Par quel immonde scandale nous gave-t-on de dieux mâles ? Allah, Elie, Yaveh, Dieu, Zeus, Brahma, Vichnou,Brahma la Guerre et Vichnou la Paix Jésus et tant d’autres, bonjour la parité des sexes! L’Éternel Féminin éclipsé par des nains ! Le pompon va à la Trinité chrétienne tout bonnement homoparentale. Le père est mâle, le fils aussi et le saint esprit pareillement, masculinisé à la hâte pour remplacer la Mère, Sophia, la Sagesse, la Grande Déesse.

 

Quand le patriarcat commençant a voulu éradiquer la Femme, il n’y est pas allé par quatre chemins. Il l’a traquée partout, ne la laissant libre et fière en aucun lieu, lui assignant force humiliations dans un rôle subalterne qu’elle assume encore en silence dans de nombreux pays aussi arriérés que sexistes.

Elie, Yaveh, Dieu, Mahomet, Zeus, Adonaï, Moïse, Jésus, Bouddha, Shiva, Brahma, Vichnou, Manou, Noé, Rama, Krishna, Amon, Ra, Quetzalcoatl, Kukulkan, Cuchulann, Lugh, ses quatre fils, Thor, Odin, Rascar Capac,la momie des 7 boules de cristal Atahualpa, Héraklès, Prométhée, Enki, Tiki, Viracocha, l’Inca, le Pape, le Dalaï Lama,  les Fils du Soleil, l’empereur, le roi, le président, l’élu, le Grand Mufti, les sept Rishi, le Baphomet, Hermès, Apollon, Mithra, Ramman et Wakan Tanka et Baal et Allah!! Ah là là.

Tous ces mâles sont autant d’étiquettes sur le bocal.
Ce gros bocal bleu, plein de grâce, où notre espèce a grandi…
…mais c’est une Femme qui l’a créé!

 

21 juillet 1969

Ceux qui ont vécu l’événement planétaire en direct, sur leur petit écran, n’oublieront jamais l’émotion étrange qui les a saisis. Pour la première fois, depuis la surface grise et terne de la lune, ils voyaient un spectacle inédit, une grosse balle bleue qui se lève sur un sol extraterrestre. Ce jour-là, Neil Armstrong et ses potes ont coupé le cordon qui a toujours relié l’Homme à sa Terre-Mère. Et c’était, oui, c’était vraiment un très grand pas pour l’humanité. Même si des émules du complotisme protestent que l’alunissage n’a pas eu lieu… Il a eu lieu, mais personne n’était sur la Lune pour filmer la scène en direct. C’est pourquoi la NASA n’a pas diffusé le vrai film tourné sur place, trop de détails troublants auraient choqué les Terriens ignorants, et qui doivent le rester.

À la place, on nous a fait gober un film tourné dans le désert de l’Utah, où un décor à peine crédible a pu faire croire aux plus naïfs que le film était authentique. Il était haut en toc. Et le drapeau américain, ému jusqu’aux larmes, n’a pu réprimer un frisson d’orgueil. QUOI? Un drapeau qui fasseye sur un satellite sans atmosphère, sans vent?

Mais qu’importe, on s’en fout, le spectacle était grandiose et le discours récité par cœur coulait comme une liqueur. Mais au fait, ce petit pas pour l’Homme était quoi pour la Femme?

 

 

Méfiez-vous des imitations

Au commencement était la Déesse. Je l’appelle Ana, mais comme vous l’allez voir, elle a bien d’autres noms au long de ses millions d’années de règne, non seulement sur Alcor, sa planète d’origine dans la Grande Ourse, non seulement sur Terra, planète sauvage terraformée depuis des éons, mais aussi sur un vaste empire de mille soleils, chacun abritant plusieurs planètes également terraformées comme la nôtre par les équipes d’Ana.

