La division de l’Irlande en quatre royaumes vient des origines oubliées, quand les quatre druidesses dirigeaient les points cardinaux. L’Irlande fut appelée “l’île des quatre Maîtres” en référence à leur terre disparue à l’extrême nord, Thulé.
Ces îles étaient situées au-delà du Pôle Nord, ou plutôt au-dessus… Chacune est dirigée par une druidesse primordiale. Dans les temps immémoriaux, la tribu de la Grande Déesse Dana, les Tuatha Dé Danann, résidaient sur ces îles volantes.
Cette tribu divine était composée de druidesses et de druides qui enseignaient la religion de la Déesse, le droit, la sagesse, la poésie, etc. Par leur intermédiaire, la Déesse éveillait les humains qui s’y rendaient. C’est pourquoi les quatre îles du grand Nord sont aussi nommées par les Celtes l’Autre Monde, le Grand Ailleurs, le Sidhe. Ce sont elles que les Grecs appelaient Hyperborée.
Tous les dieux venaient d’Hyperborée.
Il faut savoir que le créateur mâle, quel que soit le nom qu’on lui donne, est une invention récente. À l’origine régnait la Déesse venue de l’étoile Alcor dans la Grande Ourse. C’est Elle qui envoya les dieux d’avant pour terraformer la planète Terra. Afin de les aider dans cette tâche, les Archontes, maîtres mâles de cette planète, ont voulu créer un assistant de petite taille: ce fut Adam. Ou pour mieux dire les Adamites.
Zeus en chargea son neveu le Titan Prométhée, que les Sumériens appellent Enki. Sa création physique était si parfaite que la Déesse en fut émue. Dans sa grande bonté, Elle décida de donner une âme immortelle à ce corps qui n’était que celui d’un animal bipède, aux traits reptiliens assez marqués.
Prométhée multiplia les clones de son Adam pour en faire une armée de travailleurs: mécaniciens, bâtisseurs, agriculteurs. Ils étaient bien plus que des machines. Dotés d’une âme, ces clones dépassaient même leurs créateurs archontes.
Jaloux, ces derniers sont devenus les diables des légendes et des religions, désireux par dessus tout de s’approprier notre âme. D’où la rengaine de « vendre son âme au diable ». Mais le diable archonte n’étant pas du plérôme, et nous non plus, il ne peut en aucun cas acquérir ce qui nous rend immortels. Son destin mortel fait de lui un misérable plus à plaindre qu’à blâmer…
Notre humanité eut donc deux créateurs, les Archontes pour notre corps, et la Grande Déesse pour notre âme. L’organisation de notre humanité, à ses débuts, fut confiée aux femmes, plus puissantes, plus responsables, plus habiles que les petits mâles. Le jour vint où ceux-ci ont mis fin au matriarcat dominant. Alors les Druides ont remplacé les Druidesses. Le grand Rama tenta d’établir la parité entre les sexes, mais il ne put éviter le conflit latent qui perdure encore.
La mention des druidesses et de la Grande Déesse a été soigneusement occultée par l’avènement du patriarcat. Après une très longue période de matriarcat, en effet, celui-ci a cédé le pas aux petits mâles, qui se sont empressés de rectifier les textes sacrés. Rien n’est sacré pour ceux qui veulent s’imposer à tout prix.
Dès leur accession au pouvoir, les mâles jaloux du passé glorieux où ils ne comptaient pas, se sont mis à corriger tous les textes anciens, remplaçant systématiquement les femmes par des hommes. Cette hypocrisie n’est pas finie.
Aussi me suis-je évertué à rétablir la vérité, rendant aux femmes de la haute antiquité la place qui fut la leur… et aux femmes d’aujourd’hui la place qu’elles devraient avoir.
Ces quatre îles du nord dont on cherchera vainement la trace ne sont pas au niveau de la mer ou de la banquise. Elles sont à 200km au-dessus du Pôle Nord, comme je l’ai montré dans de nombreux articles.voir les liens en fin d’article Des îles volantes, donc.
