Ana s’éveille à l’amour. Où qu’elle aille, la lumière l’accompagne. Elle est toute douceur et la force qui va. L’amour qui embrasse et le bras qui punit. La nouvelle Déesse Mère rayonne ce don de soi total. Son amour inconditionnel ensemence tout un pan de la galaxie. Pour Alcor comme pour Ra, un âge d’or commence qui va durer six éternités. Le règne d’Ana sera béni par les nations, son souvenir embellira les traditions.

 

Axiera

Il est intéressant de noter que la belle Ana est connue sous d’autres noms. Ama, grande déesse orientale, est soit sa fille, soit une déformation d’Ana, donc la même personne divine. Mais surtout Axiera, Grande Déesse cabire, généticienne hors pair, est présenté dans la tradition ésotérique, hermétique ou gnostique, comme la toute première des Déesses ayant régné sur Terra.

Il faut donc conclure qu’Ana et Axiera ne sont qu’une seule et même personnalité historique. Car c’est bien de l’autre histoire que je parle. La vraie. Les mythologies sont plus authentiques et contiennent plus de vérité que la plupart des manuels d’histoire.

 

Or Heure

L’or d’amour, l’ordalie. L’or d’Ur, l’or dur, L’or or. Horror ? L’aurore. Quelle horreur pour de l’or, aurore, tu mets si tôt tout le monde dehors… L’âge d’or ? Qu’en savons-nous ? L’âge d’or nous a quitté il y a tellement longtemps. L’âge d’or est oublié. Travesti. Simulé. Singé. Dénaturé. Vanté. Ça craint. On n’en sait fichtre rien. On imagine dans le vide. Dans le flou. L’âge d’or et nous ça fait beaucoup. Au plus noir du kaliyuga les humains se tordent les mains. Comment vous imprimer les sensations exquises d’un monde et ses étoiles possédés par l’amour ? L’âme qui vient d’Our.

 

Âme Our

Ana aime, Ana aima, Ana aimera. Passé, présent, futur se confondent en Ana. Carrefour, plaque tournante, rendez-vous, point de contact, repère, solution, invention, inception,acte d’inséminer des pensées dans la conscience d’un tiers Ana est la clé, la serrure et la porte ouverte. Ce qu’Ana fait nul ne le défait. Ana est notre mère, notre sœur et notre fille. Ana est aussi notre femme, notre maîtresse et notre pute.

L’amour est un et indivisible. S’il y a cent mille façons d’aimer, il n’y a qu’un seul amour. C’est Our dans l’âme, et non la mort dans l’âme. Âme Or à mort, Amor l’âme Our. Moi d’Ur se dit je Our ou j’Our, comme le jour. Ana l’Ourse. Ana c’est Our. Toujours. Par tous les feux de l’amour.

Si vous aimez ce jeu, reportez-vous vite à la section Métalinguistique, dans la cinquième partie Ici et Demain. Lisez notamment La langue d’or, Les sons et les langues, La langue des oiseaux, Les noms divins des planètes, Bael Bec dit Baalbec, Le phonème d’OR, L’histoire d’Or

 

 

Ama Gao

Ana reine de ce coin du monde, grande déesse de mes fesses, géniale inséminatrice de concepts et d’élans, femme de peu et maîtresse-femme de beaucoup, fille de rien et mère du grand tout, Ana ma reine, marraine, marre haine. Ana je t’aime.

Ana fut Ama jusqu’en Chine. J’ai séjourné des mois durant à Macao. Près de la mer de Chine, s’y élève un petit temple historique. Quand les Portugais y ont débarqué il y a quelques siècles, ils ont voulu savoir le nom de la presqu’île. Un vieux chinois leur a sourit. Il a compris qu’ils lui demandaient le nom du temple. Il a répondu : Ama. Car c’est le temple de la grande déesse Ama qui a créé le ciel et la terre.

Alors les Portugais ont nommé cet endroit Ama Gao, le port d’Ama. Ensuite Ama Gao est devenu Macao. En Cantonnais, langue de Macao, une ama est une nourrice. Le mot en encore en usage de nos jours. En tout cas il l’était dans les années 70. Et chez nous, ama pourrait être le diminutif d’assistante maternelle…

 

Filles uniques

Les Portugais avaient reçu la presqu’île en récompense d’un fait d’armes. Ils avaient débarrassé la mer de Chine de ses pirates. Au brave Chinois qui m’a conté l’histoire j’ai demandé si les pirates avaient vraiment disparu de la mer de Chine. Il m’a répondu « They went ashore« . Ils ont débarqué. C’est si vrai que ça m’a fait sourire. Les pirates ont mis pied à terre sur la presqu’île de Macao, lieu de tous les trafics, y compris d’esclaves, enfants comme adultes.

