Hathor est le plus puissant avatar de la Grande Déesse. Son règne de pouvoir absolu a couvert toute la planète, d’un bout à l’autre de l’ère du Taureau. Sa délicatesse contrastait avec la bestialité de ses lieutenants. Les dieux d’avant sont ses enfants. Les dieux mâles servent les Filles d’Hathor. Haïssable ou adorable, Hathor a marqué à jamais l’inconscient des mâles: plus jamais ça.
Tels sont les noms-clés (féminins et masculins) qui définissent et résument l’ère du Taureau, ~~ 4000 AEC ~~ 2000 AEC. Cette ère devrait s’appeler l’ère de la Vache, car elle est dominée par une femme, ou plutôt par une dynastie de femmes, Hathor la grande déesse, fille d’Ana la Déesse Mère, et à sa suite les autres Reines des Amazones.
À cette époque, Reine des Amazones signifiait Impératrice du monde, car leur pouvoir était planétaire. C’était le triomphe du matriarcat, la domination féminine dans tous les domaines y compris la guerre.
Cette suprématie féminine a rarement été comprise par les historiens à qui la masculinisation systématique des déesses a largement échappé. Lequel d’entre eux pourrait dire avec moi qu’avant les Patriarches, les Matriarches ont régné sur Terra pendant des dizaines de millénaires? Les mythologies du monde en font état, mais tous les historiens savent que ce ne sont que des contes sans fondement historique. Voilà pourquoi votre fille est muette…
« Le culte le plus répandu dans le monde antique était peut-être celui du taureau, l’animal consacré à la Grande Déesse. Même si l’on remonte aux plus anciens temps et mythes, quand la déesse régnait en maîtresse absolue, on trouve le taureau sacré derrière elle. Les fouilles de Ninive, Babylone et Ur, de même que celles des villes plus petites de la vallée du Tigre et de l’Euphrate, montrent que le taureau accompagnait le culte de la grande déesse-poisson Tiamat, souvent représentée par une sirène, comme sur un sceau découvert à Ninive » (source)
Victime du machisme culturel ambiant, l’auteur fait une confusion trop répandue entre le culte du Taureau et celui de la Vache. Le Taureau n’est pas, comme il le croit, l’animal consacré à la Grande Déesse. Il est son étalon, rare parmi les hommes-bœufs du matriarcat.
Le taureau, c’est l’étalon Zeus pour la Déesse Héra. L’ère astrologique du Taureau a entraîné le culte systématique de cet animal, mais n’oublions que Hathor a des cornes de vache, et que la vache sacrée l’emporte en Inde sur le taureau. On peux faire confiance à l’Inde éternelle pour le respect des traditions déjà antiques dans l’antiquité.
Commençons s’il te plaît par le commencement
Mon voir est un tiroir que j’aime ouvrir pour toi
J’y plonge avec délice un doigt concupiscent
Je titille et j’excite et je glisse en passant
Sans pitié sans façon je glisse un autre doigt
N’ayant pour but avoué que ton renoncement
(Stef Kervor, L’empaffé)
Quand Nietzsche évoque la plus ancienne des villes, il l’appelle « la Vache Multicolore ». (source)Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra Il s’agit de Babylone qui s’appelait Babel. Amusant de noter que ces deux syllabes sont encore consacrées à la vache et à son lait : les fromageries Bel et leur célèbre Ba(by)bel. C’est le b. a. ba des cultures et de cette humanité. Un joli clin d’œil de notre mère Hathor.
Bel, Belen, Belenos, Belenus, Baal, Thor, Enlil. Maître des dieux d’avant de la surface terrestre, il avait pour frère et rival Toutatis, Enki pour les Babyloniens, qui régnait sur les profondeurs, nommées Hadès. Toutatis était Teuth Hades, le peuple d’en dessous.
Durant l’ère du Taureau, Toutatis fut l’amant de la Déesse Hathor, tandis que Belenos se contenta d’être son bras armé. Amant d’Hathor? Le Livre d’Hénoch raconte une histoire semblable. On peut se demander si Hénoch et Toutatis sont des jumeaux ou s’il s’agit d’une seule personne.
Bel / Bélénos n’était pas qu’un dieu celte, il régnait sur tout l’occident, et plus loin encore. À notre insu, sa présence est encore attestée par de nombreux toponymes. Bel serait mort noyé dans les sables mouvants du Mont Saint Michel. Voisin du Mont, le rocher de Tombelaine est une déformation de Tombe Belen. Tous les points culminants portaient jadis un oratoire ou un sanctuaire de Belen. Ce nom a été oublié pour devenir Bel-Air.
