Le Ciel décide

 

D’où qu’on soit, depuis toujours, quand on prie son dieu, on regarde le ciel. C’est une réalité très étonnante, qu’on explique de cent façons puériles. Le symbole en sort grand vainqueur. Les savants ont beau savonner la planche à laver, ils n’ont rien nettoyé. Quoi qu’on fasse, la crasse leur colle aux neurones. Symbolisme ? Allons donc ! Les dieux du ciel sont inscrits dans nos gènes parce qu’ils viennent des dieux.

 

Fourmi

Traquant les préjugés, cassant les vieux clichés, combien d’idées reçues me sont tombées dessus ? Je me fais l’effet d’une fourmi au pied de la tour Eiffel, pauvre insecte écrasé devant la masse métallique énorme. J’ai beau dire, expliquer, tout mettre en relation, la longue hibernation de la population engourdit les esprits et tue l’innovation. Un jour viendra, la Saga sous mon bras, je partirai planter ma tente au Walhalla.

Je me suis réveillé pour voir que tous les autres dormaient encore. Alors je me suis rendormi.

Léonard de Vinci

 

J’ai expliqué cent fois comment les surhommes de l’espace sont venus transformer cette planète sauvage pour en faire une planète domestique. Dans les soutes de leur grand navire, ils avaient apporté tout ce qu’il faut pour ce gros boulot. Ces gens-là sont des pros. Leur labeur porte un nom : la terraformation. D’étoile en étoile, ils scrutent l’espace aux environs de chez eux, la Grande Ourse, Ursa Major. Dès qu’ils trouvent une planète prometteuse, ils agissent. Leur vaisseau plus brillant qu’une étoile est en vol stationnaire au-dessus de la Terre. Le plus dur reste à faire. Ils vont s’y employer.

 

La carte du créateur

J’ai donné de nombreux exemples d’une modélisation terrestre extrêmement ancienne. En voici un autre plus fort encore — à première vue. C’est en Oural, haut lieu chéri des dieux d’avant. La Pierre de Dachka, que le Pr. Chuvyrov a baptisé Carte du Créateur, nous parle d’une civilisation très ancienne, maîtresse de l’eau, indispensable à l’agriculture, à l’exploitation minière, à l’industrie nucléaire. Si cette dalle de pierre est bien ce que prétend le prof ! Le site sensationnaliste ldi5 en remet une couche : « Une fantastique découverte par les universitaires de Vachkirieou Bachkirie, mais avec l’accent russe… vient jeter un nouveau pavé dans la mare « bien tranquille » de l’Histoire de l’Humanité : une tablette en pierre représentant une carte en relief de l’Oural, estimée à 120 millions d’années !!! » (Les Découvertes Impossibles, ldi5.com)

 

Terraformation

D’accord, la dalle de Dachka est très vieille, mais est-ce bien une carte ? L’auteur de la citation peut toujours faire addition de cent points d’exclamation, j’en demeure à ma question…

Cent vingt millions ! Un nombre d’années qui peut surprendre. Mais en matière d’aménagement terrestre, il y a une possibilité que l’extraction de l’uranium ait commencé… il y a plusieurs milliards d’années. Quand le Pr. Chuvyrov évoque l’industrie nucléaire, les réacteurs du Gabon abondent dans le même sens.

Dites-vous qu’une terraformation ne se fait pas en quelques siècles, n’en déplaise aux prétentions martiennes de la NASA. Il a fallu des millénaires pour dompter la Terre. Des éons pour la domestiquer. Que sont les cent millions d’années de cette pierre ? Ce chiffre n’est pas irréaliste. Ce qui l’est, par contre, c’est d’y voir une carte de l’Oural, en relief s’il vous plaît ! Un exploit complet. Revenons sur terre.

Quand Terra fut drainée, sculptée, ensemencée, ils l’ont peuplée de variétés issues de leur banque génétique. Et l’Adamc’est toute une race, pas un seul individu vint habiter ce nouvel Eden. L’être humain fut conçu avec des gènes aliens. Le matériel des dieux du ciel. Natifs d’Alcor ou de Sirius, ils sont venus de la Grande Ourse.

