À l’origine, Zeus, le puissant dieu des dieux Olympiens, n’était pas le maître de la foudre, mais du foudre. Ici le genre masculin fait toute la différence. Le foudre, d’après la tradition hellénistique, est un faisceau de dards de feu en zigzags terminés par une flèche. (source) Selon moi c’est bien davantage.
Je traduis le charabia dans une langue claire. Le foudre est une arme de poing, capable de lancer un serpent de feu, c’est à dire un rayon mortel. Zeus avait reçu cette arme de la main des fabuleux cyclopes, les Hommes de la Race d’Or, d’improbables créatures dont la taille originelle dépassait les cinquante mètres.
Les derniers Cyclopes étaient beaucoup moins grands. Leur déclin s’est produit sur un laps de temps qui se compte en dizaines de millénaires.
La mythologie grecque nous apprend qu’ils maîtrisaient aussi l’art de la forge et l’ingénierie électronique : ils savaient fabriquer des armes terribles… C’est ainsi qu’ils ont offert à Zeus l’arme qui l’a rendu tout-puissant, le foudre qui tue ou qui divinise. Gardons-nous de le confondre avec la foudre. Le foudre est une arme de poing, assez comparable au vajra d’Indra, l’arme des Vajrapani. Elle aussi peut tuer ou guérir, éveiller ou rendre fou, selon l’intention de l’utilisateur.
Les couronnes simples ou doubles que portaient les premiers pharaons d’Égypte possédaient exactement les mêmes caractéristiques. L’ankh aussi était une arme de poing aux effets comparables, et non un symbole comme l’affirment les ignorants. Fichu symbolisme qui dénature les merveilles d’un passé oublié.
Le symbolisme ? La sagesse des crétins. Ce qui reste quand on a tout oublié.
De même le xiuhcoatl des Aztèques que vous pouvez voir ci-contre. Bien entendu, il ne s’agit pas de l’objet original, qui était en métal et que les terraformeurs ont soigneusement remporté avec eux. Nous ne disposons aujourd’hui que de copies, sculptures, gravures ou dessins, réalisés après le départ des dieux civilisateurs.
Imités avec un grand soin, ils permettent d’imaginer qu’il s’agissait d’objets de haute technologie. Mais inutile de s’attendre à les voir fonctionner. Seuls quelques visionnaires peuvent aujourd’hui reconstituer le fonctionnement d’une centrale fulgurale comme Avebury. Et la communauté scientifique se fout carrément de leur gueule. Patience.
Le xiuhcoatl des Aztèques était une arme, mais aussi un dispositif de guérison et d’éveil. Comme le béthyle d’Héliogabale, je suppose que le xiuhcoatl était lui aussi une pierre à foudre, pouvant capter l’énergie fulgurale pour la redistribuer selon les besoins.
Toutes ces similitudes ne sont pas le fruit du hasard. Sous des noms et des formes différentes, ces armes sortaient des mêmes ateliers, ceux des Cyclopes ou des Atlantes. Une civilisation avancée a laissé des traces difficiles à interpréter à notre époque suffisante qui refuse l’idée d’une civilisation antique possédant une technologie avancée.
Pour ma part, seule la mauvaise foi explique ce refus catégorique. Cette hypocrisie est l’ultime rempart d’un dogme, celui de notre prééminence. La communauté scientifique toute entière veut absolument que nous soyons aujourd’hui au plus haut degré de développement et de civilisation, alors qu’il n’en est rien. Je crois même que nous voici au point le plus bas qu’ait atteint la présente humanité.
Je ne parle pas seulement de la spiritualité ou de la quête de l’éveil, qui ont été jadis les préoccupations majeures des populations humaines et qui sont à présent ignorées ou moquées. Je parle aussi de technologie, ce domaine où incontestablement nous nous croyons les plus forts.
Erreur fatale! Si jamais les dieux d’avant décidaient de revenir faire un tour par ici, ce qu’ils ont fait à de nombreuses reprises, on aurait vite fait de réaliser à quel point leur maîtrise technologique éclipse la nôtre. Leur première visite sur Terra remonte à plusieurs milliards d’années. Tel est au moins l’âge de leur civilisation. C’est en tout cas le temps qu’il leur a fallu pour faire de cette planète ce qu’elle est aujourd’hui. Avant qu’on la détruise définitivement…
Quand j’évoque les dieux d’avant, je ferais mieux de préciser: c’est des déesses qu’il s’agit. Le matriarcat a duré un nombre impressionnant de millénaires, tandis que le patriarcat est bien plus récent. Il date tout au plus de quatre ou cinq mille ans. Et la domination du mâle, elle aussi, a le même âge.
