Les Loups Racontent – 3

 

Les Loups racontent encore, leur vol astral devient sérieux ! Nouvelle série de récits plus vrais que nature, qui viennent d’un ailleurs bien réel alors que la réalité ordinaire est fausse, pleine de frustrations. Le décryptage reste nécessaire car le cerveau nous berne avec sa détestable pratique de l’habillage.

 

Monique

J’ai du mal à décrire mes rêves. Je ne fais que des rêves avec des personnes de ma famille, alors je me dis que ça n’a rien à voir avec les Loups, mais je vais continuer. 

Comme tu peux le voir dans l’article précédent, Les Loups racontent – 2, tu n’es pas la seule dans ce cas. Tu dois comprendre le mécanisme que l’on appelle l’habillage des perceptions.
 
Quand on est témoin d’une manifestation inédite, flash d’énergie ou tout autre chose anormale, on ne la voit pas dans sa vérité, qui pour nous ne correspond à rien… le plus souvent !Au lieu de ça, on habille ce phénomène avec des éléments familiers tirés de notre base de données, que Castaneda appelle notre inventaire. Telle personne verra la Vierge, une autre verra des aliens, une troisième verra Bouddha. Chacun voit les mystères en fonction de ce qu’il est et ce qu’il croit. Ce qui ne veut pas dire que les mystères n’existent pas, bien au contraire. Ils existent et sont irréductibles, voire effrayants. Le monde infini qui commence là-dehors est un univers prédateur. (la suite ici)
 
Pour pouvoir voler en astral et te souvenir de tes rêves, je te prête l’énergie nécessaire pour pouvoir rêver en conscience. Mais au réveil, ton cerveau « habille » le rêve avec des couleurs plus acceptables : dans ton cas, des souvenirs familiaux. Mon rôle est de décrypter ce qui ressemble à des rêves ordinaires pour éclairer la vérité astrale qui s’y cache. N’hésite pas à me raconter ce que tu prends pour des rêves normaux, en changeant les noms par respect, et je te donnerai la clé pour les interpréter.
 
 

 

Aymeric

J’ai lu les retours que tu as publiés, vraiment très intéressants. De mon côté, j’ai vraiment l’impression de ne pas participer tellement je ne me rappelle de rien. Cela vient sûrement d’une période difficile de ma réalité « ordinaire ». Je suis très perturbé en ce moment et ne dors que très peu. J’espère raccrocher d’ici la fin de semaine.

Oui, je suis certain que tu vas vivre l’aventure avec nous. D’ailleurs tu la vis déjà, mais tes préoccupations actuelles masquent l’astral avec l’habillage au réveil… Voir ci-dessus, ci-dessous, et chez tous les Loups à des degrés divers.

 

 

Stéphanie

Nuit timide encore. Toujours ce vrombissement intérieur quand tu appelles. Cette fois-ci ça m’a réveillée. Le rêve qui m’a semblé avoir un minimum de sens même si je ne le comprends pas : je suis sur un grand disque, il me semble qu’il y a les autres Loups.

Sur ce disque il y a une chouette stylisée. Comme celle d’Athéna qu’on trouve sur les monnaies grecques anciennes.

Le reste est du rêve classique, un homme qui m’a brisé le cœur, le décès de mon père. Je l’ai senti passer l’initiation des 21 ans !

La photo de Noémie que tu as mise est tellement belle !

 

La photo, oui. Noémie plus encore.

Un dicton philosophique dit ceci : La chouette d’Athéna prend son vol au crépuscule. La sagesse de notre mère Athéna se manifeste dans l’ombre plus vivement que dans la pleine lumière.

Quant aux rêves classiques, je te renvoie au long commentaire que j’ai fait à Monique, juste au dessus du tien.

 

 

Virginie

Je n’ai malheureusement pas encore de souvenirs de notre voyage de cette nuit 😕  Mais j’ai eu une pensée pour toi ce matin : tu vas bien ? Ça ne te fatigue pas trop cette expérience ?

