Le foudre de Zeus

 

A l’origine, Zeus, le puissant dieu des dieux Olympiens, n’était pas le maître de la foudre, mais du foudre. Et le genre masculin fait toute la différence. Le foudre, d’après la tradition hellénistique, est un faisceau de dards de feu en zigzags terminés par une flèche. (source)

 

 Selon moi c’est bien davantage : une arme de poing, capable de lancer un serpent de feu, c’est à dire un rayon mortel. Zeus avait reçu cette arme de la main des fabuleux cyclopes, les Hommes de la Race d’Or, d’improbables créatures dont la taille dépassait les cinquante mètres.

La Foudre des Cyclopes

Les Cyclopes étaient les maîtres de la foudre. Ils maîtrisaient aussi l’art de la forge et l’ingénierie électronique : ils savaient fabriquer des armes terribles… C’est ainsi qu’ils ont offert à Zeus l’arme qui l’a rendu tout-puissant, le foudre qui tue ou divinise. Thor, le dieu scandinave, possède une arme magique, un marteau qui lance des éclairs, capable de détruire les armées et les fortifications, mais capable aussi de reconstruire les ruines. Il s’agit sans doute de quelque arme technologique, dont le souvenir déformé nous a été transmis par le mythe.

Thor, pour certains auteurs, serait un avatar nordique de Zeus : rien d’étonnant s’il maîtrise la foudre. Je le tiens pour un avatar masculin de la puissante Hathor, dans le nom de laquelle on aura puisé le sien. Thor selon moi n’a jamais existé. Il est  l’ego macho face à la réalité inacceptable d’une déesse toute puissante, qui maîtrisait la foudre et le tonnerre, et qui était la maîtresse incontestée de la planète. A cette époque, les petits mecs n’avaient qu’à bien se tenir, les Matriarches leur damaient le pion, c’est le cas de dire.

 

 

Le Vajra de l’Inde 

En comparant les mythes, on découvre vite que le foudre est une arme universelle, la kalashnikov des dieux, si on veut. « Le foudre, ou vajra est l’arme du dieu Indra ; il s’agissait à l’origine de la foudre.

Une légende relate la naissance du vajra, arme des armes : les dieux avaient confié tout leur arsenal au premier ascète, Dadhichi. Il le garda fidèlement pendant une longue période, puis désira retourner à sa pratique. Usant de ses pouvoirs de yogi, il a dissout les armes dans de l’eau qu’il but. C’est peu après que l’Asura Vritra vint défier Indra. Celui-ci vint alors reprendre ses armes, pour découvrir qu’elles avaient été absorbées par l’ascète.

Immoler Dadhichi était la seule solution pour les récupérer. Encouragé par Dadhichi, Indra l’exécuta à regret et fabriqua le vajra avec sa colonne vertébrale.  

Les circonstances extraordinaires de sa fabrication permirent au dieu d’obtenir la victoire, car il se trouvait que Vritra avait obtenu de Shiva la promesse qu’il ne pourrait être tué que par une arme exceptionnelle, faite d’une matière différente de celle des armes habituelles. Outre le fait que sa puissance est sans égale, le vajra ne peut être mal utilisé et revient toujours à son propriétaire.

Le vajra d’Indra peut se présenter sous différentes formes, un cercle percé d’un trou ou une sorte de croix par exemple. Dans le Rig-Veda, il s’agit d’une massue hérissée de multiples pointes. Selon une légende bouddhique, c’est Çakyamuni qui a transformé l’arme en outil pacifique en rapprochant l’extrémité des pointes. »(source)Wikipedia Le vajra ou le foudre évoque un pistolet laser, un lance-rayon. Ce rai mortel pouvait ressembler à la foudre, y compris le bruit de tonnerre que faisait le coup.

 

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Mais avec Bouddha, l’arme devint douce et curative… La légende dit en effet que Bouddha rapprocha les pointes du vajra, transformant ainsi l’arme létale en instrument de guérison. Depuis, le vajra « bouddhique » aux pointes réunies est devenu un des principaux objets cultuels du lamaïsme tibétain.

On a donc deux utilisations reconnues pour le vajra, d’abord il est perçu comme une arme, puis, par la grâce du Bouddha, il devient un objet sacré, paré d’une fonction rituelle, sans qu’on sache clairement à quoi il sert.