Ou plus exactement un vaisseau-mère venu de la Grande Ourse, de forme sphérique. La demi sphère supérieure est vide. Y règne un climat doux sous un ciel artificiel. La demi sphère inférieure comporte quatre soutes où sont parquées quatre îles volantes plus petites, destinées à flotter sur les océans des planètes que les déesses visitent pour les terraformer.
Une de ces îles flottantes s’est posée sur l’océan atlantique, on l’appelle l’Atlantide. Une autre s’est posée sur l’océan Indien, on l’appelle Pount ou Lémurie. Une troisième fut accueillie par l’océan Pacifique, elle s’appelle Mu ou la Bienheureuse.
La dernière île flottante n’a pas trouvé sur notre planète un autre océan pour l’accueillir. Il est possible qu’elle se soit posée au Pôle Nord quand il était libre de glace.
La surface de la demi sphère inférieure est partagée en quatre quartiers, quatre parts de camembert qui flottent sur une couche d’eau pour assurer leur horizontalité lors des voyages spatiaux. Cette mer artificielle forme aussi quatre canaux qui séparent les quartiers, d’où l’illusion de quatre îles.
J’ai déjà raconté tout ça en détail dans de nombreux articles dont vous trouverez les liens plus loin. Je voudrais rester ici dans le cadre que je me suis donné, à savoir les quatre îles du grand nord. C’est dans les légendes irlandaises que l’on en trouve la meilleure description, et la plus complète.
L’île Falias est dirigée par la grande druidesse Morfessa, en langue des Oisons celle qui mord les fesses. De cette île est venue la Pierre de Fal, un puissant talisman gage de souveraineté. Après le départ des Tuatha et la disparition du Sidhe, les Celtes l’apportèrent en Irlande et le déposèrent à Tara.
L’île Findias est dirigée par la grande druidesse Uiscias, en langue des Oisons celle qui scia l’huis, l’ouvreuse de porte. De là vient l’Épée du roi Nuada, d’où serait venue l’épée magique Excalibur. On prétend que ce nom dérive du gaélique Caladbolg: je ne vois aucun rapport avec Excalibur. La langue d’or m’a permis de lui donner une traduction plus conforme à sa nature et à son origine.
L’île Gorias est dirigée par la grande druidesse Esras, en langue des Oisons celle qui se rase. De là vient la Lance de Lug ;
L’île Murias est dirigée par la grande druidesse Semias, en langue des Oisons la druidesse des semailles. De cette île proviennent les talismans du Dagda : le chaudron d’immortalité et la massue de vie et mort. Le Dagda ou dieu bonDagos Devos est le dieu le plus important, juste après Lug.
« Dans l’Antiquité, Apollon, le dieu grec le plus singulier, est le dieu du Nord, le dieu des Hyperboréens. À la Renaissance, Guillaume Postel reprend les idées du Moyen Âge qui situait le paradis au pôle Nord.
« Dans la tradition gréco-latine, en Eurasie, en Inde, en Chine, et jusque dans certaines régions africaines, une géographie sacrée des points cardinaux s’est universellement établie. Le septentrion est fréquemment sous le signe du mâle, de la création, de la force, de la lumière, de l’innocence virginale et de la justice. » ~~Jean Malaurie, Centre d’Études Arctiques. (source)
Apollon est le dieu du Nord. Quelques auteurs l’identifient à Lug, dieu des Hyperboréens comme lui. Mais il y a une quasi unanimité, quelle que soit l’époque, à situer le paradis au Pôle Nord.
« Au 18e siècle, un anonyme décrit un voyage du Pôle Nord au Pôle Sud par l’intérieur de la Terre : « Au Pôle, un gouffre d’eau, un grand tournant d’eau. Nous approchant toujours du centre, nous reconnaissons que cette île prétendue n’était qu’une haute écume sur les eaux se précipitant et s’engouffrant dans cet abîme, formée sur la superficie. »
« Au 19e siècle, Bernardin de Saint Pierre décrit l’axis mundi, axe du monde comme une véritable Arcadie. Jules Verne évoque un volcan d’où sort l’aurore boréale. Edgar Poe dit qu’elle est une eau de naissance et de mort. Lovecraft cite l’Atlantide qu’il décrit comme un pont jeté entre terre et ciel. » (source)
Le voyage par la Terre Creuse a été raconté depuis l’Antiquité. Notons pourtant que l’anonyme nie la présence d’une île au Pôle Nord, mais son « gouffre d’eau » n’est pas plus évocateur…
L’axe du monde est une vision assez répandue, notamment dans les terres du nord où l’on évoque l’arbre Yggdrasil comme une échelle magique qui mène au paradis. Une pure vision d’Hyperborée.