Le matriarcat s’est hélas terminé de désastreuse façon pour les mâles, traqués par les Amazones qui les grillaient au barbecue avant de les dévorer, avec une nette préférence pour les parties génitales. Cette pénible tradition s’est poursuivie jusqu’à nos jours avec la saucisse grillée, vedette des barbecues.
Ces Amazones-là ressemblaient tant à des dragons qu’il n’y a aucun doute sur leur espèce. Elles étaient reptiliennes, comme tous les dieux d’avant.
On peut comprendre la hantise des nouveaux dominants, de sexe masculin uniquement, décidés à ne jamais laisser le moindre pouvoir à ces chiennes de femelles. Les Amazones géantes ont disparu depuis longtemps, mais le sexisme des mâles fait perdurer une misogynie sans nuance. Et je ne parle pas seulement d’hier dans des pays lointains ou des contrées exotiques. Il est toujours visible ici même, en terre celtique bénie des déesses et chérie des druidesses.
Pour se venger, dès qu’ils ont accédé au pouvoir absolu, les patriarches ont commencé par gommer le plus possible le long règne des déesses. Ils les ont masculinisées, comme on va le voir au paragraphe suivant. Pourtant une lecture attentive des anciens mythes a tôt fait de révéler la magouille. Ainsi ce n’est pas Zeus Jupiter qui dirige Terra, mais sa femme Héra Junon. Zeus n’est que le prince consort. Il est trop occupé à draguer les femelles de toutes espèces, en bon macho déchargé des responsabilités écrasantes de l’administration planétaire.
Thor, le dieu scandinave, possède une arme magique, un marteau qui lance des éclairs, capable de détruire les armées et les fortifications, mais capable aussi de reconstruire les ruines. Il s’agit sans doute de quelque arme technologique, dont le souvenir déformé nous a été transmis par le mythe.
Thor, pour certains auteurs, serait un avatar nordique de Zeus : rien d’étonnant s’il maîtrise la foudre. Thor selon moi n’a jamais existé. Je le tiens pour un avatar masculin de la puissante Hathor, dans le nom de laquelle on aura puisé le sien. Il est l’ego macho face à la réalité d’une déesse toute puissante. Une réalité devenue inacceptable.
Pensez-donc! Une femme plus puissante que les hommes, inadmissible privilège! En plus elle maîtrise la foudre et le tonnerre, et elle règne sur Terra-la-belle en impératrice incontestée. À son époque, les petits mecs n’avaient qu’à bien se tenir, les Matriarches leur damaient le pion, c’est le cas de dire. De récentes découvertes ethnologiques ont montré que dans plusieurs cas, les guerriers néolithiques étaient des guerrières.
Toute honte bue, les patriarches ont biffé, corrigé, modifié, masculinisé à tout va, si bien que nos plus éminents chercheurs ont oublié que les premiers squelettes d’hominidés sont féminins comme Lucy l’Africaine.
Le drame de l’Afrique, c’est que l’homme africain n’est pas assez entré dans l’histoire.
Les hommes ? Et les femmes alors ? Non seulement notre mini Trump énonce une contre-vérité, mais il est misogyne par dessus le marché!
Comme on peut le voir sur l’image précédente, Hathor n’est pas humaine. Pas complètement. Ses yeux et ses oreilles trahissent son origine véritable. Hathor est reptilienne, le doute n’est pas permis.
Déesse mère du panthéon égyptien, Hathor est l’épouse d’Horus fils d’Isis et d’Osiris, dont elle a eu un fils divin, Ihi ou Ihy. Le noyau familial père-mère-enfant est une trinité qu’on retrouve telle quelle chez les Celtes et les Vikings. Elle est antérieure à la trinité chrétienne, bancale et homoparentale.
Les statues de vierges noires qu’on retrouve encore en labourant les champs pourraient bien être les siennes, ou celle d’Isis tenant Horus sur ses genoux. Une affaire familiale en somme, qui n’a rien à voir avec Marie l’inventée, mère de Jésus l’improbable.
