odorat. Plus tard dans l’évolution, le néocortex à 6 couches est apparu. Seuls les mammifères en disposent à la surface de leur cerveau, les autres cortex étant enfouis au centre du cerveau.
La dure-mère est la couche externe de notre cerveau. Elle a précisément la forme d’une parabole comme celles de nos toits. Parabole inversée, bien sûr, sinon notre crâne aurait une drôle de forme. Une parabole sert à capter des signaux, des ondes. J’ai lieu de croire que la dure-mère fait de même.
Un tel discours est irrecevable par la science actuelle. Je vois d’ici le cercle chenu des savants m’aspergeant d’eau bénite. Vade retro Satanas! Arrière Satan! hurlent-ils d’une seule voix. Comment le pantin que je suis, qui n’appartient pas à leur vénérable cénacle, ose-t-il proférer de telles insanités? Le plus fou n’est pas celui qu’on croit. Est-ce déraisonnable de penser que nous ne sommes pas que matière? Que notre esprit incarné peut survivre à la mort du corps? Pour la science, c’est inadmissible. Et ceux qui soutiennent ces contre-vérités relèvent de l’asile d’aliénés.
Matérialisme, quand tu nous tiens! Notre âge des ténèbres est celui de la matière et de leur(s) prince(s), les Archontes. Ce sont eux qui mènent le jeu, en l’absence de la Déesse qui roupille, plongée dans sa dormance reptilienne. Mes lecteurs, d’une façon ou d’une autre, parviennent à s’extraire de la matrice matérielle, sinon ils ne me liraient pas. Je les encourage à poursuivre cette extraction, ultime rempart contre la contagion des cons. Ils sont tout autour de nous. Et ils se rapprochent!
Tout le monde a un secret. On en a tous au moins un, pas vrai? Rudement bien gardé, en plus! Ce qui est dommage. Si on cessait tous de se mentir, si tous nos secrets sortaient au grand jour, le monde s’en porterait mieux, croyez-moi. Mais on a peur du scandale. On ne veut pas faire de vagues. C’est d’autant plus con que les vagues sont déjà là. Regardez dehors : vagues de crimes, vagues de violences, vagues de trafic, vagues submersions. Révélés ou pas, nos secrets n’y sont pour rien.
Les yeux sont bien indiscrets, pourtant. La façon qu’ils ont de se brouiller, de s’embuer, de se détourner, de se baisser quand on s’approche d’un secret! Les physionomistes font les meilleurs détectives. Sherlock Holmes était physionomiste. Hercule Poirot était physionomiste. L’inspecteur Maigret était physionomiste. L’inspecteur La Bavure, beaucoup moins.
Les voyantes et les voyants translucidesgag! sont forcés de l’être. Ils traquent le langage du corps: tous ces mouvements involontaires qu’on ne réprime pas et qui nous trahissent comme des chiens. Ils matent aussi beaucoup les yeux. La couleur qui change. Une ombre qui passe et qui repassesans fer et sans s’en faire. Tout ce qui anime nos yeux raconte une histoire qu’on voudrait cacher. Mais il y a pire.
Les yeux blindés. Vides. Impénétrables. Même grands ouverts, on les croit fermés. Quand on ne peut rien lire dans un regard, il y a toutes les chances que son propriétaire ait quelque chose de terrible à cacher. Ces yeux-là ne disent rien, ou alors circulez! Y a rien à voir! Ce sont les yeux du grand banditisme, des affreux, des mafieux, des criminels en série et des acteurs en mini-séries.non je déconne Bref du beau monde! Des jolis cocos! De bien tristes sires!
Ces cocos-là ne sont pas de Paimpol. Pour qui comme moi voit les auras, ils l’ont bien noire et gluante. Ce que leurs yeux cachent, leur aura l’exhibe et ça pue, croyez-moi! Les grandes villes en sont pleines. Quand j’habitais Paris, j’en croisais souvent. Je m’empressais de détourner les yeux. Comme les maffieux sont paranos, ils me traquaient dare-dare. Combien de fois je me suis fait flinguer dans une rue sombre! Heureusement qu’ils visent mal. Mais j’ai plus d’un trou de balle. Il y a 25 ans, je suis venu à Erquy. Jusqu’ici, ça va. Je cicatrise.