Au Moyen Orient on l’appelait Baal, décliné dans de nombreux noms, comme Baal-sébub, Baal-zébub, Baalzébuth, Béelzébub, Béelzébuth, Belzéboul, Belzébul, Belzébut, etc. Oui, le dieu Belen est devenu le grand démon Belzébuth, tant il est vrai que le diable est toujours le dieu de la religion d’avant. Éternelle façon d’éliminer la concurrence de la Vieille Religion.
La suite est éloquente. Un Yahweh, Zeus autoproclamé, entend supplanter Bel. Il a choisi son peuple. Grande est sa modestie. tandis que Baal avait raflé tous les pays dans sa besace, l’humble Yahweh pourri d’orgueil n’a pris qu’un peuple. Encore eut-il du mal à le garder, ce peuple. Entendez-le gémir dans le giron de Moïse qui n’en peut mais, tout gêné qu’il est.
Oui, mon vieux Moïse, je t’aime bien tu sais, mais n’empêche, quand je vois tout ton peuple se ruer comme un seul homme dans le temple de Baal, ça me fout les boules. Dès que tu t’absentes cinq minutes, ils fondent le métal précieux de mon effigie pour en faire un Veau d’Or. Redescends du Mont Sinaï, mon ami. Ils m’ont désobéi. Descends les engueuler comme du poisson pourri. Il est temps d’y mettre bon ordre. (Parole de Yahweh Zeus, général de corps d’armée chérubine, comprenant sept légions d’anges)
Hathor est une Hyperboréenne, elle est venue avec les dieux astronautes sur la planète artificielle Nibiru ou Hyperborée. Les Tuatha l’adorent sous le nom d’Ann ou Danann. Ils la révèrent par dessus tous les autres dieux, elle est pour eux la Grande Déesse qui protège l’humanité. Danann est devenue Dame Anne en Bretagne, puis Notre Dame dans toute la France. Quant aux Sumériens, ils l’appellent Ninhursag.
La déesse Ninhursag s’appelle aussi Ki, ce qui veut dire la Terre. Le Ki sumérien est l’équivalent de Gé ou Gaïa des Grecs. Hathor / Ninhursag est la reine des montagnes. Déesse de fertilité, elle a créé toute la végétation de cette planète. Ninhursag est l’un des membres les plus âgés du Panthéon sumérien. Elle a des titres prestigieux : « mère des dieux », « mère de tous les enfants ». Elle s’appelle également Ninmah, Nintu ou encore Mammi. Elle était la déité des gouverneurs sumériens, qui se sont dénommés « les enfants de Ninhursag ». Sous la direction d’Enki, elle participe à la création des humains dans un texte sumérien tardif. Sous l’appellation Nintu, elle est la déesse des accouchements.
« On connaissait Hathor sous sept formes qui jouaient un rôle tant auprès des défunts qu’auprès des nouveau-nés. Elles sont représentées tantôt comme sept vaches tantôt comme sept jeune femmes, coiffées du disque solaire et des cornes de vache, jouant du tambourin et du sistre.
Sous leur forme de vache, on les rencontre plutôt dans un contexte funéraire et elles sont accompagnées par le « taureau de l’Occident ». Leur rôle est de nourrir le défunt et de le protéger.
Dans la tombe de la reine Nefertari, chacune porte un nom: Maîtresse de l’Univers, Orage du Ciel, Toi de la Terre du Silence, Toi du Pays de Kemmis, Cheveux Rouges, Rouge éclatant, Ton nom fleuri par la connaissance.
On les trouve aussi sur des papyrus mythologiques, des peintures de tombes ou des reliefs de temples. Dans le Livre des Morts, au chapitre 148: « Pour alimenter un bienheureux dans le monde des morts », se termine par la vignette « les sept vaches et le taureau » (source)site disparu : Maat de Belgique
Dans l’image ci-contre on peut reconnaître l’archétype de la Vierge Noire, mère nourricière de l’humanité représenté par l’enfant sur ses genoux.
Les Grecs la connaissent et la vénèrent sous le nom d’Athéna, où se retrouve la racine Ath, Hat. C’est Ninhursag-Athéna qui assiste Enki / Prométhée pour la création de notre espèce.
C’est à elle que nous devons notre âme immortelle, tant pis pour ceux qui en doutent.
Une âme, c’est à dire la supra-conscience, lien direct avec la transcendance, que chacun de nous possède dans le secret de son cœur. À ce titre, Hathor la Matriarche est la grande bienfaitrice de l’humanité.
Pour les Sioux et les grandes tribus d’Indiens des Plaines d’Amérique du Nord, elle est la Femme Bison Blanc. Elle est Wakan, sa personne est sacrée. Pour eux, toute personne est sacrée wakan et possède un pouvoir. Wakan Tanka, le Grand Esprit, se traduit aussi par Grand Mystère ou Grande Medecine. Pour ma part, je pense que Femme Bison Blanc est LA personne la plus sacrée, et représente à ce titre la Wakan Tanka originelle, la Grande Médecine, la Grande Magie. Seul le sexisme machiste a traduit Wakan Tanka par un nom masculin.