Vierge Mère, elle a porté en son ventre toutes les espèces vivantes, elle nous a donné naissance, et nous avons grandi sur elle. De plus elle s’est offerte ici-bas pour assurer notre protection. La Déesse s’est incarnée dans la glèbe, dans le limon, dans l’argile terrestre. Énergie pure, elle circule par mille lacis, dix mille réseaux hydraugraphiques,  cent mille sinuosités liquides. Elle est la Vouivre, la Serpente. Son énergie puissante anime notre planète et fortifie nos auras.

La Déesse est reptilienne. C’est pourquoi elle est la Vierge Mère, la seule, la vraie. Les femelles de son espèce peuvent enfanter sans le concours d’un mâle. Une qualité reptilienne dont les humaines sont privées. La vierge Marie aurait-elle été une Serpente, elle aussi? Il est vrai que le premier dieu des Hébreux était un dragon, alors tout est possible sous ces latitudes farouches.

 

Sophia, Gaïa, Ana

Pour enfanter, se reproduire, pondre et répondre, elle ne s’en est pas privée, Notre Dame Ana d’Alcor. Elle a couvert chaque recoin de notre monde avec un milliard de vivants, plantes, insectes, oiseaux, serpents, bêtes à cornes, bêtes à fourrure, bêtes à branchies, bêtes à bon dieu, bêtes à gamma, bêtes à manger du foin. Et sur les bêtes, au-dessus de leur règne, elle a formé des reines et des rois, les humaines et leurs humains, pour régner sur le tout. Elle leur a dit: Vous êtes les gardiens de ce zoo et les jardiniers de ce jardin. La Terre était resplendissante quand la Déesse marchait parmi les Femmes.

Tous les petits sont ses enfants chéris. À celles qui naissent, elle donne le sein. La Déesse est comme les humains, pour les humaines, avec elles. Et ceux qui meurent, c’est en son sein qu’ils reposent. Nés de l’argile qui est la chair de la terre, tous les vivants y retourneront. Le culte de la Déesse-Mère fut longtemps la seule religion connue. Il se pratique encore chez les peuples premiers, sous la noble forme d’un accord avec ce qui vit, respect de la nature, paix envers les éléments, empathie avec le cosmos. 

 

 

Le Matriarcat

Il est issu d’une longue période pratiquement inconnue, et très peu étudiée tant le machisme est enraciné dans nos mentalités actuelles. C’est le matriarcat. Il a duré six cent mille ans, couvrant toute la période de l’âge d’or, qu’on appelle aussi l’ère d’amour. Le matriarcat est l’éternelle saga de l’amour maternel qui baignant toutes ses créatures. Incarnée dans notre planète qu’elle anime et rend féconde, la Déesse est Une et Multiple. Chacune en a sa part et toutes l’ont toute entière.

Son règne dure depuis 66 millions d’années. Et peut-être bien davantage, si on estime que la première visite extra-terrestre sur cette planète remonte à plusieurs milliards d’années. La Déesse a pris bien des apparences humaines et serpentines. Elles sont ses avatars, ses copies, ses incarnations. Les énumérer toutes emplirait autant de livres qu’il en existe dans toutes les bibliothèques passées, présentes et à venir. 

Mais je peux en nommer quelques-unes. Voici un tableau des six premières Grandes Déesses, trois Reptiliennes d’abord, puis trois Humaines — en fait des humanoïdes, car leur type Reptilien était encore fortement marqué. (source) Ces six déesses ne sont certes pas les premières incarnations, mais les premières dont je me souvienne. Il y a dix ans, je ne faisais pas la différence entre elles. Dans dix ans, les six déesses premières seront peut-être soixante. Ou six cents?

 

Matriarches de l’âge d’or

Ana, reptilienne, née sans mâle, déesse mère de Terra, reine d’Ur en Alcor, vierge païenne, mère de toute sainteté, régna trois cent mille ans sur Terra et 66 millions d’années sur son empire des mille étoiles. Je la considère comme la version originale, en ce qui concerne notre planète. Il y eut d’autres espèces intelligentes avec les humains, des espèces reptiliennes. Elles aussi ont été créées par Ana.