Un éminent chercheur a pondu un beau livre intitulé Vierges Noires, la réponse vient de la terre. Il s’appelle Jacques Bonvin et il réussit la prouesse de ne jamais supposer que si ces vierges sont noires, c’est que leur peau l’était. De la même façon, en Inde, aucun bouddhiste ne peut admettre la vraie raison des cheveux crépus sur les statues de bouddhas noirs… La plus difficile façon de changer est d’accepter de changer de façons.
Hathor était reptilienne, à ce titre elle peut se reproduire sans mâle, ce qui n’est pas le cas de Marie qui est mammifère comme tous les humains. Encore un mythe qui repose sur des faits authentiques, que des sans-scrupule ont adaptés tant bien que mal pour un public naïf et crédule. Ces hypocrites ont cru bien faire en justifiant leurs pieux mensonges.
Les déesses et les dieux d’avant, ceux d’Égypte notamment, avaient en main un objet qui ne les quittait pas, l’ankh. Une arme aux mêmes caractéristiques que toutes celles qui sont présentes dans les mythologies. Ces populations divines avaient assurément de quoi se défendre… et de quoi éveiller nos lointains ancêtres.
En comparant les mythes, on découvre vite que le foudre est une arme universelle, la kalashnikov des dieux, si on veut. Le vajra ou le foudre évoque un pistolet laser, un lance-rayon. Ce rai mortel pouvait ressembler à la foudre, y compris le bruit de tonnerre que faisait le coup.
Sont des présumés vajra : le foudre de Zeus, le marteau de Thor, l’ankh égyptien, l’arme de Marduk (ci-dessus), l’égide d’Athéna, les couronnes d’Osiris, le xiuhcoatl des Aztèques, et bien sûr, le vajra original, celui d’Indra, rendu inoffensif par Çakyamuni le bouddha historique.
Une légende donne le secret de son invention. Derrière un habillage mystico-magique, elle révèle une grande vérité à celui qui l’interprète correctement.
« Le foudre, ou vajra est l’arme du dieu Indra ; il s’agissait à l’origine de la foudre. Une légende relate la naissance du vajra, arme des armes : les dieux avaient confié tout leur arsenal au premier ascète, Dadhichi. Il le garda fidèlement pendant une longue période, puis désira retourner à sa pratique. Usant de ses pouvoirs de yogi, il a dissout les armes dans de l’eau qu’il but.
C’est peu après que l’Asura Vritra vint défier Indra. Celui-ci vint alors reprendre ses armes, pour découvrir qu’elles avaient été absorbées par l’ascète. Immoler Dadhichi était la seule solution pour les récupérer. Encouragé par Dadhichi, Indra l’exécuta à regret et fabriqua le vajra avec sa colonne vertébrale.
Les circonstances extraordinaires de sa fabrication permirent au dieu d’obtenir la victoire, car il se trouvait que Vritra avait obtenu de Shiva la promesse qu’il ne pourrait être tué que par une arme exceptionnelle, faite d’une matière différente de celle des armes habituelles. Outre le fait que sa puissance est sans égale, le vajra ne peut être mal utilisé et revient toujours à son propriétaire.
Le vajra d’Indra peut se présenter sous différentes formes, un cercle percé d’un trou ou une sorte de croix par exemple. Dans le Rig-Veda, il s’agit d’une massue hérissée de multiples pointes. Selon une légende bouddhique, c’est Çakyamuni qui a transformé l’arme en outil pacifique en rapprochant l’extrémité des pointes. »(source)Wikipedia
Avec Bouddha, l’arme mortelle devint douce et curative… La légende dit en effet que Bouddha rapprocha les pointes du vajra, transformant ainsi l’arme létale en instrument de guérison. Depuis, le vajra bouddhique aux pointes réunies est devenu un des principaux objets cultuels du lamaïsme tibétain.
On a donc deux utilisations reconnues pour le vajra, d’abord il est perçu comme une arme, puis, par la grâce du Bouddha, il devient un objet sacré, paré d’une fonction rituelle, sans qu’on sache clairement à quoi il sert.
Quelle grande vérité a été cristallisée dans ce mythe ? Sans doute celle-ci : le vajra, ou l’ankh, ou le foudre était une « arme » de poing, du type laser ou lance-rayons. Parfois, les rayons étaient mortels, parfois bénéfiques.
C’est pourquoi, plutôt que d’une arme, il vaut mieux parler d’un outil ; car l’ankh pouvait aussi bien réparer que détruire. Il utilisait probablement l’électricité atmosphérique, que les anciens appelaient l’éther, qu’on nomme aussi géo-énergie, ou énergie vril.