L’Arcadie est une utopie, terre idyllique, pastorale et harmonieuse. Le terme vient de la province grecque d’Arcadie et remonte à l’Antiquité classique. Jules Verne et Poe racontent n’importe quoi. Lovecraft est plus intéressant avec son pont entre le ciel et la terre. Visionnaire inspiré, il a dû entrevoir Hyperborée et la route spatiale vers Alcor.
Dans la plupart des traditions, « le Septentrionle Nord est sous le signe du haut, c’est-à-dire du pays des âmes, mais aussi de la force, de la lumière, de l’innocence virginale. »
« Pour l’Inuit, c’est l’union incestueuse entre une sœur et un frère qui présida à la création du Soleil (la sœur) et de la Lune (le frère). En vieux norois comme en langue inuit, la lune est masculin, le soleil est féminin. » (source)
Le Soleil avec une majuscule ne désigne pas notre étoile, mais le grand vaisseau-mère Hyperborée. Il est au féminin car il émane de la Grande déesse et il est peuplé de Déesses et de Druidesses. C’est pourquoi on dit vaisseau-mère et non vaisseau-père.
« Les Tchoukt considèrent que l’Étoile polaire est un trou permettant aux chamans de passer à travers la voûte céleste où le chasseur peut connaître un éternel paradis. » (source)
L’Étoile polaire ne fait pas partie de la Grande Ourse. Elle appartient à la constellation jumelle, la Petite Ourse. L’Étoile polaire n’est pas leur but ultime, mais elle indique la bonne direction, plein nord. Le trou des chamans est la sensation qu’éprouve un spationaute quand l’accélération de son vaisseau à la vitesse subluminique réduit l’espace environnant à un tunnel noir au bout duquel se trouve l’étoile Alcor.
« Dans les textes brahmaniques les plus anciens, le monde terrestre est représenté par les quatre points cardinaux. Le peuple vit dans la plaine, au sud. L’initié vit en altitude, au nord, dans la montagne.
« Dans toute mythologie épique indienne, c’est en allant au Nord que l’on va vers les Dieux. Le Nord est la Terre des Brahmanes. Tout Brahmane cherche à avoir dans sa généalogie des parentés le situant au Nord. Dans un village, les Brahmanes sont dans le quartier nord. Le Grand Nord, c’est au-delà de l’Himalaya, le pays de la délivrance; l’ayant atteint, on n’est plus condamné à renaître pour faire fructifier ses fruits. Terre de Délivrance Nordique, ou Terre Ultime où l’on vit dans le Paradis de Shiva. (source)
Shiva, dieu des Védas, plus ancien dieu de l’Hindouisme, fut le premier visiteur divin sur Terra. Son paradis est Hyperborée, bulle en vol stationnaire au-dessus du Pôle Nord. Tout humain admis à bord de ce vaisseau-mère éprouve cette ineffable sensation de légèreté, de perfection et d’absolu : le paradis. Hénoch l’a vécu et raconté, la vie prodigieusement étendue donne l’illusion d’immortalité. Fini le cycle des réincarnations. Le bouddha historique l’a ressenti au stade ultime de l’éveil, où il fut presque un dieu d’avant.
Hénoch et la Déesse Hénoch le Patriarche Hénoch et Jésus Hénoch fils de lui-même Hénoch et moi
« Les Védas évoquent ce temps primordial où, sous un ciel tournant sur les têtes comme un chapeau et où la nuit dure six mois, vivait dans le Grand Nord, une humanité d’initiés ». ~~Jean Malaurie, Centre d’Études Arctiques. (source)
Non, Monsieur Malaurie, ce n’était pas dans le grand nord, mais au-dessus du grand nord. Ce n’était pas une humanité, ces initiés étaient des Reptiliens venus d’Ailleurs, les dieux d’avant. Quant au ciel tournant sur les têtes comme un chapeau, c’est parfaitement la sensation qu’éprouvaient les Inuits quand, au-dessus d’eux, tournait le grand vaisseau comme un chapeau sur leurs têtes.
