Foudre d’éveil

 

Jura. Lundi 23 mai 2022, à 14 h 50, un chasseur d’orages a capturé la foudre. La photo hallucinante de la foudre qui s’abat sur La Tour-du-Meix. Une image rare, effrayante aussi. La Voix du Jura nous rassure: beaucoup de dégâts matériels, mais sans faire de blessés. (lire la suite)

 

La Tour foudroyée

Je ne pouvais rêver meilleure intro pour cet article, qui va nous parler précisément de ça: comment la foudre peut éveiller celui qui la reçoit dans de bonnes conditions. S’il y avait eu quelqu’un dans cette Tour foudroyée, il ne serait plus là pour nous raconter son éveil. Par chance, la Tour était vide.

Ne cherchez pas de tour, il n’y en a pas. La foudre est tombée sur un arbre, peut-être sur un chêne à demi caché par l’éclair. Mais de tour, aucune. C’est le nom du village. N’empêche, quand je suis tombé sur cette nouvelle, mon sang n’a fait qu’un tour.du Meix?

Pour moi, la foudre qui tombe sur une tour, c’est archi-connu. Une vraie rengaine. Le Tarot initiatique, communément nommé tarot de Marseille, a choisi ce symbole pour montrer l’éveil.

 

Mort du petit roi

Il s’agit de l’arcane XVI La Maison Dieu. Voyez-là ci-contre, un peu modifiée par mon infographiste qui ne respecte rien. Jean Dodal doit se retourner dans sa tombe, le pauvre!Imagier et maître cartier, Dodal est l’auteur de ce tarot-ci, magnifiquement restauré par J-Cl. Flornoy, maître cartier à Sainte-Suzanne en Mayenne.

Lui aussi doit se retourner dans la tombe que son fils François a taillée pour lui au cimetière de Sainte-Suzanne. Où qu’il soit, je sais qu’il me lit.

L’image originale de Dodal n’a pas ce fond bleu-roy, ni ces éclairs trop réalistes. Il y a bien un éclair, ou plutôt des flammèches gris bleu, sortes de flammes qui tombent du soleil sur la tour et qui en brise la terrasse crénelée. Il faut pardonner à Iks, mon nouvel infographiste. L’ajout de ces éclairs est justifié. On sait depuis toujours que la foudre peut donner l’éveil : le Yi-King confirme.

Une terrasse couronnée. La couronne du petit roi, nom qu’on donnait alors à l’ego. Il est roi tant que la reine ne lui prend pas sa place. La reine de l’éveil, la foudre, le coup de foudre, l’éclair de conscience, l’envol vers la lumière blanche, le don d’Isis… et la redescente.

L’ego est la seule partie de l’être humain qui ne connaîtra jamais l’éveil.

Adage lamaïste

 

Ton double est en toi

Deux bonshommes se retrouvent à terre après la montée d’énergie : ton double et toi. Devant la tour, toi qui viens de t’éveiller. Derrière la tour qui le cache à moitié, vois ton frère jumeau, ton double astral.

Maintenant l’éveil est consommé, le double ou l’âme ou l’aura est en toi. Une voix intérieure, une sorte d’instinct physique, va lui servir de guide au quotidien, dans toutes les décisions, à travers toutes les épreuves de sa vie.

L’image ci-contre est trop moderne, elle aussi. Les deux personnages vont se faire très mal en se ramassant — surtout le double qui choit dans le précipice. Descente aux enfers pour lui!  C’est bizarre, inapproprié, très déconcertant et ça ne me parle pas vraiment. Ne dessine pas des arcanes qui veut. Il faut comprendre d’abord de quoi on parle, donc avoir vécu en conscience les arcanes majeurs et ce qu’ils disent.

L’image originale est juste parfaite. Un ajout l’appauvrit, un manque la dépouille aussi. Les maîtres cartiers de l’époque classique se sont bien gardés d’écorner le moindre secret. Les détails signifiants sont présents. Seules varient les couleurs et l’orthographe des arcanes.

À cette époque l’orthographe du Français n’était pas fixée. Tout de même, Jean Dodal y va très fort avec sa Papesse qui devient la Pancès, l’Étoile Le-Toille, et le Chariot Le-Charior.

Je ne crois pas au hasard. Dodal a une idée derrière la tête et il nous la laisse deviner. Le premier sens du tarot divinatoire est la nécessité pour chacun de deviner ce qui est cacher. Rien n’est anodin, rien n’est inutile.