Moralité: méfiez-vous toujours des yeux qui ne disent rien. L’œil malveillant, hostile, agressif est beaucoup moins dangereux qu’un œil vide et froid. On voit cet œil-là, c’est comme s’il était absent. Et c’est vrai. L’esprit est absent. Seul subsiste le corps matériel, l’œil physique, aussi mort qu’un objectif d’appareil photo. La personne qui a ce regard est totalement inféodée aux Archontes. Elle a choisi le camp de la matière. Elle s’est gourée. Je la plains. Mais je change de trottoir…
Il y a deux couleurs d’aura très répandues: le bleu et le doré. Je mets de côté les nouvelles auras indigo, cristal et arc-en-ciel dont le nombre ne cesse d’augmenter, mais qui restent encore très minoritaires.
Connaissant de longue date la susceptibilité des clairvoyants sur cette épineuse question, je m’étais jusqu’ici refusé à aborder la couleur des auras. Je vois déjà la montagne de réclamations et de protestations que ces lignes vont susciter. Chaque éveillé, chaque méditant au troisième œil grand ouvert a son opinion là-dessus, et aucune ne converge. Quiconque en parle s’expose forcément à des plaintes, parfois véhémentes, et de toute part.
Dans le petit groupe de chercheurs qui entourait mon benefactor au hameau de Rochefort, nous avions pu atteindre une quasi unanimité. Trente ans se sont écoulés depuis lors. Beaucoup d’eau a coulé sur les barrages de la Mayenne. Sans doute cette unanimité fragile n’existe-t-elle plus, auquel cas j’en serais informé dans les semaines qui viennent.
Toutefois, c’est mon site, espace de libre-expression. Je ne renoncerai pas à donner mon point de vue comme je l’ai toujours fait. Avant l’apparition des nouvelles auras, il y avait deux couleurs principales, sinon uniques, le bleu et le doré. Ce qui ne veut pas dire que les auras apparaissent bleues ou dorées. Je précise pour ceux qui ne les voient pas.
Toute aura est lumière, une lumière plus ou moins vive. Dans toutes les luminosités, le blanc-jaune domine. Le troisième œil y distinguera des reflets, des nuances. Les auras dites bleues ont des reflets à dominance de bleu; les dorées, des nuances dorées. C’est aussi simple que ça.
Outre les reflets, notre aura exprime des variations d’humeur. L’approche de la mort m’apparait dans une aura comme une bande noire opaque qui tourne autour du visage. La colère se traduit par un voile rouge qui passe devant les yeux. Le serpentin vert négatif exprime la jalousie, l’envie. Il y en a beaucoup d’autres, ces variations colorées sont passagères, mais ce sont elles que des semi-voyants prennent pour la couleur de l’aura. Du moins je le suppose.
Les reflets sont fixes, ils peuvent s’effacer et se rallumer mais toujours au même endroit dans l’aura. Tandis que les variations d’humeur sont des rubans ou des écharpes colorées qui se déplacent. Généralement elles tournent en spirale ascendante ou descendante à l’intérieur de l’aura, tout autour du corps physique: tête, tronc ou membres.
Puis sont arrivées les nouvelles auras : indigo, cristal, arc-en-ciel. D’abord l’indigo, il y a plusieurs décennies. Les enfants indigos sont maintenant des adolescents ou des jeunes adultes. Les plus âgés sont quadras. Je dois dire que leur arrivée m’a sidéré. La vibration indigo n’a rien à voir avec les auras bleues. L’indigo apparaît dans le spectre de l’arc-en-ciel, il est distinct du bleu qui y figure aussi. Il y a quelque chose de vibrant, quasi électrique, dans l’aura indigo comme dans les auras cristal et arc-en-ciel.
Les enfants indigos sont curieux de tout, mais pas forcément ouverts. Sans être franchement méfiants, ils savent faire montre de prudence et ne se jettent pas dans les bras du premier venu. Adultes, ils se révèlent sensitifs, perceptifs y compris avec les sens subtils. Doués pour les phénomènes psi, les indigos sont passants, c’est à dire qu’ils ouvrent un passage vers l’autre monde, le vrai.
La matière les concerne peu, ils sont naturellement hors matrice. Volontaires, voire opiniâtres, quand ils se fixent un objectif, les indigos vont jusqu’au bout.