Merci de ta sollicitude, chère Virginie. Toute ma vie est engagée dans ce sacerdoce, compagnon passant du devoir. Un nagual est dit passant. Il ne fait que passer, et permet aux autres de passer à travers lui.

Le nagual est porte et porteur. Oui, porteur de lumière, tel est son devoir. En cet âge des ténèbres, c’est un rude devoir : le travail ne manque pas.

Pour ton absence de souvenir, tu trouveras une réponse dans les autres récits. Il se peut qu’un rêve ordinaire, classique, ne le soit qu’en apparence. Il se peut qu’il cache de véritables souvenirs du vol astral « habillés » par notre cerveau, ce traître.

 

Gisèle

Moins d’images cette nuit. Au début, je vois juste une grande pyramide, elle prend toute la place, je ne vois qu’elle, elle est dans les tons bruns. Ensuite, je revois des loups, un ou deux à la fois, par ci par là…

Un moment donné j’entends une plainte, un loup est couché en rond, il est très triste, il me dit qu’il n’y arrive pas, alors je lui dis, viens avec moi et nous partons rejoindre le groupe. Après les images deviennent chaotiques. 

Ce matin, en me réveillant, j’ai l’impression que je viens de vous quitter et que l’on a vécu quelque chose d’intense mais absolument aucun souvenir.

Oui Gisèle, nous vivons une intensité rare. Vous vous approchez tous de la vérité vécue, elle est si intense que ça vous aveugle, vous n’osez pas la regarder en face, mais franchement vous n’en êtes pas loin du tout.

 

 

Daniel

Retour de randonnée, nous arrivons dans l’arrière-cour d’une auberge où pas mal de monde s’affaire. La salle principale est bondée.
Nous sommes accueillis par une fratrie de jeunes hommes forts, grands, larges d’épaules, la chemise ouverte et les manches relevées, le sourire aux lèvres, l’esprit vif et l’humour subtil. L’ainé m’adopte et on déambule comme de vieilles connaissances. Il veut que je trinque avec eux, je me sens pris au piège, je ne veux pas boire d’alcool. Il tente de me convaincre de me laisser aller. Je suis sur la défensive, je sais que l’alcool ne me réussit pas.

Si personne ne me retient, je pars avec ma femme, je ne suis qu’à une heure de marche. Nous sortons de l’auberge pour descendre dans la rue en contrebas. (Attention des frelons asiatiques !) Il y a une foire avec des étals et beaucoup de monde.
Je presse le pas pour ne pas entendre les récriminations de ma femme « C’est toujours pareil, on aurait pas dû s’arrêter, tu te fais tout le temps avoir et après tu es malade et nanani nanana… Nous traversons la foire vers la sortie du village.

Là, mon Daniel, tu nous racontes une belle histoire, tout à fait vraie dans le fond, mais bien maquillée par l’habillage. Ton arrière-cour n’est pas celle d’une auberge, mais d’un équivalent extra-terrestre qui a été reconnu par Noémie, c’est dans ce genre de cour qu’elle a vu les élans timides. 

Tu y es accueilli par des Alcoriens, le chef t’offre de partager la boisson rituelle, tu refuses par méfiance, et tu nous habilles ça par de l’alcool. C’est une boisson magique que tu aurais pu boire. J’y ai goûté, ça fait du bien par où ça passe.

Tu traverses un marché très exotique (frelons asiatiques) toujours sur Alcor. Tu ne reconnais ni les êtres étranges à tête d’animaux, ni les produits qu’ils vendent ou qu’ils troquent ou qu’ils donnent…

Le maquillage sera bientôt abandonné, tu en prends le chemin, accroche-toi c’est à portée de main. Demain ?

 

 

Noémie

Dans un endroit inondé que je traverse avec d’autres personnes, nous faisons demi-tour car c’est trop profond pour poursuivre. Une Louve tombe et s’engloutit, je plonge et ne la trouve pas, réveil en panique!
 
Un petit feu s’allume sur toi, d’abord pas plus grand qu’une flamme. En posant mes mains pour l’étouffer, il s’étale et trouve toujours un moyen de rester. Il finit par s’éteindre avec l’aide d’autres Loups.
 