Ce qui nous ramène aux fameux pouvoirs du 3e œil des Cyclopes. Mauvais œil, il pouvait tuer. Bon œil, il donnait l’éveil ou guérissait les blessures.
Nous avons tous ce terrible pouvoir et ce don magnifique. Car nous sommes les enfants des dieux d’avant. Ceux-là ont existé. Ils n’ont pas été fabriqué par le désir des hommes, ni par l’envie, ni par la soif de dominer.
Ils n’étaient pas parfaits, ni infiniment bons, ni même fréquentables pour certains. Tous les dieux sont uniques, sauf ceux qui sont iniques. Ils sont nombreux ceux-là, ce qui ne surprend pas. Regarde autour de toi. Dis-moi ce que tu vois.
Le bon dieu est un fake inventé par un cake. Le saint esprit est tien, nettoie-le bien. Prends-en grand soin, il t’appartient. Ne crois pas ceux qui n’en font rien. Ceux-là n’iront pas loin. Ils mourront dans leur coin. Pour voyager sans frein il faut semer son grain.
De même que la croix n’est pas une invention chrétienne, il y a des raisons de croire que l’Ankh ne vienne pas des Égyptiens. Cette croix particulière est un héritage Atlante. Comme la croix, l’ankh est présent dans les civilisations premières liées à l’Atlantide.
Calixtlahuaca, l’actuel Toluca, possède l’un des objets les plus mystérieux découverts au Mexique. Le Monument 4, dit l’autel en croix, montre une similitude incroyable avec la croix ansée, le tau égyptien, l’Ankh.
Ce n’est surprenant que pour les spécialistes. Les autres savent déjà. Nos égyptologues, sans imagination et bien ignorants des coutumes pré-antiques, ont classé l’Ankh dans la catégorie des symboles. Le symbolisme est une invention récente, une tarte à la crème, une permission de déconner à pleins tubes, une voie de garage encensée par les faibles d’esprit.
Les anciens dieux qui ont enseigné nos ancêtres étaient plutôt réalistes et pragmatique. Ils avaient affaire à des sauvages bestiaux, nos ancêtres. Pourquoi tous les anciens dieux ne quittaient pas leur Ankh ? Ils sont toujours représenté avec un ankh en main.
Qui ferait ça avec un symbole? Un symbole se porte sur ses vêtements, comme un insigne ou un grade. Ou alors sur un bijou, autour du cou. Mais l’avoir sans cesse en main est une vraie gêne quand on doit surveiller voire mater des primitifs belliqueux.
Au contraire, quel genre de chose un gardien de bétail a toujours avec lui? Tu es mon berger ô Seigneur…
Nos égyptologues sont doués d’une piètre imagination. Ils ont été maintenus dans l’ignorance des mœurs pré-antiques par un enseignement débile, castrateur à force d’aveuglement. Ils ont donc remisé la croix ansée ou Ankh dans le tiroir aux symboles. Un tiroir bourré de merveilles oubliées, comme le sous-sol où le gardien de musée remise l’arche perdue retrouvée par Indiana Jones.
L’effort serait trop grand pour que le souvenir survienne. Le monde moderne a adopté une vision si réductrice du passé que rien ne semble pouvoir lui rendre sa vraie grandeur. La symbolique est une invention récente dont on a commencé à se servir quand on ne comprenait plus rien au passé.
Très tôt j’ai compris que ce qu’on nous enseignait dans les manuels avait un côté provincial,sans imagination, qui manquait d’air.
De même, les anthropologues ont enfoui de nombreux textes antiques dans un tiroir marqué « mythes« . Ce sont des descriptions qu’on ne comprend pas si l’on reste dans la pensée dominante. Légende, du latin legenda, signifie qui mérite d’être lu. Au contraire, notre époque superficielle néglige le corpus légendaire que les savants tournent en dérision. Le purgatoire des mythes est un vaste fourre-tout où les chercheurs agréés empilent les textes ou les artefacts qui ne cadrent pas avec leur vision étriqué du passé humain.
Si l’Ankh n’était qu’un symbole, pourquoi tous ces dieux l’auraient-ils sans cesse en main ? Un symbole se porte autour du cou, en boucle de ceinture, ou brodé sur la robe. Ce qu’on tient toujours en main, c’est une arme de poing.