Le Bison nous indique l’époque, l’ère du Taureau. Bison car en ce temps-là il n’y avait ni vaches ni taureaux en Amérique. Blanc, car telle était la couleur de sa peau. Elle est arrivée chez les Lakota il y a plus de dix mille ans, à la fin de l’ère glaciaire du Wisconsin. Sa peau était blanche, claire sa parole, grands ses pouvoirs et sublime sa beauté rayonnante.
Elle a fait un don merveilleux aux tribus des grandes plaines. Son arrivée a mis fin à la grande famine des temps secs. L’âge de glace avait laissé place à une terrible sécheresse qui dura plusieurs millénaires. Le gibier disparu peu à peu. Femme Sacrée étendit ses bras, elle poussa son chant mélopée. Les nuages sont arrivés comme la nuit en plein jour. La pluie s’est mise à tomber quarante jours et quarante nuits, avant que le grand soleil sèche la boue et fasse pousser l’herbe bleue.
La Femme Bison Blanc écarta les bras une seconde fois. Dans un vacarme de tempête, un immense troupeau de grandes bêtes à fourrure a envahi la plaine infinie. Le peuple des plaines n’avait jamais connu de bisons. Cornes à cornes, sabots contre sabots, pendant des jours les bisons ont déferlé, encerclant les collines où s’étaient réfugiés les braves et leurs familles. Les Sioux se réjouissaient de cette profusion de viande fraîche: eux qui se nourrissaient de lézards et d’herbe sèche depuis des années, ils n’en croyaient ni leurs yeux ni leurs oreilles.
Dans un roulement de tonnerre, les millions de sabots martelaient le sol, faisant vibrer la terre des collines. Les bisons semblaient n’avoir nul besoin de repos. Leur dos et leur tête massive faisait rouler sa houle dans cette mer d’écume qui noyait la plaine. Blanche écume comme leur fourrure blanche. Tous les bisons étaient blancs comme la neige des montagnes.
La Femme Wakan prit la parole. Ces animaux sont votre bien le plus précieux. Leur chair est délectable et fortifiante, elle vous donnera vigueur et santé. Leur fourrure est hydrofuge à l’extérieur, chaude et sèche à l’intérieur. Elle vous protégera du froid et de la pluie.
Vous suivrez les bisons blancs dans leur migration, ainsi le gibier ne vous manquera pas, ni à vos enfants, ni aux enfants de vos enfants. La force de vos bras ne faiblira plus sous les famines.
Vous vivrez en ce paradis jusqu’à la venue du premier bison brun. Quand tous les bisons seront bruns, viendront les hommes blancs. Méfiez-vous, ils seront mauvais et trompeurs. Armés de la foudre, ils massacreront les bisons, jusqu’à ce que l’inépuisable troupeau s’amenuise et disparaisse.
La suite de sa prophétie ne m’a pas été révélée. La Femme Bison Blanc s’est tue, j’ai perdu sa trace astrale. Voici ce que la pauvre mémoire des hommes rouges a gardé d’Elle. Les Sioux Lakota ont retenu ses paroles lorsque qu’elle leur donna la Pipe sacrée Chanunpa :
Je vous donne cette Terre, vous y marcherez d’un pas sacré. Vous marcherez en parfait équilibre avec Unchi, notre Grand-mère la Terre. Je vous donne cette Pipe sacrée. Avec elle vous prierez pour tout ce qui vit, pour les créatures qui marchent, qui volent, qui nagent, et qui rampent. (source)Archie Fire Lame Deer, chef Lakota
On notera que notre mère la Terre se dit Unchi en Lakota, et Ki en Sumérien, ce qui dénote une origine commune, n’en déplaise aux linguistes frileux.
Pour moi, Hathor est Ki ou Gé, la Terre. Elle a de nombreux visages, mais son culte est présent dans toutes les cultures archaïques. Les Amérindiens l’appellent Femme Bison Blanc. Les Incas l’appellent Pachamama, la matronne. Son culte reste vivace.
La Pachamama (Terre-Mère), étroitement liée à la fertilité dans la cosmogonie andine, est la déesse-terre dans certaines cultures de l’ancien empire inca. La figure de Pachamama est particulièrement forte chez les peuples Aymara et Quechua. Elle constitue une déesse majeure de la culture pré-inca Tiwanaku en Bolivie. (source)
Avant que les étoiles ne brillent dans les cieux, Tiwanaku existait déjà.
Mama, comme Mammi en Sumérien, comme Ama en Chine, comme Maman, Mamie, Mammy, Mum, Mamma, dans les langues européennes. Sans oublier l’allemand Mutter, et l’anglais Mother, tous deux composés de Mu + (Ha)Thor.
