Oui, ça urge grave !! Je me répète de joie, je la ramène ainsi soit-il, je persévère de terre, sans jeux de mots laids pour gens bêtes, sans humour car y a vraiment pas de quoi. Je suis cassé, passé, tassé : je suis lassé d’être repassé. Même en début de panique, j’avais gardé confiance, je l’avais pas (trop) dit, cette fois JE LE HURLE !!!
Toi qui me lis depuis 17 ans, ou depuis peu de temps, toi qui t’instruis d’un savoir que tu ne trouveras qu’ici, toi qui te revigores à ma source vive, inépuisable, tonique et stable, toi qui ris de bon cœur à mes jeux de mots laids 😆
…n’oublie pas combien fragile est la survie de ton site préféré.
Ce que je révèle est inutilisable aujourd’hui. J’ai beau m’époumoner, je reste inaudible. Depuis 2008, mon effort constant se heurte à un mur hostile. Impénétrable. Certes, vous êtes quelques centaines à vous intéresser à mes éluicubrations. J’en voudrais mille fois plus. Aucune prétention de ma part, je déverse la vérité (la mienne) à 7 millions de lecteurs, et je devrais me contenter d’en épanouir quelques centaines ?
Ai-je le choix ? Non. Que faire d’autre ? Rien. Seul un hurleur d’évidences peut rectifier la course folle de cette humanité. Peut-il y arriver ? Le passé nous dit que non. À force de s’égosiller dans le vide, les hurleurs se rendorment tous, comme Vinci, Cheikh Anta Diop, Pathé Diagne, Bob Marley, Spinoza, Nietzsche, Van Gogh, Balavoine et tant d’autres…
Je me suis réveillé pour voir que tous les autres dormaient encore. Alors je me suis rendormi.
Toujours la même histoire. Ils ont voulu changer le monde, mais le monde n’a pas voulu changer. Ce programme se répète en boucle et sans cesse nous tire vers le bas. Non seulement le monde ne change pas, mais il nous change tous, qui que nous soyons. Ce vieux monde mal conduit nous aplatit, nous écrase, nous dame, nous escagasse, nous ratatine et nous étale. C’est tout ce qu’il sait faire en kali yuga. Les hurleurs le comprennent trop tard à leurs dépens.
Ils ont crié, ils se sont enroués à force de hurler. En vain. Leurs voix perdues, leurs corps en terre, ils retournent d’où ils sont venus … pâles et menus … gelés et nus … tristes et ténus … Alors que le monde continue sa course folle vers un destin palpable. Inévitable. La lumière qui brille en eux pourra bien en éclairer d’autres – à leur tour ils passeront et seront oubliés pour que rien ne change.
Sauf le destin inéluctable.
Tout ce qui arrive est voulu. Oh pas par les archontes, nos mauvais maîtres actuels. Ni par les démons qui ne sont pas si méchants. Aucun dieu n’est à blâmer, ils ne font que s’incliner.
Toujours le destin gagne.
Est-il trop tard pour moi ? La faux du destin destroy va-t-elle me couper la chique et la quique ? Je suis un homme simple. Je n’ai ni l’importance ni le talent de ces grands hommes. Comme eux cependant, j’ai consacré ma vie à chercher la vérité sous les ombres mouvantes que des pervers insensés agitent devant nos yeux. La vérité, ils nous la cachent.
Macache !
Aucune illusion. Il y a si peu d’éveillés que nul n’est à blâmer. La plupart des humains sont trop fatigués pour se rebeller. Aucun reproche. Ceux qui m’aiment ont voulu m’imiter. L’un après l’autre, ils abandonnent. Aucun regret.
Silence de mort.
Ce que je raconte ici n’est pas dans les livres. J’ai bravé trop de tabous, violé tant d’interdictions, décoché tant de flèches, corrigé trop d’erreurs. La pensée unique m’a banni. Le bien-être – la pénitence ? – me permet de répondre aux caprices. Je suis impitoyable, inéluctable, impubliable. Comme tout ce qui est indispensable.
–Publier Xavier ? Vous déconnez !!
Quel éditeur prendrait un tel risque ?
Ancien éditeur moi-même, je sais de quoi je parle. Les idéologies, sectes, religions, partis, coteries, clubs et clans sont tout puissants. J’ai reçu des insultes, des anathèmes, des menaces aussi. Nul sage ne s’en soucie. Il ignore la bassesse et la calomnie. Je ne suis pas encore un sage, je rame, je rame – mais je m’y tiens.