Ama est fille d’Ana la vierge. Oui, l’éternelle vierge mille fois mère est restée inviolée. Son sanctuaire intime nul ne l’a profané. Ama procrée par autofécondation. Elle a enfanté des filles, seulement des filles, comme tous ces bébés féminins que les Chinois de Chine communiste ont sacrifiés parce que la loi ne leur autorisait qu’un seul enfant. Ils voulaient tous un garçon. Si une fille se pointait, couic ! Sitôt née, sitôt tuée. Comme les chatons d’une portée encombrante.

 

 

Ana Gaë

Souvent assimilée à sa mère, Ama fut la deuxième Grande Déesse de Terra. La troisième, toujours auto-générée comme sa grand-mère et sa mère, a hérité de leurs deux noms. Elle s’appelait Ana Gaë. Longtemps après son règne, un peuple de notre cycle actuel, les Grecs anciens, l’ont nommée Gaïa. Le nom lui est resté, parfois sous la forme du diminutif G ou Gé. Déesse de la Terre, elle a éclipsé ses ascendantes. Son nom se retrouve dans le mot géographie, description de , la Terre.

Ama Gao, Ana Gaë. Il se peut que le mot gao, le port, n’est pas l’origine que les Portugais prétendent. L’étymologie n’a de science que le nom. Tôt ou tard, la vérité fait exploser les élucubrations poussiéreuses des universitaires. Les sciences humaines, repliées sur elles-mêmes, cultivent une vision fausse de nos origines et de notre lointain passé. Tant qu’elles resteront filles de l’erreur, comment trouveraient-elles la moindre vérité ?

Les chercheurs honnêtes ont beau exhumer des preuves crédibles, des faits concordants, des études troublantes, des hypothèses vérifiables, ils se heurteront longtemps encore à la dictature de la pensée unique.

 

Reptilienne

Ana se reproduit toute seule. Comme toutes les filles de sa lignée, elle peut produire des ovules qu’elle a elle-même fécondés. Comment est-ce possible ? Les humaines ne font pas cela. Mais les Reptiliennes peuvent le faire.

Ana est une extra-terrestre assez exotique aux yeux de nos contemporains. Sa peau est écailleuse et ses traits anguleux évoquent à nos yeux ceux d’un animal dangereux. Car Ana est reptilienne. Les Reptiliennes ont des yeux ronds, sans paupières, fixes, toujours ouverts. Leurs traits sont anguleux, aigus, acérés. Les Humaines ont des paupières qui peuvent masquer le regard, un visage ovale, des traits réguliers, doux, arrondis. Le reste du corps est sensiblement le même, à l’exception de la peau.

Sans les Reptiliens, nos maîtres, nos créateurs, nous ne serions pas ici. Nous n’aurions jamais vu le jour. Les Reptiliens sont plus puissants que nous. Nous n’avons que notre peau douce et fragile, ils portent une armure solide à l’épreuve des flèches et même des balles ! Nous vivons au plus un siècle, ils vivent plusieurs millénaires. Nous sommes agressifs, pas eux. Ana n’est pas un animal, mais une déesse. Rien de dangereux dans son caractère d’ange heureux.

 

 

Déesse Mère de l’Inde

Je montre ici une représentation de la Déesse Mère qui nous vient de l’Inde antique. Les traits reptiliens de la Grande Déesse sont particulièrement marqués ici, ce qui n’a rien de surprenant. La culture foisonnante des Indes est une des plus authentiques. Comme la tradition celto-nordique issue d’Hyperborée, l’Inde est l’héritière directe de la civilisation archaïque du Pôle Nord, c’est à dire d’Hyperborée, base des dieux d’avant, nos créateurs.

Cette origine polaire, le savant indien Lokamanya Bâl Gangâdhar Tilak l’a magistralement démontrée dans son ouvrage majeur Origine polaire de la tradition védique, publié en 1903. Je consacrerai prochainement une étude approfondie de son œuvre visionnaire, qui lui valut d’être emprisonné pour hérésie scientifique par les autorités britanniques, comme toujours tolérantes et modérées…

 

Matriarches de l’âge d’or

Ana, reptilienne, née sans mâle, déesse mère de Terra, reine d’Ur, vierge païenne, mère de toute sainteté, régna trois cent mille ans.
Ama, reptilienne, née sans mâle, fille d’Ana, déesse mère de Terra, régna deux cent mille ans.
Gaïa, reptilienne, fille d’Ama, déesse mère de Terra, régna cent mille ans.
Ainsi s’achève l’âge d’or qui dura 600 mille ans.
Fin de l’ère d’amour.

 

Matriarches de l’âge d’argent

Hathor, humanoïde, déesse mère de Terra, fille de Gaïa, née sans mâle, régna trente mille ans.
Isis, humanoïde, déesse mère de Terra, fille d’Hathor, née sans mâle, régna vingt mille ans.
Héra, humanoïde, déesse mère de Terra, fille d’Isis, née sans mâle, régna dix mille ans.
Ainsi s’achève l’âge d’argent qui dura 60 mille ans.
Fin du matriarcat.

 

 

La Vierge Mère

 

Les Matriarches

 

Xavier Séguin

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Xavier Séguin

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