Les Atlantes connaissaient parfaitement les effets de la foudre sur la psyché humaine, aussi avaient-ils conçu des centrales fulgurales pour réveiller leurs pouvoirs par l’électro-thérapie. Certes il y avait des risques, mais l’enjeu en valait la chandelle. Il faut croire que nos lointains ancêtres savaient ce qu’ils voulaient au point de braver la mort. Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.
Bien des légendes parlent des bienfaits de la foudre. Au Japon de l’ère Edo, dans un vieux temple de Setagaya, vivait un moine très pauvre qui pour tout bien n’avait qu’un chat. Le bon prêtre savait se priver de repas pour nourrir son seul ami. Tous les jours il lui posait la même question : O chat, ne peux-tu rien faire pour ce temple ? Si bien que le chat s’en émut, décidant de porter secours à son maître si bon avec lui. Ce jour-là, un grand seigneur, Goutokuji-San, surpris par une averse, se réfugia sous un arbre.
C’est alors qu’il vit, sur le seuil du temple, le chat qui lui faisait signe d’approcher. Le seigneur entra dans le temple. A l’instant même, l’arbre qu’il venait de quitter fut frappé par la foudre. Une boule de feu blanc atteignit le seigneur qui connut aussitôt l’éveil. Après cet évènement, Goutokoji-San revint souvent au temple qui devint celui de sa famille, le Temple Goutokuji. On pourrait croire que l’éveil du seigneur Goutokoji est un don du chat magique, mais selon nous, il s’agirait plutôt du pouvoir de la foudre.
Vous avez des yeux pour voir et vous ne voyez pas. Que ceux qui ont des oreilles, entendent.
Ces monuments qui émaillent nos campagnes, menhirs, alignements, dolmens, cromlechs, à quoi servaient-ils? Il faut se rendre à l’évidence. Ni les dolmens, ni les pyramides n’ont été conçus pour servir de tombeaux.
La plupart des archéologues croient encore que les dolmens étaient des sépultures. Ils pensent la même chose des pyramides d’Egypte ou de Mésoamérique. Dans les deux cas, ils se trompent. D’ailleurs aucun archéologue n’a jamais retrouvé de corps enseveli sous un dolmen, exception faite de ceux de chefs gaulois, bien postérieurs à l’érection des monuments en question. Que les dolmens et les allées couvertes aient été réutilisés maintes fois à travers les siècles, c’est une évidence. Mais rien ne dit qu’ils aient été construits pour ça.
La très longue histoire de l’Égypte est celle d’une décadence. Dans les périodes plus récentes, les Égyptiens de l’antiquité ont eu la même naïveté que nos modernes archéologues : ils ont cru que les pyramides étaient des tombeaux, et seulement des tombeaux. Comme ils n’avaient pas les moyens techniques et financiers de se faire bâtir des pyramides, ils ont inventé le mastaba. de même, on trouve des traces de simili embaumements à ces périodes, qui excluent toute perspective de survie astrale, contrairement aux embaumements les plus anciens. De tels embaumements pouvaient créer des sortes de fantômes, comme les viejos videntes cités par Carlos Castaneda.
Les égyptologues n’ont pas non plus retrouvé de momie dans la pyramide attribuée à Khéops. Voilà qui ébranle la thèse de la pyramide tombeau. D’autant que le couloir d’accès de la « chambre du Roi » est trop étroit pour laisser passer un sarcophage royal. Et d’ailleurs, même si l’on y avait trouvé un squelette, ça prouverait quoi ? A quoi serviront nos centrales nucléaires ou nos silos de missiles atomiques dans dix mille ans ? Qu’en feront nos descendants quand nous serons oubliés ? D’autre part, si les archéologues du futur retrouvent les corps des évêques et des grands personnages enterrés dans nos cathédrales, auront-ils la bêtise d’en conclure qu’elles ont été construites pour servir de tombeaux ?
Je sais que beaucoup de pyramides ont servi de tombeaux. Puis les morts d’Egypte furent enterrés dans des mastabas. Mais ça correspond à une décadence. Quand on ne sait plus à quoi servait un monument antique, on lui invente un nouvel usage. Il faut bien qu’il serve à quelque chose. Et ces constructions grandioses que sont les pyramides de Guizeh dataient de la nuit des temps. Ni Khéops, ni Képhren, ni Mikérinos n’en sont les bâtisseurs. Ils les ont retapées, tout au plus. Le revêtement de calcaire est sans doute leur œuvre, rien de plus. En tout cas, une chose est sûre : jamais Khéops ni aucun autre pharaon n’y a été enterré.
Une fois pour toutes, il faut enterrerlol la thèse des sépultures. Ces naïvetés ethnocentrées ont été trop longtemps ressassées. Les mégalithiques avaient un plus grand projet en tête, autrement fonctionnel. Leurs énormes monuments servaient la vie, non la mort. On nous dit que les anciens Egyptiens étaient obsédés par la survie de l’âme. Non. Les Anciens étaient bien plus occupés de super-vie que de survie. Leur but, comme celui de tous les êtres évolués, était de développer leur esprit, ici et maintenant, et d’acquérir les super pouvoirs d’un surhomme.
Les menhirs, les pyramides et leur pyramidion, les paratonnerres du temple de Salomon, autant de capteurs de foudre que les anciens savaient utiliser. Et Dieu sait… ou plutôt les dieux savent qu’ils ne s’en sont pas privés !