 

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Éternel vril

Mais cette intro traîne en longueur. Au fait! S’agissant d’énergie d’éveil, le tarot est utile, mais bien moins que le vril.

Une des grandes merveilles de la science atlante est sans conteste l’énergie vril. J’ai déjà montré en détail comment était utilisée cette électricité atmosphérique dans la haute antiquité. Vous trouverez en fin d’article la liste des sujets qui traitent de cette question.

Le plus curieux dans cette énergie vril, sa fonction triviale. Quasiment celle de l’électricité ordinaire, elle est restée en usage à travers les siècles jusqu’à une époque récente. Il semble qu’aucun chercheur ne s’en soit ému jusqu’ici. Tout se passe comme si la fée électricité n’avait jamais été oubliée très longtemps…

Mais à côté de cet usage trivial, j’ai acquis la certitude que l’énergie Vril avait une fonction sacrée, celle de transformer l’homme en dieu en restaurant les pouvoirs perdus qui résultent de l’utilisation synchrone des deux hémisphères cérébraux. Le vril soigneusement dosé augmentait la tension électrique du système nerveux central et déclenchait une montée de kundalini

 

L’éveil en boîte

La technique en était probablement fort complexe, ce qui explique qu’après avoir été parfaitement maîtrisée par les Atlantes, la connaissance exacte, transmise aux seuls initiés, s’en soit graduellement perdue.

Ainsi la Bible nous apprend que les Lévites étaient seuls habilités à manier l’Arche d’Alliance. La raison en était fort simple: l’Arche divine pouvait éveiller aussi bien que tuer. Telle est la puissance de l’énergie vril. Nietsche a raison d’affirmer ceci: Ce qui ne te tue pas te rend plus fort. Le contraire, hélas, est tout aussi vrai: Ce qui ne te rend pas plus fort, te tue.

 

 

Quelque soit l’époque, la latitude et les circonstances, il semble que nos ancêtres aient toujours recherché l’éveil, l’illumination et la plénitude intérieure. Il semble que nos maîtres, les terraformeurs venus d’Alcor, aient été nos initiateurs en ce domaine comme dans bien d’autres.

 

Lampes perpétuelles

Toujours est-il que des lampes perpétuelles brillent encore sans source d’énergie connue depuis la plus haute antiquité. Plusieurs auteurs juifs, grecs, romains, arabes, de l’antiquité ou de la période médiévale rapportent les découvertes de ces lampes qui ne s’éteignent jamais.

La Bible  Exode 27-20, décrit le tabernacle des Hébreux décoré d’une lampe éternelle. Numa Pompilius, le second roi de Rome six siècles avant notre ère, outre sa légendaire capacité à maîtriser la foudre, passait pour posséder une lampe éternelle dans le dôme de son temple. Plutarque écrivit qu’une lampe était constamment allumée à l’entrée du sanctuaire de Jupiter-Amon. Les prêtres lui avaient affirmé qu’elle brûlait ainsi depuis des années et que ni le vent ni l’eau ne pouvaient rien contre sa flamme.

 

 

L’historien grec Pausanias (70 EC) vit dans le temple de Minerve une lampe en or qui éclairait durant une année sans qu’on ait besoin de la remplir d’huile. L’auteur grec Lucien (120-180 EC) dans un temple à Hiérapolis, a vu un joyau hyper-lumineux. Il était incrusté dans une tête en or de la grande déesse Héra « et le temple entier rayonne comme s’il était éclairé par des myriades de cierges ». (site inmysteriam, non sécurisé)

D’innombrables techniques ont été utilisées dans ce même but. Le bas-relief égyptien qui suit montre l’utilisation de ce que je pense être des caissons à Vril, sur le modèle des caissons hyperbares des plongeurs ou des caissons de privation sensorielle utilisés à des fins introspectives dans les années 80.

Notons que ces caissons d’isolation sensorielle mis au point par John C. Lilly n’utilisent pas l’énergie vril. Vous êtes totalement isolé du monde extérieur, recréant à peu près les sensations d’un fœtus dans la matrice. À peu près, car le fœtus est dans un environnement bruyant : mes souvenirs intra-utérins en attestent.