Ama, reptilienne, née sans mâle, fille d’Ana, déesse mère de Terra, régna deux cent mille ans. Ama ressemble beaucoup à sa mère, c’est pourquoi elle est souvent confondue avec elle Ama, Ana, les deux noms sont très proches. Ils sont interchangeables dans plusieurs traditions archaïques. Mais si Ana est l’origine, Ama est son premier avatar. Ses nombreux enfants s’appellent les Fils du Soleil, car ils sont issus d’Hyperborée, le Soleil Invaincu.

Gaïa, reptilienne, fille d’Ama, déesse mère de Terra, régna cent mille ans. La Bible l’appelle Lilith. Elle n’est pas la Femme d’Adam pour plusieurs raisons. Adam n’est pas une personne, c’est un peuple. Le premier peuple de notre humanité. Elle est la mère de ce peuple. Les Fils de la Terre.
Ainsi s’achève l’âge d’or qui dura 600 mille ans.
Fin de l’ère d’amour.

 

 

Matriarches de l’âge d’argent

Hathor, humanoïde, déesse mère de Terra, fille de Gaïa, née sans mâle, régna trente mille ans.
Isis, humanoïde, déesse mère de Terra, fille d’Hathor, née sans mâle, régna vingt mille ans.
Héra, humanoïde, déesse mère de Terra, fille d’Isis, née sans mâle, régna dix mille ans.
Ainsi s’achève l’âge d’argent qui dura 60 mille ans.
Fin du matriarcat.

J’ai contéen 2023 quelques aventures d’Ana : Notre Dame d’AlcorSa GrandeurDans la gueule du LoupBlanche FontaineL’or d’amour. Le règne de la Déesse a commencé il y a 66 millions d’années. Il n’est pas terminé. La Grande Déesse est en dormance depuis le début du kali yuga, il y 4000 ans. Pendant son sommeil, elle a suscité des remplaçantes, les Matriarches. Déléguées sur notre planète pour régner à sa place, elles ont fait leur possible pour enrayer la progression des anciens maîtres de Terra, les Archontes. Elles n’y sont pas parvenues. Jusqu’au retour triomphant d’Ana la Belle au Bois Dormant, nous subirons tout le poids du joug archontique. Plutôt lourdingue.

Isis, la plus célèbre des Matriarches, a régné sans conteste sur une bonne partie de Terra pendant vingt mille ans. Elle a laissé sa trace indélébile dans la mémoire des chevaliers servants du Grand Esprit.

 

 

Le don d’Isis

« Je suis La Nature, mère des choses, maîtresse de tous les éléments, origine et principe des siècles, divinité suprême, reine des Mânes, première entre les habitants du ciel, type uniforme des Dieux et des Déesses. C’est moi dont la volonté gouverne les voûtes lumineuses du ciel, les souffles salubres de l’océan, le silence lugubre des enfers. 

Puissance unique, je suis par l’univers entier adorée sous plusieurs formes, avec des cérémonies diverses, avec mille noms différents.

Les Phrygiens, premiers nés sur terre, m’appellent la déesse-mère de Pessinonte ; les Athéniens autochtones me nomment Minerve la Cécropienne ; chez les habitants de l’île de Chypre, je suis Vénus de Paphos ; chez les Crétois armés de l’arc, je suis Diane Dictynna ; chez les Siciliens qui parlent trois langues, Proserpine la Strygienne ; chez les habitants d’Éleusis, l’antique Cérès. 