Jean Malaurie (1922-2024) ethnologue, historien, géographe et écrivain français, a fondé en 1954 la collection Terre Humaine, qu’il inaugure avec son récit Les Derniers Rois de Thulé. Cette île disparue n’est autre qu’Hyperborée, l’île des quatre maîtres.
L’étoile polaire, dont le nom officiel est Polaris α Ursae Minoris, est l’étoile principale de la Petite Ourse (Ursa Minor en latin). Cette constellation circumpolaire peu spectaculaire contient une bonne vingtaine d’étoiles visibles à l’œil sous un ciel de qualité, loin des villes.
Elle est au-dessus du Pôle Nord, elle appartient à la Petite Ourse, comme Hyperborée était en vol stationnaire au-dessus du Pôle Nord, en provenance de la Grande Ourse…
« L’étoile polaire, référence de tous les navigateurs, était considérée comme le centre absolu autour duquel tourne le ciel. C’est le pôle de l’univers. Pour les Lapons, cette étoile du Nord est le pilier, le moyeu du monde. Pour les Yakoutes, le nombril du ciel. Dans de nombreuses populations altaïques, l’autel est tourné vers l’étoile polaire. » ~~Jean Malaurie, Centre d’Études Arctiques. (source) Cette prééminence se comprend mieux quand on sait le rôle qu’a joué Hyperborée, le joyau hyperlumineux suspendu au-dessus du Pôle Nord, et dont l’éclat illuminait tout l’hémisphère nord.
Notons que les Vikings avaient le même point de vue que les Lapons. Yggdrasil, l’Arbre du Monde, puisait ses racines au Centre Terre et s’élevait du Pôle Nord jusqu’au sommet du ciel: s’agirait-il de la Grande Ourse?
« Selon la tradition islamique, l’Étoile polaire et la Kaaba sont reliées. Dans la tradition chrétienne, c’est une étoile qui a guidé les Mages vers le Fils de Dieu. Porte du ciel, l’Étoile polaire est par ailleurs et selon la mythologie la plus sacrée, le siège de l’Être divin, le trône du Dieu Suprême. Quaesivit arcana polividet Dei.l’alliance antique entre l’homme et les dieux.« ~~Jean Malaurie, Centre d’Études Arctiques. (source)
« C’est une étoile qui a guidé les Mages vers le Fils de Dieu. » Curieuse formulation de Malaurie… Faut-il comprendre que l’Étoile polaire aurait guidé les rois mages vers Hyperborée? En effet, tous les dieux en viennent, comme Platon l’affirme. Le Fils de Dieu en venait donc…
Au-delà du Nord,au-dessus du Nord au-delà de la glace,où la glace n’est plus au-delà de l’aujourd’hui,dans les temps anciens
Au-delà de la mort à l’écartLà où la vie dure si longtemps
Notre vie, notre bonheurdans un paradis de vie interminable
Ni par terre, ni par merSeulement par la voie des airs
Tu ne pourras trouver le chasseur qui mèneil n’existe aucun guide…
Jusqu’à nous, hyperboréens.…pour gagner Hyperborée
C’est de nous, qu’aussiDe notre paradis
Une sage bouche a prophétisé.dont Nietzsche (et Séguin?) ont parlé
Que je peux traduire ainsi:
« Au-dessus du Nord, où la glace n’est plus, dans les temps anciens, là où la vie dure si longtemps, dans un paradis de vie interminable, accessible seulement par la voie des airs, il n’existe aucun guide pour gagner Hyperborée… C’est de notre paradis et de nous que Nietzsche (et Séguin!) ont parlé. »
Hyperborée a reçu bien des noms et bien des descriptions. Toutes concordent sur ces points, elle est située au grand nord, au-delà du Pôle, et c’est un paradis peuplé d’initiés immortels. Elle a reçu bien des noms aussi, j’en ai cité plusieurs: Le paradis de Shiva, Yggdrasil, l’axe du monde, le mont Méru, la Montagne de Lumière, le Mont Olympe, les quatre îles du Nord, Avallon, et aussi Thulé, puissant mythe des régions circumpolaires.