Ensuite l’aura cristal. Ses reflets n’ont aucune couleur particulière, ils sont transparents comme le cristal. Les auras cristal sont naturellement clairvoyants. Sincères et généreux, ils sont très dévoués, prêts à faire l’impossible pour aider un ami, voire une simple connaissance. On ne fait appel à leur aide en vain. J’ai observé les premières auras cristal chez de très jeunes enfants il y a une vingtaine d’années. J’étais émerveillé. Ces êtres sont encore plus puissants que les indigos, je pouvais sentir leur énergie avec une quasi jouissance, comme si je me retrouvais en territoire ami, chez moi, près d’un parent chéri.
Un clairvoyant m’a appris que j’étais moi-même une aura cristal, moi qui m’étais toujours cru doré. J’aurais une aura cristal? Alors je dois être un fameux prématuré! La vague des auras cristal a démarré il y a une vingtaine d’années, je suis septuagénaire.
–Je ne vois pas ce qui t’étonnes. Tu as fait passer l’arcane XIII à de nombreux indigo et cristal. Si tu étais simplement doré, comment aurais-tu fait? L’énergie nécessaire t’aurait fait défaut pour leur donner cette initiation, m’a dit le clairvoyant. Et il a ajouté cette évidence qui m’a troublé : Pour faire travailler les nouvelles auras, il faut des maîtres. Tu es né longtemps avant tes futurs élèves. Tout ce qui arrive est voulu.
Tout ce qui arrive est voulu. Je suis assez expérimenté pour faire travailler des indigo et des cristal, il fallait qu’il en soit ainsi. J’ai même fait travailler des arc-en-ciel avec succès, et ça m’a titillé. En astral, lors d’une séance de travail avec mon cher Devic, nous avions noté ce fait troublant. Mon benefactor Jean-Claude Flornoy avait une aura couleur de l’arc en ciel. Je n’en avais jamais vue auparavant. Les premières sont apparues longtemps après. En fait ça ne m’étonne pas. Il fallait bien que quelqu’un puisse me faire travailler, ainsi que celles et ceux de mon niveau. Il a été magistral dans ce rôle.
Il n’y a pas de hasard. Un arc-en-ciel était nécessaire pour initier le gros des troupes, le Vivant l’a fait naître au bon moment. J’admire cet impeccable sens du timing. Il y a une telle perfection dans le déroulement de nos vies. Nous méritons toutes nos rencontres, elles sont programmées de longue date. Et je ne vois rien de négatif là-dedans.
On m’objectera que nous sommes pilotés par plus puissants que nous. Où est notre libre-arbitre dans ce cas? Si notre pilote agit pour notre bien, qu’importe le libre-arbitre? Si ce libre-arbitre nous fait prendre la mauvaise décision, merci à mon pilote! Il me sauve à chaque instant…
Ainsi Flornoy était arc-en-ciel. Tout à coup c’est une évidence. L’aura arc-en-ciel est celle d’êtres exceptionnels, au vécu atypique, aux connaissances rares. Explorateurs de l’avenir comme du passé, ils ont une capacité supérieure pour interpréter les signes du Vivant. Ils enregistrent tout, comprennent tout, se souviennent de tout. Les arc-en-ciel sont sans aucun doute les humains les plus puissants qui se trouvent en ce moment sur Terre.
L’inquiétant est leur survenue. Pourquoi surgissent-ils maintenant? Tout se passe comme si nous avions besoin de super défenseurs pour augmenter nos chances de victoire — ou de survie? — dans un conflit qui se prépare. Ce qui ne me fait pas rire.
Un truc bizarre qui n’a rien à voir: ma stupeur en écrivant ces lignes. Je viens de relire la définition des nouvelles auras, je m’aperçois que je tiens autant des trois. Tout se passe comme si j’étais à la fois indigo, cristal et arc-en-ciel.
Ou bien je suis arc-en-ciel comme Flornoy? Les arc-en-ciel réunissent en eux les qualités et les pouvoirs psi des nouvelles auras. De toutes les auras sans doute, anciennes ou nouvelles.
Ecoute ton corps. Il sait.