C’est pourquoi, d’où qu’on soit, qui veut prier les dieux se tourne vers les cieux. Qu’on s’agenouille ou qu’on se prosterne, on va lever les yeux vers le pays des dieux. Notre inconscient se souvient d’eux. Le regard se lève et le cœur prie le ciel. Et c’est partout pareil. Les dieux d’avant sont descendus sur Terre. Des millénaires durant, leur gigantesque vaisseau-mère est resté suspendu dans le ciel à la verticale du Pôle Nord.

 

Céleste Empire

Depuis la nuit des temps –à peu près 10.000 ans– les empereurs de Chine portent le titre de Fils du ciel — qui s’écrit : 天子 et qui se dit : Tiānzǐ. (source)wikipedia Ce n’est pas qu’un titre honorifique. Il s’agit d’un contrat passé avec le Ciel. Le souverain tient son pouvoir légitime d’un mandat du Ciel. Son trône et son autorité ont été hérités d’un plan surnaturel. L’actuelle république populaire de Chine, fille du Céleste Empire, tirerait-elle sa légitimité d’un Ciel qu’elle semble ignorer ?

 

 

La culture chinoise couvre un ensemble immense et complexe de réalisations dans les domaines les plus divers, dont les plus anciennes remontent à 10’000 ans. Record planétaire homologué — si l’on accepte les datations fantaisistes de la civilisation olmèque, pour ne nommer qu’elles. Bien des dates concernant l’Amérique, l’Afrique et même l’Europe semblent beaucoup trop proches pour être crédibles.

La mémoire de la vieille Chine est toute entière inscrite dans ses idéogrammes — les très nombreux caractères d’une écriture unique, qui contient son histoire, ses mœurs et sa pensée. La Chine actuelle, forte de cette impressionnante continuité, constitue la plus vieille entité géopolitique du monde moderne. Cette ancienneté est à la fois son meilleur atout et un handicap réel, face aux enjeux d’une modernité technologique, informatique, nucléaire et bio-énergétique.

Ces vingt dernières années relativisent ce handicap, puisque la Chine en est sortie grande gagnante, au point de laisser loin derrière elle son rival russe, qui la dominait largement dans les années 2000. Et la percée spectaculaire de la Chine dans le domaine spatial montre à quel point ses facultés d’adaptation sont grandes et sa réactivité élevée.

 

Mandat du ciel

Mais revenons à l’aspect traditionnel du Céleste Empire et à ce fameux mandat délivré par les dieux d’avant. Le Fils du Ciel ne peut régner que s’il a reçu un mandat du Ciel, ou mandat céleste (天命 : Tiānmìng).  Ce concept chinois est apparu sous la dynastie Zhou qui a régné pendant plus de huit siècles, de -1046 jusqu’à -256.  Ce mandat céleste est fondé sur l’approbation que le Ciel accorde aux dirigeants vertueux, approbation qu’il cesse d’accorder si ceux-ci sont corrompus. Il a permis d’affirmer la légitimité du pouvoir des Empereurs de Chine. (source)Wikipédia

Par Ciel, il faut entendre les dieux dont le Ciel est le lieu. Les manifestations naturelles étaient interprétées comme des signes du Ciel. Les catastrophes naturelles témoignaient de la réprobation du Ciel. Ainsi la rébellion populaire devient légitime. Un empereur peut très bien être renversé pour qu’une dynastie plus vertueuse se voie confier le Mandat du Ciel.