Les uns m’appellent Junon,Héra d’autres Bellone; ceux-ci Hécate, ceux-là la déesse Ramonte. Mais ceux qui, les premiers, sont éclairés par les rayons du soleil naissant, les peuples d’Éthiopie, de l’Asie et les Égyptiens, puissants par leur antique savoir, ceux-là me rendent mon véritable culte et m’appellent de mon vrai nom : la reine Isis. » (source)Apulée « Métamorphoses XI

 

 

 

La Vache Sacrée

Au gré des peuples et des époques, la Déesse a pris de nombreux autres noms. Mais son premier nom n’est pas donné ici par Apulée. Pour les Égyptiens antiques, avant d’être Isis, la Grande Déesse eut pour nom Hathor, la vache sacrée qu’on retrouve en Amérique comme en Inde. Avant Hathor ont régné trois grandes déesses Reptiliennes, comme indiqué dans le tableau que je donne plus haut. Et elle sera connue sous d’autres noms encore, car son règne n’aura pas de fin. Sa religion n’est pas codifiée, sans prêtres, sans livres sacrés. 

 Au commencement était la Déesse mais les temps ont changé. Vint la loi du mâle, la Déesse a dû s’adapter. La trinité chrétienne aussi, en oubliant carrément la Femme. Une longue éclipse allait commencer pour Lilith la Noire. Eve la Blanche restée seule, la Grande Déesse prit d’autres apparences… Elle devint d’abord le Dieu bleu, le dieu doux et souriant de l’amour, que l’on nomme Krishna, et que l’on vénère encore dans le sous-continent indien. Il cultive la douceur, c’est un guerrier courtois. Il a de nombreux émules, depuis les Schtroumpfs jusqu’aux Navis d’Avatar, qui incarnent ces mêmes qualités de douceur, d’harmonie, de bonheur naturel et d’insouciance sacrée. Le sang bleu est partout une façon de nommer la noblesse, héritière supposée de la race disparue des Seigneurs Bleus. Les temps ont encore changé, c’est une habitude.

 

Le Dieu Vert

La Déesse est devenue le Dieu vert comme le végétal, viride et plein de sève aussi. Vêtu de feuilles de vignes, il s’enracine en terre, il est l’élan de tout ce qui pousse.  Pareil aux Élohim, on voit en lui le père des élémentaux. Son nom est Bacchus ou Dyonisos, fou d’ivresse et des jeux de l’amour. Il a incarné l’esprit de la nature pour l’antiquité gréco-latine. Ses émules sont les petits hommes verts de Mars ou le Géant Vert de General Food. Dans le nord de l’Europe, la Déesse devint le Dieu Cornu, le chasseur, aussi brûlant que le soleil, aussi sombre que la mort. On l’appelait Cernunnos, Pan ou Merlin.

Sous cette forme érotico-magique, la Déesse est encore honorée par les peuples chamaniques, Amérindiens, Aborigènes, Papous etc. Ainsi, les cornes fixés à la coiffe sont le signe de ses pouvoirs magiques. Bois de cerf ou d’élan, cornes d’auroch ou de bison sont des antennes subtiles, comme on les voit dans l’arcane Le Diable. Pan errait par le monde en quête de magie et d’aventure, mais toujours le désir le ramenait à la Déesse, il tournait sans cesse autour d’elle. Ainsi Merlin, à force de tourner autour de Viviane, finit par tomber dans l’étang de Comper où il dort encore, enchanteur enchanté dans un cercueil de cristal, attendant l’heure glorieuse de son retour, quand l’étendard du nouvel ArthurOu d’une Arthura ? Allez savoir ! flottera sur l’empire d’Europe.

 

 

Le dieu cornu

Déesse et Dieu, principes masculin et féminin, naissance et mort s’attirent et se repoussent, toujours en mouvement. Et va le Dieu Cornu, éperdu de désir, cherchant sans fin la Déesse innombrable. La Grande Mère le fait naître, enfant soleil, au solstice d’hiver. Au printemps il est le semeur et la semence, il pousse dans la lumière croissante, vert comme les jeunes feuilles. Prêtresse, elle l’initie aux mystères. En été, quand le jour est le plus long, ils s’unissent et la puissance de leur passion contient le monde. Mais la figure du Dieu devient moins nette au fur et à mesure que le soleil s’affaiblit… Jusqu’à ce qu’enfin il se sacrifie lui-même, quand le blé est récolté, pour que chacun puisse être nourri. Elle est celle qui moissonne, le ventre de la terre, celle à laquelle tout doit retourner. Durant les longues nuits et les jours sombres il repose dans son corps.