Enfermer quelqu’un dans une boîte est très souvent pour lui donner l’éveil. Cette boîte est aussi bien un sarcophage comme celui du Roi dans la chambre d’Horus, un caisson d’isolation sensorielle comme celui de John Lilly, ou le caisson égyptien qu’on va voir.

 

Le caisson d’éveil

On notera la présence de câbles électriques reliant les caissons égyptiens à ce qui semble être des générateurs. Allongé nu dans ce caisson, le postulant recevait son baptême de vril. La décharge convenablement réglée assurait l’éveil sans risques majeurs.

On notera aussi que les câbles se raccordent aux caissons par une grande fleur de lotus, symbole d’éveil : la fleur du lotus bleu était consommée pour ses pouvoirs psychiques, comme la stimulation de la kundalini qui provoque l’éveil. Sur le caisson figure un serpent, symbole de la kundalini qui se déploie. On peut y voir aussi le filament dans une ampoule électrique surdimensionnée. Les deux interprétations sont très compatibles.

Sur le bas-relief, des géants manipulent un appareillage où l’on retrouve le pilier djed avec deux mains et des boîtes reliées au caisson par un câble électrique, probablement des générateurs. On voit aussi des êtres plus petits, humains sans doute, qui participent à l’activité en cours, quelle qu’elle soit. Comme on peut s’y attendre, les égyptologues unanimes voient dans le pilier djed je ne sais quelle allégorie qu’ils sont les seuls à connaître.

 

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Moi qui ne suis pas égyptologue, j’y vois ce que le bon sens me montre, un appareil fournisseur de vril, une machine électrique qui sert à provoquer une montée d’énergie, par exemple. Certes, il y a pour ça une foule d’autres moyens coquins que les Égyptiens devaient connaître aussi.  

 

Caisson de jouvence

Le pilier djed est souvent représenté avec des bras, qui soutiennent ici un des caissons.  Cette façon de créer le contact fait penser au vril. En égyptien ancien, djed signifie stabilité, durée. Un indice qui m’amène à penser que le djed pouvait servir à prolonger l’existence des dieux mortels, comme le soma pour les dieux hindous, l’ambroisie pour les dieux olympiens et l’hydromel pour les dieux celtes. Un petit coup de survoltage, et hop, l’ADN était rectifié, le sujet rajeunissait.

Voilà ce que cette image me raconte. Toutes les images parlent, même si peu de gens comprennent leur langue. Les différentes scènes des bas-reliefs ou des fresques égyptiennes sont si précises qu’on peut penser que chaque détail est signifiant, comme sur les arcanes du Tarot initiatique. On n’a pas le droit d’en négliger un seul.

Le djed n’est pas un symbole, c’est un appareil précieux, d’une utilité majeure, d’où son omniprésence dans l’iconographie égyptienne. Ce pays fascinant n’aurait rassemblé que des chevriers en guenilles s’il n’avait pas reçu l’héritage atlante.

Plusieurs égyptologues ont saisi l’usage électrique des pyramides : « Des pyramides américaines et égyptiennes étaient posées sur une couche de mica, isolant électrique naturel encore utilisé de nos jours »  (site inmysteriam, non sécurisé) Cette couche de mica servait manifestement à isoler un édifice soumis à de fortes tensions électriques, de façon que la charge ne soit pas mise à la terre. Les anciens tenaient à récupérer cette précieuse énergie pour trois usages sacrés ou profanes.

 

Avebury, Wiltshire, UK

La « pyramide » conique de Silbury, près d’Avebury dans le Wiltshire (UK) montre parfaitement les différentes utilisations de l’électricité atmosphérique dans un passé lointain. Ce type de pyramide abonde dans nos régions. La plupart d’entre elles ne sont pas répertoriées, ni même remarquées tant elle font partie du paysage.  S’il en existe près de chez vous, s’il vous plaît, envoyez-moi une photo !

Ces collinettes sont de deux types : certaines ont la cime arasée, de manière à former une vaste surface plane élevée, ce sont des Trônes de Salomon, c’est à dire des pistes d’atterrissage d’engins volants pré-antiques. D’autres, comme Silbury Hill, sont d’anciens capteurs de foudre et vibre très bas sur l’échelle de Bovis. Inutile d’y grimper, dangereux de prolonger votre présence à son sommet, sauf si vous savez prendre la foudre à mains nues…

 

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Fulgurologie

 

 

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Lui seul ouvre toutes les portes.

 

Le noumène? C’est nous-mêmes.
Lao Surlam