Le Mandat du Ciel a tenu un grand rôle en Chine pour contraindre l’empereur à garder la mesure dans l’utilisation de son pouvoir. Pas d’article 49.3 pour les empereurs chinois ! Pas de constitution non plus, à vrai dire. Gros avantage du Mandat : pas besoin d’être noble pour devenir empereur. Des dynasties brillantes comme les Han ou les Ming ont au contraire été fondées par des hommes d’extraction modeste. Par contre, de graves inondations, de grands incendies déclenchés par la foudre, des famines durables étaient autant de preuves que le Ciel retirait son mandat à la dynastie régnante. (source)Wikipédia

 

Langue d’or

Pour décrypter ce qu’il faut entendre pas ciel, 天 tiân, il est temps de recourir à la langue des origines. Dans cette langue qui était celle des dieux d’avant, et à laquelle l’allemand doit beaucoup, on trouve ahn, ancien, les Anciens, et ti ou ty, qui veut dire chez en Breton. En langue d’or, le Ciel chinois signifie donc : chez les Anciens. Difficile d’être plus explicite. Le ciel est le pays des dieux d’avant, une fois pour toute, dans n’importe quelle culture.

 

Mot valise

Le mandat céleste ou mandat des anciens, pratique ancestrale chinoise, gagnerait à être généralisé. Je m’adresse ici à celles et ceux qui, comme moi, ont de la chance. Pour peu que ma chance tourne, je me prends à penser qu’une punition divine m’est infligée. Ou pour parler comme les Chinois, je me dis qu’un mandat du ciel m’a été retiré. Superstition ou réalisme ? D’où vient la chance ? Comment tourne-t-elle en malchance ? Sommes-nous bénis des dieux ? Y a-t-il au dessus de nos têtes quelqu’un qui veille sur nous ? Oui, je le crois. J’ai expliqué comment nous sommes pilotés par une entité qui nous veut du bien.

Une entité n’est pas forcément un être, qu’il soit supérieur ou non. Il se peut que des dieux gigantesques jouent avec nous. Moebius l’a fait. Il a montré nos semblables comme des pions sur l’échiquier divin.En couverture de « L’homme est-il bon ? » aux Humanoïdes Associés, 1977

 

On ne présente plus ce génie de la BD, mais je le fais quand même. Désolé, ce n’est pas l’image dont je parle, mais quelle splendeur !

 

J’ai partagé le point de vue de Maître Moebius, publié à une époque où la SF n’était pas ce qu’elle est devenue. Cette vision des hommes-pions m’a obsédé pendant des semaines, même des mois je crois. Elle hantait mes rêves. Je ne vois plus les choses comme ça. Cette entité qui me pilote fait partie de moi. Elle n’est pas incarnée chez tout le monde de façon automatique. Elle plane au-dessus de ceux qui n’ont pas encore connu l’éveil. Les chrétiens l’appellent âme. C’est un mot-valise : tout un bric-à-brac d’idées reçues, naïves, ridicules. Mot-valise dont je me sers sans doute trop. Comme la notion de dieu, la notion d’âme a traversé les siècles en changeant maintes fois de costume. Aujourd’hui nul ne s’accorde sur sa définition.

Le langage commun la confond avec le centre ou le cœur, dont il semble faire un parfait synonyme. Ce qui est faux. Si le cœur est à l’intérieur, l’âme est ailleurs. À l’extérieur en tout cas, et jamais où l’on s’attend à la trouver. La raison en est simple. L’âme est un autre nom pour l’aura, qui est le plus extérieur de nos corps subtils. Les autres corps subtils, plus proches du corps physique, assurent son interface avec l’âme. Ils sont à la fois matériels et immatériels, tandis que l’âme est totalement immatérielle. Fait-elle partie de ce monde ? Non, pour autant qu’il ne soit que matière…

 

Ama / Ana

La déesse Ama (ou Ana) était adorée sur les cinq continents. Pour moi, aucun doute : la Déesse-Mère c’est elle. Maintenant écoutez ceci. Dans la mythologie grecque, le patron était en fait une matrone. Il convient de remplacer Zeus par sa sœur-épouse, Héra pour les Grecs, Junon pour les Romains. C’est elle la cheffe des dieux-déesses.