En rêve il est le maître de la mort qui règne sur le pays de la jeunesse, à l’est des portes du jour et de la nuit. Sa sombre tombe devient le chaudron de la renaissance, car au milieu de l’hiver elle lui donne naissance à nouveau. Le cycle prend fin et recommence. La roue de l’année n’en finit pas de tourner. L’amour est polarité, la force qui unifie l’univers. Le monde n’a pas été créé jadis à un moment précis. La création se fait à chaque instant,La création continuée est un concept du philosophe Malebranche, disciple de Descartes pour chaque être vivant. Elle se manifeste aussi dans le cycle des saisons qui fait tourner la roue de l’année.

La mort n’est pas la fin. C’est un stade du cycle, qui conduit à la renaissance. Après la mort, l’âme reste dans le « pays de l’été », au pays de l’éternelle jeunesse, où elle est rajeunie et rénovée pour préparer son retour. Bientôt elle quittera les ors de l’été pour les eaux du Léthé, le fleuve d’oubli. Ainsi lavée, l’âme peut renaître. Sans mémoire.

 

Les deux sœurs

La renaissance est un immense cadeau de la Déesse, qui est manifeste dans le monde réel. La vie et le monde ne sont pas séparés de la Déesse, la vie est une grande merveille. Et la mort est sa sœur jumelle. Elle n’a rien d’effrayant. Seule disparaît l’enveloppe physique, chrysalide de l’âme avant une nouvelle vie. Si la peine et la douleur existent, elles font partie de l’apprentissage, et sont évitées par ceux qui n’en ont cure, ou qui n’en ont plus besoin.

L’âge n’est pas la moindre partie du cycle de la vie, c’est le temps de la sagesse. Évidemment la maladie cause des souffrances, mais elle n’est pas inévitable. Quand le guérisseur intérieur fonctionne comme il doit, le grand âge n’est pas misérable. Dans la vie d’une humanité, la vieillesse est le temps où les hommes retrouvent la Grande Déesse.

La civilisation sent sa fin prochaine, l’oubli déjà l’enterre alors que va renaître, pleine de sève et d’oubli, une autre humanité prête à l’aventure d’un autre monde. Et ces nouveaux premiers hommes, tout naturellement, remercieront la Déesse Mère qui leur a donné la vie dans son ventre rond, comme une grosse bille tranquille, suspendue dans l’espace.

 



Ana
Ama
Gaïa
Hathor
Isis
Héra
Vénus
Athéna
Ninhursag
Astarté
Lilith
Eve
Pandore
Danaan
Belisama
Pachamama
Femme-Bison-Blanc
Kwan Lin
Marie

 

Je te salue vierge Ana, pleine de Grâces, que l’Esprit soit avec toi, tu es bénie entre toutes les mères et Adam, le fruit de tes entrailles est béni.

Adam, c’est nous, le peuple humain dans son entier. Cette cinquième humanité qui doit tout à la Grande Déesse Ana, Anna, Ama, Anne etc. La seule, l’unique. Les noms des déesses importent peu; leurs règnes ne sont rien. Seule compte la Déesse. Il n’y en a qu’une, elle était là avant le commencement, elle y est encore, elle y restera longtemps.

Maintenant nous attendons ici qu’elle se réveille et qu’elle nous délivre du Mal et des Archontes déchus.

 

 

 

Une première version a été publiée le 12 mai 2008. Celle-ci reflète ma compréhension actuelle. Une nouvelle version peut surgir demain. Eden Saga marche comme ça.

 

Xavier Séguin

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