J’appartiens à l’ancienne tradition des enchanteurs. De tout temps, ils cherchent la beauté au milieu des horreurs. Ils exaltent ce qui va vers le meilleur, le plus haut, l’éveil. Ils s’accrochent aux rêves de plaisir, aux êtres qui rendent confiance en l’humanité décimée. Étêtée. Décapitée. Sabrée. Moribonde…
Je loue les actes d’amour. Don de soi. Dévouement. Bénévolat. Tout ce qui élève, ce qui grandit et te rend heureux, ce qui te rassasie. Je réenchante ce monde immonde qui sombre sous le nombre. J’exalte l’autre sens.
snes ertual etlaxej
Mes jours sont comptés. Mes réserves aussi. Mes économies ont vécu. La chance tourne, les dettes s’empilent. La sagesse voudrait que j’arrête les charges. Et que j’arrête Eden Saga. Retraité sans ressources520€ par mois !, je m’épuise en vain. Le jour point où je n’aurais plus rien. Et je le vois venir à toute blinde. Les bienfaiteurs ne s’intéressent pas aux conteurs. Ni aux éveilleurs.
Mon seul recours, c’est toi.
À bol tendu, justice rendue, dit l’archaïque proverbe que je viens d’inventer. Mais c’est illusion. Nul n’invente rien. Les plus grandes découvertes ont été faites il y a si longtemps que si je te dis quand, tu riras. Nul ne me croira. De fallacieux programmes ont bercé l’enfance, l’école, les années collèges, la vie lycéenne, les études supérieures — si jamais tu as eu la malchance d’en faire.
Est-il encore temps de redresser la barre ? Les multiples barrières entre un savoir filiforme, les données déformées qui t’ont fait ? Le réel surfait ? Le mental imparfait ? Ce monde défait a tué le monde des fées. Le bel effet !
Chère lectrice, cher lecteur, je ne peux compter que sur toi. Vois au fil des mois ce que tu as reçu ici. Combien vaut une vie de recherche et de dons ? Certains me donnent beaucoup, toujours les mêmes. Ils se comptent sur les doigts d’une main. Leur bienveillance et leur générosité ne compensent pas l’absence des autres.
Depuis sa création, à travers ses deux versions, française et anglaise, Eden Saga a reçu 7 millions de lecteurs dans 170 pays. Ce nombre pourrait se transformer en revenus. Mais non. Je ne mettrai pas de pub sur ce site. Jamais. Non, je ne publierai pas un livre. Je le donne en pdf. Tout ici est gratuit, tout le restera jusqu’à ma mort. Et après.j’espère…
J’ai commencé cet appel en évoquant ces grands hommes vaincus par la bêtise et l’ignorance des minus. Est-il déjà trop tard pour moi ? Subirai-je le sort de ces génies ? Je suis un homme simple. Je n’ai ni l’importance ni le talent de ces géants. La visibilité, encore moins ! À leur suite pourtant, j’ai consacré ma vie à chercher la vérité derrière les ombres mouvantes que de mauvais guides agitent devant nos yeux. Je les ai démasqué avec obstination.
Sans illusion…
L’aventure Eden Saga entre dans sa dix-huitième année. Ce n’est pas rien. La grande fille va-t-elle rejoindre le cimetière des fantasmes abattus par ce monde vénal ? Fais que ton obole tombe dans mon bol. Pour être efficace, ne te fends pas d’un billet de donne bonne conscience qui aussitôt disparaît dans le gouffre de mes frais.
Ce que je te suggère, c’est un don régulier, mensuel.
Donne ce que tu peux, une somme qui équilibre le don que je te fais quinze fois par mois.
Ce que tu donneras m’est cher. Quelle que soit la somme, c’est tout comme. Merci du fond du cœur — le mien n’a pas de fond(s).
Merci infiniment !
Dans ce monde de mensonges, seule est vraie ma sincérité.
Anna, sainte-vierge et Déesse-Mère, vit depuis si longtemps qu'on a oublié son âge.
En 1989, une idée géniale a sauvé mon agence de communication qui battait de l'aile...
C'est admirable ce que tu fais. Tu me permets d'avancer le gigantesque puzzle d'Eden Saga.
Petit ou grand, un puzzle se commence par les bords, les pièces sont plus faciles…
Deux siècles après sa mort, Heine reste un écrivain discuté, surtout dans son propre pays.
Dépêchez-vous, mangez sur l'herbe, un de ces jours, l'herbe mangera sur vous. (Jacques Prévert)