Deux élans qui me fuient et me suivent en même temps, à la fois apeurés et curieux, ils veulent jouer. Dans cet environnement mi-naturel mi-cour sur jardin, il y a des gens avec comme des masques-visages d’animaux irréels.
 
Les lieux humides, inondables, sont une des caractéristiques d’Ur en Alcor où vivent de nombreux amphibiens. Le feu sur moi est la douleur que j’ai prise à Odette qui l’avait absorbée pour guérir quelqu’un. Je vais l’en débarrasser bientôt, le feu sera éteint grâce à vous tous, mes Loups magiques. Tu as reconnu l’arrière-cour de Daniel comme le lieu des élans timides.
 
Les élans ne sont pas des animaux mais des êtres divins à cornes plates comme les élans terrestres. Sur Ur d’Alcor, il y a beaucoup d’êtres à la face d’animaux, ceux qu’on retrouve à l’identique dans les panthéons égyptiens et hindous.
 
Ton habillage se réduit, tu vas bientôt y voir clair, comme Daniel, Éric… et toute la meute !
 
 
 
 

Estelle

Quelle déception ! pas de souvenirs de mes rêves de cette nuit. Je me suis préparée pourtant : couchée pas trop tard, conscience sur chakra et enveloppes (ton article m’y a invitée 😉 … et comme c’est bon ! 
 
Je me suis rendu compte de blocage dans la circulation. Et avec ces sensations de fusées sous les pieds je me suis dis que j’allais vous rejoindre en moins de 2 !! Peut-être que oui, mais plus de souvenirs.
 
J’adore lire tes compte rendus. Je souris, je ris : c’est top. Et j’y apprends que nous sommes deux à vivre une lombalgie (je compatis). 
 
Je te remercie Xavier pour ta reformulation, les infos que tu nous donnes et ton guidage ! C’est enivrant, ça donne du courage et renforce l’intention, ça aide à garder conscience de cette aventure collective. Je lâche rien !
 
J’ai hâte de me souvenir de nous tous, louves et loups. Avec loove
 
Merci mon Estelle. T’inquiète, ça va venir. Ne te mets pas trop la pression, endors-toi comme tu l’as fait, avec un plaisir sensuel et surtout pas dans tes pensées, inquiétudes, etc. Le blocage est dans ta tête, et la fusée sous tes pieds. Choisis plutôt les pieds 😉
 
 
 
Eric

Je rentre de chez mon fils où j’ai passé la nuit. C’est la première fois que j’essaye de voler hors de chez moi. Les conditions étaient un peu spartiates mais ça n’a pas changé grand chose.

Dès le départ un flash blanc puis un objet cylindrique qui vole dans l’espace. Il y a une flamme à l’arrière, c’est une fusée.

Dans l’obscurité je vois un masque funéraire égyptien en or et lapis lazuli de dessous. En me rapprochant, je constate qu’il se prolonge d’un corps de sphinx. Il n’y a rien autour que l’obscurité. L’ensemble se transforme en sphinx à tête d’Anubis, puis à tête de Thôt, puis à tête d’Horus avant de finir en corps et tête de singe cynocéphale. Le singe semble n’a pas d’yeux. Je m’approche, je suis happé par la cavité orbitale et de nouveau plongé dans un univers sombre, un nouvel espace.

Fusée encore. Vous êtes plusieurs à en parler. Là nous sommes allés sur Ur, planète d’origine de la Déesse, sous le soleil d’Alcor dans la Grande Ourse. Vous avez bien senti le trajet, l’arrivée, quoi que nous n’ayons pas besoin de fusée en astral. D’ailleurs par la suite tu ne te sers d’aucun moyen de locomotion pour plonger dans un nouvel univers au fond des yeux du singe.

Anu-bis est le double d’Anou qui n’est autre que la Déesse Ana masculinisée, et Thot n’est pas un individu mais un peuple. Voir Tuath de Tuatha, ou Tout Atis pour Teuth Hadès, le peuple du dedans. Éric, tu m’épates, cher ami. Tu tournes autour des faits avec une pertinence de clairvoyant.

 

 

 

 

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Confucius