Adam et Eve ont croqué une pomme qui leur a donné la connaissance totale. Gilgamesh vint au séjour des Dieux et comprit qu’une liqueur secrète leur donnait jouvence et longévité. Les chasseurs-cueilleurs du Néolithique ouvraient les crânes pour provoquer l’éveil. Les surhommes d’Atlantide ont construit des temples où l’initié recevait le baptême par le feu du ciel. Ainsi la majorité des mégalithes sont-ils des outils ou les rouages de machines, mis au point par les Atlantes pour capter l’énergie céleste et bénéficier de ses dons.
A cette fin, ils construisirent Tiahuanaco, Stonehenge, Carnac, Machu Picchu, les pyramides de Guizeh, Teotihuacan, Avebury, la Roche aux Fées… En Celtie, ils avaient levé des grandes pierres, dressé des pyramides et bâti des allées couvertes pour y recevoir des baptêmes de la foudre, et profiter des dons célestes.
En Amérique, en Europe centrale, en Egypte, ils avaient bâti des pyramides surmontées d’un pyramidion en métal conducteur pour capter la foudre ; elle pénétrait à l’intérieur de la pyramide par les pseudo « conduits d’aération ».
Les « arcs de décharge » éclataient les éclairs pour les transformer en foudre en boule, beaucoup moins dangereuse. Juste en dessous, ils avaient ménagé une chambre forte avec un sarcophage en pierre où s’allongeait l’initié ; il y gagnait les bénéfices d’un baptême par le feu du ciel sans risquer sa vie. Jésus y aurait reçu l’initiation d’Isis, c’est du moins ce qu’affirme Edgar Cayce. J’imagine Jésus étendu dans ce même sarcophage, tandis que les éclairs ébranlaient l’énorme masse de pierres au-dessus de lui. Là, ce n ‘est plus la thèse de Cayce, mais la mienne.
Pour capter l’énergie de la foudre, les Atlantes ont mis au point des centrales fulgurales. Mais, me direz-vous, si de telles centrales ont existé, pourquoi n’en trouvons-nous plus de trace ? Oh si, les traces existent. Il suffit de savoir où les chercher. Voyez la liste des sites à foudre que j’ai donné plus haut, qui est très loin de l’exhaustivité. Seulement il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Les dieux d’avant ont construit des machines pour se changer en dieux. Des usines à foudre. Des centrales électriques et des lignes de courant. Des chambres où l’initié se prenait le feu de Dieu. Voilà quel était leur profond dessein : mission surhomme. Est-ce la source du mythe de superman et des super-héros étasuniens ? Chaque époque réécrit sa propre version des mythologies éternelles. Chaque culture développe ses propres rêves, les Étasuniens ont humé les leurs dans les vieilles pierres, les danses indiennes et autres vestiges de l’Atlantide.
Voilà le secret des dieux anciens : ils étaient des hommes à l’origine, et ils avaient trouvé le moyen de devenir des dieux. Ferons-nous comme eux avant de nous détruire tous ? Les pyramides de Guizeh et de Teotihuacan ou le site d’Avebury sont à la fois des temples et des machines. Ruines d’usines, vestiges de lignes de transmission, débris de palais fabuleux, montagnes de pierres énormes, démesure sur le toit du monde, tunnels jusqu’au cœur de la terre, prouesses à peine imaginables.
La chambre du Roi dans la grande pyramide de Guizeh s’appelait jadis chambre d’Isis, car c’est là, dans le sarcophage sacré, que l’impétrant au terme d’une initiation minutieuse recevait l’éveil grâce à la foudre, le don d’Isis… Sur la face haute de ce sarcophage est gravé le symbole d’Isis l’éveilleuse, la foudre. Ce qui montre bien que la destination première de ce sarcophage n’était pas de protéger une momie, mais d’exposer un vivant à la foudre d’éveil.
Que fait la foudre sur le cerveau humain quand elle ne lui grille pas les neurones ? Quelle modification des longueurs d’ondes cérébrales permet d’acquérir ces mystérieux pouvoirs ? Existe-t-il d’autres moyens que la foudre pour obtenir ce résultat ? Quand pourrons-nous explorer cette voie passionnante ? N’avons-nous pas tous envie de voler, de nous téléporter, de soulever sans effort les montagnes, de créer le monde matériel par la seule action de notre esprit ?
Qui refuserait de vivre beaucoup plus longtemps et de garder une éternelle jeunesse ? Qui refuserait la science infuse, la connaissance, totale, immédiate, absolue ? Qui refuserait l’accès libre et permanent aux multiples univers qui sont parallèles au nôtre ? Gageons que la foudre permet tout cela. C’est dans le souvenir collectif de ce lointain âge d’or que s’origine le mythe de superman et de ses potes. Des artistes, des sensitifs les ont créés à notre image. S’ils nous ressemblent, nous pouvons être comme eux. Par Isis.
Qu’attendons-nous pour redevenir des dieux ?
La fin du monde et la disparition de notre espèce ?
Une première version de cet article a été postée en octobre 2014.
Si vous vous demandez comment des monuments en pierre pouvaient attirer la foudre, si vous voulez saisir comment l’énergie fulgurale pouvait être acheminée sans câbles, en sautant d’un menhir à l’autre, si vous vous posez n’importe quelle question à ce sujet, je vous comprends. J’ai moi-même dû y répondre avec des recherches poussées et de nombreux articles où, j’espère, vous trouverez des réponses satisfaisantes.
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West Kennet Long Barrow distille un charme puissant, palpable. A chacun de mes voyages à Avebury, je ne manque pas de m’y rendre.
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Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
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En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
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Leur mouvement permet la vie, leur ouverture permet la clarté, leur vigueur permet l'éveil.