Cette substitution est tardive. Elle été imposée par la montée du patriarcat, quand les mâles chauvinistes ont remplacé en toute hâte les déesses très-antiques et très-embarrassantes par des dieux. Dans leur précipitation, les scribes du patriarcat n’ont pas gommé des traits de caractère et de comportement qui trahissent la magouille. À part courir la gueuse, Zeus n’en fout pas une, soyons clair. Il drague tout ce qui bouge pendant que Notre Mère Héra se tape tout le boulot.

Le matriarcat est la première forme de pouvoir sur notre planète. Il a duré des dizaines de millénaires, voire des centaines, tandis que le patriarcat remonte au mieux à 4000 ans. En si peu de temps, que de travail les mâles ont-ils accompli! Ils ont réussi à imposer au monde l’idée fausse que le mâle domine la femelle. Pour un peu, si on n’y regarde pas de trop près, on serait persuadé que ça a toujours été le cas.

Très tôt j’ai compris que ce qu’on nous enseignait dans les manuels avait un côté provincial,sans imagination, qui manquait d’air.

Hubert Reeves

 

De récentes découvertes viennent inverser la vapeur. Mais c’est encore timide, et les archéologues (mâles dans l’ensemble) les présentent comme des exceptions. Ainsi en témoigne leur stupeur quand ils ont découvert des tombes de guerrières. Des cheffes, indiscutablement, vu le luxe et l’apparat des vestiges. J’en ai parlé dans un article qui mérite d’être lu.

 

Le temple de la déesse A-Ma, à Macao, Chine. Cette ville où j’ai vécu tient son nom de ce temple : Macao s’appelait Ama Gao, le port d’Ama, ainsi nommé par les Portugais qui en reçu la ville en cadeau pour avoir chassé les pirates de la Mer de Chine. 

 

Ama l’âme

Fort influencé par la langue des oisons qui pour moi prime sur l’étymologie,voir plus loin ma thèse est la suivante. La Bible, en dépit des censures épiscopales ou papales (que des mâles!) ne peut cacher le fait que Lilith est venue avant Adam. De même, Ama est venu avant les dieux mâles. Si Ama est Héra, ce n’est pas Zeus qui nous a fait, c’est elle. En restituant la vérité sous le récit, Ama avait une nièce, brillante généticienne. Elle lui a donné l’ordre de nous créer.

Voilà pourquoi toutes les mythologies parlent de la Déesse Mère. Et voilà pourquoi je pense que le mot français âme vient en droite du nom de notre Mère qui est dans les cieux sur son vaisseau-mère. Vaisseau est un nom masculin en français. Pourquoi ne dit-on pas un vaisseau-père ? Maintenant je le sais.

En astrophysique, le terme amas désigne une grande concentration d’étoiles de composition et d’âge assez semblables. Si l’on interroge cette discipline, que nous apprend-elle ? Que l’amas ouvert le plus proche de la Terre est dans la Grande Ourse, ou pour être plus exact, c’est la Grande Ourse et son courant d’étoiles. En effet, la plupart des étoiles de la Grande Ourse sont les membres d’un vieil amas ouvert mobile presque entièrement dispersé. Sirius est un ancien membre de cet amas et le Soleil est actuellement dans le courant de la Grande Ourse, mais n’en est pas un vrai membre, il passe juste à travers. (source)

Vains dieux ! Ama est native de la Grande Ourse ! Et l’astrologie nous dit que Sirius faisait partie de son amas ! Cette étoile est souvent cité dans le légendaire des pays très anciens comme étant l’origine de nos créateurs et maîtres. Et la Terre fait partie de la traîne de la mariée !! Il y a là matière à tout un article, que dis-je ? Tout un nouveau chapitre de la Saga d’Eden.

 

 

Âme + Our

Ce mandat du ciel se retrouve dans d’autres pays d’Asie, comme la Corée ou le Vietnam. Mais pas au Japon, qui n’en a pas besoin, ayant encore mieux : la Maison impériale du Japon prétend descendre dans une lignée ininterrompue de la déesse japonaise du Soleil, Amaterasu.