Pachamama où l’on retrouve – outre la racine universelle mama, la Mère – les racines pa et cha, présentent aussi dans Cha(nun)pa, la pipe sacrée en argile. L’argile, on l’a vu, est une matière très particulière, une sorte de plasma sanguin de la Terre, très lié à la création des humains. La pipe est sacrée car elle réunit le feu et l’argile, et parce que sa fumée nous ouvre au règne divin.
On peut en déduire que Pacha signifie Terre, Argile. Pachamama se traduit donc : Terre mère. Pachamama est la Mère des Indiens d’Amérique, c’est vrai. Mais Hathor est aussi la Mère de leurs pires ennemis les cowboys. Ces « garçons de la vache » étaient sans s’en douter les dignes fils de la Vache Sacrée.
Hathor est doublement divine : par son fonction de terre mère ou Maman du Monde et par sa fonction de maîtresse, initiatrice sexuelle, parèdre divine et portail sacré du plaisir des dieux. Elle est à l’origine de toutes les plantes de cette planète, si l’on en croit la tradition sumérienne. Elle est la source de notre côté divin, ou transcendant.
Elle est bel et bien notre mère divine, sans qui nous ne serions pas même des singes fossiles. À ce titre, elle doit être l’objet de notre adoration éternelle. Mais Hathor est aussi l’éternel objet du désir. Fatale et sexy, elle est Isis l’amante, Vénus l’irrésistible, maîtresse de Horus et de Ra, d’Enki, de Hénoch et de Toutatis.
La flamme d’or, l’aimée de Horus, O toi dont la tête est noire et qui te tiens autour du cou de Ra ! Tu désires monter au ciel, je désire monter au ciel ! (source)versets d’Hathor, cités par Jean-Louis Bernard et Siegfried Schott
Se profile Mélusine la Serpente, fille-fée d’Isis l’éveilleuse. Comme Hathor, comme Mélusine, Isis donne l’esprit parfait par sa puissance sexuelle et par l’entremise de la foudre, les deux faisant également monter la kundalini. En face de la plus puissante cathédrale de France, Notre Dame de Chartres aux deux vierges noires, une vieille brasserie célèbre le culte de la Déesse Reptilienne Mélusine sous le joli nom de Café Serpente.
Pour les Hébreux, Mélusine Isis deviendra Lilith l’initiatrice, première femme d’Adam-Ra. La serpente qui se tient autour du cou de Ra. Mais elle est aussi la Reine de Saba du cantique des cantiques. Tout comme la bien-aimée mystique de Djallal ad-din Rumi, Isis l’éveilleuse est désirable spirituellement autant que charnellement.
Voyageur temporel, galant mais moins vert qu’avant, je connais le sublime bonheur d’être aimé non de la Déesse mais de sa plus noble avatara. Sortie pour moi de son fortin, elle fut la première fille de la tribu de Noé le Celte.
Ses adorateurs la surnommèrent la Grande ou la Dorée, à cause de son aura. (source)J.L. Bernard, Aux origines de l’Egypte
Toi qui sèmes l’émeraude, la malachite et la turquoise
Pour en faire des étoiles
Si tu resplendis, je brillerai de même.
O toi l’inestimable, toi la mère de mes pères,
Toi qui nous donnes le pouvoir divin, la vigueur
Et le très grand âge inaccessible aux humains
La beauté de ton visage rayonne et scintille
O Hathor ! Tu es la bienvenue
La tête nous tourne en face de ton charmant minois
O Hathor ! O Dorée ! (source)versets d’Hathor, cités par Jean-Louis Bernard et Siegfried Schott
Erotisme et mysticisme étaient en Egypte les deux faces d’une même médaille; ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. (source)J.L. Bernard, Aux origines de l’Egypte
Le culte originel de la déesse Hathor était une extase sexuelle contrôlée, codifiée dans une pratique rituelle qui a donné son origine au tantrisme de l’Inde. Si Hathor ne peut satisfaire elle-même le désir charnel qu’elle suscite, elle enverra un substitut bien réel pour s’en acquitter, comme en témoigne cette prière éloquente : « J’adore la Dorée, je loue sa majesté, je célèbre la maîtresse du ciel, je chante les louanges de Hathor et la gloire de la dame souveraine. Comme je l’implorais, elle entendit ma prière et m’envoya une maîtresse. » (source)versets d’Hathor, cités par Jean-Louis Bernard et Siegfried Schott
On ne peut être plus clair : Hathor est celle qui éveille par la sexualité, ou plutôt par la maîtrise de l’élan sexuel. Il est clair que le christianisme n’a guère approfondi cet aspect dans le triste avatar qu’il nous sert. La vierge Marie ne baise qu’avec les archanges. Pauvres de nous et de Joseph ! Tous cocus sauf nos prêtres qui seraient plutôt pédophiles.
Notre mère Hathor, notre mère a raison.
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