Flornoy était arc-en-ciel, je le suis aussi. Il avait 70 ans d’avance, j’en ai 60. C’est comme ça. Les auras arc-en-ciel ont toutes les couleurs, toutes les lumières, toutes les lueurs du spectre visible et invisible. Elles en possèdent toutes les qualités subtiles. Elles portent en germe tous les pouvoirs. Les guerriers de l’arc-en-ciel ne sont pas seulement les guerriers de lumière issus de tous les peuples et avec toutes les couleurs de peau. D’abord et avant tout, ils possèdent des auras arc-en-ciel.
Leur présence en grand nombre sera nécessaire, vitale, déterminante dans les soubresauts qui nous attendent.
L’extrême puissance des arc-en-ciel est un gage de victoire contre toute agression. Leur protection contre toute forme d’intrusion est infranchissable. Ils représentent un atout considérable en cas de guerre, non entre humains, mais contre des Aliens ou des Autres. J’appelle Autres des peuples terriens dont nous n’avons jusqu’ici considéré l’existence, parce que notre perception subtile n’était pas assez développée. Elle commence à l’être, et les premiers Autres contactés sont les Archontes.
Ils ne sont pas des Aliens, puisqu’ils vivent ici-bas depuis beaucoup plus longtemps que les humains et que tous les autres mammifères. Les Archontes étaient présents bien avant les dinosaures. Quand la Grande Déesse est descendue sur Terra pour la première fois, les Archontes étaient là. Ils l’attendaient.
L’aide des auras arc-en-ciel sera déterminante dans la guerre qui nous opposent à ces prédateurs psychiques. Les Aliens, ceux qui nous aident depuis si longtemps, se battront à nos côtés pour notre liberté, comme ils l’ont fait dans les précédentes époques. Avant le kali yuga, le dvapara yuga qu’on appelle ici l’âge de bronze a été un champ de bataille perpétuel et farouche. Les Héros, les Géants et les Dieux se sont affrontés au cours de mêlées épiques où nul ne pouvait reconnaître les siens. Le sang des héros et des lâches s’est mélangé dans l’holocauste.
Les dieux ont toujours soif, n’en ont jamais assez. (Georges Brassens)
L’âge suivant, le kali yuga nous a enfoncé dans les ténèbres, domaine des Archontes. Subissant la puissance insidieuse de leur suggestions mentales, téléguidée par une hypnose irrésistible, l’humanité s’est endormie. Elle a oublié sa grandeur. Son originalité. Son éternité. Elle a perdu de vue son âme. Elle s’est crue mortelle, animale, matérielle comme le voulaient les archontes, eux-mêmes mortels, animaux, matériels.
Rien ne doit jamais te faire oublier ton caractère exceptionnel. Tu vaux un milliard de fois mieux que les tâches subalternes où l’on te maintient de force. Que tu sois tout en bas ou plus haut sur l’échelle sociale, aucun des métiers du kali yuga n’est digne de l’humain. Les tâches répétitives, mécaniques, incombent aux robots qui ne sont bons qu’à ça. Nous les assigner prouve l’influence omniprésente des Archontes.
Le film Matrix nous montre parfaitement ce qui se passe et ce qu’ils nous font. Leur idéal, c’est une humanité de clones. Comme à l’origine! Plus nous serons mécanisés, informatisés, robotisés, standardisés, moins nous aurons de chance de nous rappeler qui nous sommes. C’est pourquoi les maîtres des ténèbres prêchent le sommeil et nous balancent sans fin des conneries dans la tête.
Au cours des siècles, quelques humains d’exception ont surmonté cette torpeur gluante. Ils se sont éveillés et nous ont comblé de merveilles. Mais ils furent trop rares et le sont encore. Leur venue en grand nombre a commencé.
Je me suis réveillé pour voir que tous les autres dormaient encore. Alors je me suis rendormi.
Leur détermination s’accroit déjà. L’aube d’un jour nouveau va poindre. La vaillance progresse dans nos cœurs. L’hypothèse d’une défaite est exclue. Remis à neuf, on s’éveille. On se souvient des évidences. Ni l’espoir, ni les prières ne valent l’action. Le seul dieu, c’est l’humain. Un dieu qu’on n’adore pas dans un lieu de culte, mais dans la mêlée, avec nos semblables.
Vous connaissez les sept chakras qui palpitent sur le corps d'énergie. Et les autres ?
Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, inédit)
En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
Le symbole suggère, l'image montre. Que montre le caducée, arme d'Hermès ?
Ils viennent de la littérature, de la bd, de la pop, de ce qui court,…