Amaterasu O mi kami tel est le nom et le titre de la Grande Déesse du shintoïsme, l’ancêtre légendaire de la lignée impériale japonaise. En japonais, O signifie grand et kami, divinité. Or le loup se dit Okami. Omikami veut donc dire loup aussi bien que grande déesse. (source

Décidément le Clan du Loup est le plus ancien des clans, qui puise sa source à l’origine même de cette humanité, la cinquième. Amaterasu la Louve est donc la Grande Déesse du Soleil. Non pas l’étoile qui brille dans le ciel diurne, mais le grand Soleil qui illumine follement l’hémisphère nord, de jour comme de nuit. Ce grand soleil disparu dont des générations d’humains esseulés ont vainement attendu le retour, si l’on en croit les vedas. Mais il y a plus extraordinaire encore.

Son nom n’a rien d’inattendu : Ama, encore et toujours ! La Grande Mère. Ama comme Âme ou comme Amour. Ama est l’héritière d’Ana, la première Grande Déesse. Déesse du Soleil Invaincu. Ce grand Soleil qui brille sans discontinuer, sans se laisser dissimuler par les nuages, sans connaître la nuit puisqu’il est fixe au-dessus du pôle nord. Déesse du Soleil parce qu’elle est venue sur cette planète vagabonde, hyper lumineuse, qui s’est fixée au nord de la Chine. Au Nord de tous les pays, d’ailleurs, comme le pôle nord. Seuls les pays de l’hémisphère sud étaient dans une semi pénombre quand brillait ce luminaire artificiel, le vaisseau-mère Hyperborée tout droit venu de la Grande Ourse.

 

Le sens derrière les sons

Amaterasu, Amaterasu… Je me répétais ces quatre syllabes qui sonnaient tellement familières à mon oreille. Il faut dire que la pratique assidue de la langue des oisons –et non pas langue des oiseaux comme on l’entend dire trop souvent– m’a habitué à entendre le sens caché derrière les sons. Pour moi, d’abord, les mots sont des sons. Ni la façon dont ils s’écrivent, érodée par les siècles, ni leur étymologie souvent bidon ne m’intéressent au premier chef. Le jeu consiste à déceler le sens profond derrière les sonorités, mon passe-temps favori.

Le meilleur bouquin de Freud, le seul dont je conseille la lecture, s’intitule Der Witz und seine Beziehung zum Unbewußten — Le jeu de mots et son rapport à l’inconscient. Certes, il y cherche la petite bête, Freud n’est pas Freud pour rien. Mais par moments, à part l’allemand, ça sent la langue des oisons. S’il ne la nomme pas, ça lui brûle la langue.des oisons Moi, j’y vais carrément. Cessez de lire, écoutez voir.

Le nom de cette grande déesse est magnifique dans le français des Oisons. Je coupe en trois : Ama Terra Sous. Terra sous Ama. Notre planète sous la Déesse.

Dans le détail : Sous la Grande Déesse Mère Ama, il y a Terra, la Terre — Le mot latin a été formé de TER, qui signifie trois, ou troisième. Et de RA, le soleil. Ce grand soleil invaincu, vaisseau-mère des Alcoriens, ou vaisseau de la Mère.

Une autre lecture est possible, elle m’a été inspirée par l’étude de la Gnose selon laquelle Sophia, la Connaissance, autre nom de la Grande Déesse, aurait pris ses quartiers dans les profondeurs de notre planète. C’est ainsi que les puissantes énergies telluriques se manifestent comme des bénédictions de notre mère Ama. En ce cas, Amaterasu se décompose ainsi : AMA + TER + A(B)SU = Ama dans l’abzu de la troisième planète.

 

 

Une fois encore, le caractère initiatique de la langue françaiseet latine ! nous ouvre une voie royale. De nouveau, la langue des oisons nous tire une belle épine du pied. Un scrupule, auraient dit les Romains. En latin, scrupulum désigne une petite pierre pointue. Qu’elle se glisse dans la sandale du légionnaire, la troupe entière ne peut avancer. C’est le cas du scrupule : un petit rien qui suffit à paralyser toute une armée.

 

Nombreux sont les pièges de la suffisance.
Carlos Castaneda