En règle générale, les hiéroglyphes figuratives et les fresques antiques ne sont pas des représentations symboliques, mais des images réelles d’une technologie supérieure. Le vajra d’Indra ou le foudre de Zeus lançaient bel et bien des éclairs tantôt bienfaisants, tantôt mortels.
Sur les temples d’Égypte, le dieu Horus-Ra, homme à tête de faucon, ne porte pas la double couronne comme son père Osiris. Horus maître de Ra, qui n’est pas notre étoile mais le Grand Soleil d’Hyperborée, arbore en place de couronne un disque d’or rouge qui lévite sur son crâne. Ce disque est cerclé d’un serpent bleu.
Ceci n’a rien d’un symbole, l’action du disque rouge est concrète et visible : de ce disque sortent des fleurs qui se dirigent droit sur tel ou tel personnage, comme on peut le voir sur l’image qui suit. Elle figurait dans le tombeau de la Dame Taperet. Figurez-vous ce que le tout-puissant pouvait lui faire, à cette noble dame décédée?
Horus donne à Dame Taperet le seul cadeau dont elle a besoin en cet état: l’éveil, l’illumination, son ticket pour la vie éternelle.
Manifestement, Horus maître de Ra Hyperborée avait une tête de faucon, la peau bleue et des affinités avec les reptiliens, d’où le serpent autour de sa boule orange. Un soleil agissant, une machine à guérir, un dispositif issu d’une technologie avancée qui nous est encore inaccessible. Horus Ra commandait à sa boule de feu qui lui obéissait, comme la couronne magique obéissait à son père Osiris. La boule Ra dardait ses rayons sur ceux que le dieu voulait récompenser ou punir. Les rayons sont des fleurs pour éveiller, des pointes de flèches pour tuer.
Ce dieu possédait une arme lance-rayons. Était-ce une technologie liée à la foudre ? Ou bien d’un effet qui ressemblait à celui de la foudre ? Un dispositif utilisant la puissance du cristal de quartz, comme dans le laser moderne ? Un mix des deux ? Autre chose encore, hors de notre portée ?
Les déesses et les dieux d’avant n’étaient pas dieux au sens moderne. Au lieu d’un dieu unique, ils étaient très nombreux. Les textes sacrés de l’Inde antique, vedas, upanishads, les récits comme le Mahabharata ou le Ramayana, les traités et les soutras évoquent une population divine d’une taille impressionnante. Trente mille dieux étaient venus du ciel sur Terra. Ailleurs, il s’agit de plusieurs millions.
La tradition égyptienne assure que ces dieux-là se réincarnaient à intervalle régulier pour porter secours à l’humanité en détresse. La tradition hindoue le confirme. S’ils se réincarnaient, c’est donc qu’ils étaient mortels.
Apollon était le conducteur du char du Soleil Vainqueur. Horus était le maître de Ra, le commandant de bord du vaisseau mère Hyperborée. Tout comme Atlas était le commandant de bord de l’île vaisseau Atlantide. Reptiliens noirs de peau, ils obéissaient à la grande Déesse et sas avatars terrestres, les déesses mères Isis, Hathor, Héra, Astarté, etc.
Qu’on l’appelle Horus Ra ou Ram ou Rama, ce surhomme n’était pas un dieu, mais un des princes de la civilisation précédente.
Les Incas adoraient le Soleil d’Hyperborée, ainsi que les dieux reptiliens qui l’habitaient, d’où les nombreux serpents sur l’image qui précède. Elle reproduit fidèlement un codex antique. On note deux couleurs de peau différente : la carnation doré des Indios à droite, et la peau brune des Noirs à gauche.
L’image qui suit est une adaptation d’un codex. Elle représente Quetzalcoatl le serpent à plumes, seigneur et maître des anciens Aztèques. Il s’agissait manifestement d’un dragon, comme tous les dieux d’avant qui étaient des reptiliens volants et mangeurs d’hommes, qui plus est.
Les Dieux ont toujours soif, n’en ont jamais assez Et c’est la mort, la mort toujours recommencée.
"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, idédit)
En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
Le symbole suggère, l'image montre. Que montre le caducée, arme d'Hermès ?
Ils viennent de la littérature, de la bd, de la pop, de ce qui court,…
Leur mouvement permet la vie, leur ouverture permet la clarté, leur vigueur permet l'éveil.
La richesse de la gnose antique fait ressortir la pauvreté de la pensée unique contemporaine.