Quelle grande vérité a été cristallisée dans ce mythe ? Sans doute celle-ci : le vajra, ou l’ankh, ou le foudre était une  « arme » de poing, du type laser ou lance-rayons. Parfois, les rayons étaient mortels, parfois bénéfiques. C’est pourquoi, plutôt que d’une arme, il vaut mieux parler d’un outil ; car l’ankh pouvait aussi bien réparer que détruire.

Il utilisait probablement l’électricité atmosphérique, que les anciens appelaient l’éther, qu’on nomme aussi géo-énergie, ou énergie vril.

 

L’Ankh des Atlantes

Il y a des raisons de croire que l’Ankh n’a pas été inventé par les Egyptiens. C’est un héritage Atlante. Ce symbole est présent dans différentes civilisations antiques liées à l’Atlantide. Calixtlahuaca, aujourd’hui Toluca possède l’un des objets les plus mystérieux découverts au Mexique.

Le Monument 4, dit l’autel en croix ou Tzompantli, montre une similitude incroyable avec la croix Ankh. 

Ce n’est surprenant que pour les spécialistes. Les autres savent déjà. Nos égyptologues, sans imagination et bien ignorants des coutumes pré-antiques, ont classé l’Ankh dans la catégorie des symboles. Le symbolisme est une invention récente qui a commencé à être utilisé quand on a cessé de comprendre les choses du passé.

Les anciens dieux qui ont enseigné nos ancêtres étaient plutôt réalistes et pragmatique. Ils avaient affaire à des sauvages bestiaux, nos ancêtres. Pourquoi tous les anciens dieux ne quittaient pas leur Ankh ? Ils sont toujours représenté avec un ankh en main.

 

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Qui ferait ça avec un symbole? Un symbole se porte sur ses vêtements, comme un insigne ou un grade. Ou alors sur un bijou, autour du cou. Mais l’avoir sans cesse en main est une vraie gêne quand on doit surveiller voire mater des primitifs belliqueux.

Au contraire, quel genre de chose un gardien de bétail a toujours avec lui?

Nos égyptologues sont doués d’une piètre imagination car ils ont été maintenus dans l’ignorance des moeurs pré-antiques par un enseignement débile, castrateur à force d’aveuglement. Ils ont donc classé la croix ansée ou Ankh dans la catégorie des symboles. La symbolique est une invention récente dont on a commencé à se servir quand on ne comprenait plus rien au passé.

De même, les anthropologues ont classé certains textes antiques dans un tiroir marqué « mythes » vaste fourre-tout dans lequel ils rangent les textes ou les artefacts qui ne cadrent pas avec leur vision étriqué du passé humain.

Si l’Ankh n’était qu’un symbole, pourquoi tous ces dieux l’auraient-ils sans cesse en main ? Un symbole se porte autour du cou, en boucle de ceinture, ou brodé sur la robe. Ce qu’on tient toujours en main, c’est une arme de poing.

La mort ou l’éveil

En règle générale, les hiéroglyphes figuratives et les fresques antiques ne sont pas des représentations symboliques, mais des images réelles d’une technologie supérieure. Le vajra d’Indra ou le foudre de Zeus lançaient bel et bien des éclairs tantôt bienfaisants, tantôt mortels.

Sur les temples d’Egypte, le dieu Horus-Ra, homme à tête de faucon, est montré avec un disque d’or rouge qui lévite sur son crâne. Et si l’on étudie l’image, on comprend que ce disque n’a rien d’un symbole, son action est concrète et visible. De ce disque sortent parfois des flèches qui se dirigent droit sur tel personnage. 

 

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Manifestement, Ra commandait à une boule de feu de lancer ses rayons sur ceux qu’il voulait récompenser ou punir.

Ce dieu possédait donc une arme lance-rayons. Etait-ce une technologie liée à la foudre ? Ou bien utilisant la puissance du cristal de quartz, comme dans le laser moderne ?  Un mix des deux ? Autre chose encore, hors de notre portée ?

Quoi qu’il en soit, on comprend à l’usage de cette arme technologique que Ra ou Ram ou Rama n’était pas un dieu, mais un des princes de la civilisation précédente…

  

Un homme fait son devoir – en dépit des conséquences personnelles, en dépit des obstacles, des dangers et des pressions – et c’est la base de toute morale humaine.
Winston Churchill