Telle est ? Tu l’es! Tue-les!
Cet espace nordique a un nom: Thulé. Thulé ou Tele : loin — Thu-al ou Tugdual : Nord (Celte) — Tholos ou Tolos : brouillard (grec) — Tula : balance (sanscrit) — Tulor mexicaine est dans la tradition ésotérique, la Terre lointaine, l’Ile blanche, le Pôle des lumières, le Sanctuaire du Monde.
Thulé, baie de l’Étoile Polaire, est à l’aplomb du Pôle céleste. Telle Jérusalem, pôle judéo-chrétien ou La Mecque, avec la Kaaba, pôle de l’Islam, Thulé est le pôle des Hyperboréens. (source)https://www.paperblog.fr/5794959/thule-ou-la-magie-d-un-nom4destin-d-un-mythe/
« Le terme Thulé semble inexplicable par les racines germaniques. Cependant il figure dans leurs textes sous forme de Thulur « catalogue » et Thular « énumération » (saga). Mais Thula en vieux germanique et Thulr en vieux norois ont le sens de « poète, chant, proser ». Le surnom Fimbulthulr est un attribut de Wotan, ce qui nous amène évidemment à Thuler qui signifie « initié » et c’est beaucoup plus évocateur : il est le Suprême Initié ! Remarquons aussi le verbe gotique thulan « ramasser » qui nous fera penser à nouveau à Wotan le Fimbulthuler, l’initié-initiateur qui « ramassa » les Runes secrètes au pied de l’Arbre du Monde. (source)https://www.paperblog.fr/5794959/thule-ou-la-magie-d-un-nom4destin-d-un-mythe/
« Thulé l’hyperboréenne, l’île au-delà du Temps, le vaisseau d’outre espace, tu es la demeure des Immortels et des Élus; tu seras la vôtre, un jour, peut-être, si vous savez barrer votre navire au-delà des icebergs et des tempêtes de votre mental.
« N’allez pas croire qu’elle ait été l’apanage des Grecs et des Germains : chacun partout pouvait l’atteindre et l’Égyptien la connaissait aussi, lui qui l’appelait Benben. et cette Île surgie des eaux du Noun céleste et sur laquelle l’oiseau Phœnix avait, à l’Aube des Jours, pondu l’Embryon d’Or duquel le monde était éclos. Cet Oiseau Phénix, Héron cendré des Égyptiens, mais à Délos, un Cygne immaculé glissant comme une étoile au ciel au fil des eaux de la Voie Lactée – tout au Nord du monde, et juste sur le cercle du pôle…
« Et c’était bien là, la grande Délos du Ciel que Poséidon jadis avait fait surgir de la Mer et se fonder, nous disent les vieux récits, sur une Colonne surgie des Profondeurs afin que Létô puisse enfanter hors d’atteinte de Python… Ce furent Artémis et son frère Apollon, le Seigneur Pythien, Maître du Chaudron, de l’Holmôs ou du Graal. Ils naquirent tous deux, comme Létô, sur cette Île au delà des regards que les Grecs nommèrent l’île bâtie par le ciel, et nous Thulé la Bienheureuse. » (source)http://racines.traditions.free.fr/
Le vaisseau-mère Hyperborée
L’île volante Atlantide
Fulcanelli l'initié cabaliste nous révèle un grand secret de la Langue des Oiseaux
Comme je l’ai déjà annoncé, nous allons bientôt reprendre les vols astraux groupés
Nous allons bientôt reprendre les expériences de vol astral en groupe : inscrivez-vous !
Une fois encore J'ai frôlé la mort Soudain tout a semblé Contre moi se liguer
Ce monde n'est qu'un terrain d'entraînement. Épais et dur, il résiste pour nous permettre de…