Avec vous mes Loups, mes Louves, avec la chère meute qui monte au ciel et rayonne et claironne et sillonne une terre inconnue –que vous semblez si bien connaître, et tant vous y plaire, comme si vous la fréquentiez depuis toujours– formons le vœu que l’aventure se poursuive et qu’elle dure aussi longtemps que notre émerveillement.
Les Loups Volants – club de parapente en Drôme provençale
Rien à raconter ce matin désolée, black-out total. M’en vais lire nos aventures sur ton site.
Attends je crois que j’ai vu un visage… Je pensais être face à une glace, j’essayais de m’enlever de la peinture bleue que j’avais sur le bout du nez. Mais en y réfléchissant, ce visage n’était pas du tout le mien. En fait j’avais quelqu’un en face de moi qui me souriait. Elle avait du bleu sur son visage. Un joli visage de fée au nez un peu retroussé.
Une schtroumpfette ?
Je suis encore dans une maison avec des personnes que je ne connais pas mais qui me sont familières dans ce rêve. C’est la meute ? Je ne distingue pas leur visage. Nous sommes en cours, en apprentissage mais je ne me souviens plus de quoi.
Tu t’en souviendras bientôt. La totalité de cet enseignement reste gravé en toi.
L’autre rêve dont je me souvienne était sur le matin. Je ne sais pas s’il a un rapport avec les loups. Je suis encore dans une espèce d’internat, il y a des amis réels.
La meute des Loups sont tes amis bien réels.
Le reste s’est effacé, c’est frustrant.
Il est dans ton inconscient, il va sortir bientôt, comme le petit oiseau de l’appareil photo.
Tous mes rêves tournent depuis le début autour de lieux connus.
Je ne crois pas. Tu reconnais les lieux que ton cerveau te présente au réveil, parce qu’un habile programme d’habillage remplace les lieux de ton rêve par des lieux plus acceptables. Mais je peux te garantir que tes rêves ne se déroulent pas dans des lieux connus… Oh que non !
En lisant les rêves des autres loups, je vois qu’il y a des recoupements avec la grotte, les montagnes, l’arbre… On voit bien qu’il y a un lien !
Dans mon premier rêve, on se promène avec des amis (la meute) dans une ville futuriste, de nuit, avec plein de néons, de lumières colorées et des écrans géants partout ! Là je vois une grande baie vitrée avec une sirène qui se trémousse à l’intérieur. Le pire c’est que ça ne me choque pas. Comme si je connaissais. Et que c’était pas la première fois que je voyais ça. Ça me faisait marrer en plus !
Chaque fois qu’un Loup voit de l’eau –et c’est très fréquent depuis le début– c’est l’effet de l’écran géant : comme si on vivait une scène hyper réaliste à travers une fine pellicule de flotte.
D’un seul coup, la sirène est remplacée par un sirénien mâle! (= un triton) D’un coup encore, il se fait attaquer par hybride sirène-monstre marin. Ne reste que la dernière version dans le bassin. Ou bien cette vitre n’est qu’un écran? Ça pourrait être la fameuse salle de ciné 5D?
Ouais mon Kev. Tu étais dans l’amphi géant 1305D, et pour les deux rêves. Ainsi que tous les autres depuis le début.
C’était un peu mieux hier, je revois toujours notre meute de loups, on a survolé des paysages… mais trop flous pour te les décrire. (surtout trop inhabituels, les mots te manquent…) Je sens la présence des loups, même dans la journée. Quand je pense à vous tous, je vais mieux, je ressens de l’amour qui m’accompagne, merci à tous! J’en ai les larmes qui me montent aux yeux en écrivant.
Merci à toi, chère Gisèle.
Nuit en sommeil étrange : dans mon lit semi-éveillée et dans le monde des rêves. J’ai la nette impression d’avoir intégré les témoignages des Loups publiés hier. Un Iroquois en train de danser, image sans aucun son, une transmission de savoir à mon intention. Comment je le sais ? Je le sais.
Et moi je vois un grand amphi face à un écran relief gigantesque.
D’autres rêves se sont effacés, je sais que j’oublie quelque chose d’important.
Oui : l’essentiel. Mais ça te reviendra, promis !
Nous sommes en voiture tous les deux, Xavier. C’est toi et c’est mon père à la fois — pourtant je ne rêve jamais de lui. On est sur la Costa Brava. On cherche un restaurant pour que les autres nous rejoignent. On traverse une salle de restaurant pour s’installer dans le jardin. Tu me dis que c’est sympa ici, tu connais tu es déjà venu avec mon oncle de Majorque. Tapas, apéro, ambiance joyeuse. La patronne nous prépare une table malgré l’affluence. Les autres arrivent. C’est ma mère, mon frère et mes enfants.
Non, ce sont des Loups de la meute.
On doit monter en haut d’un building. Il y a un passionné de jeux et de jeux vidéos avec nous. À un étage, il veut jouer et pénètre dans une pièce transparente où il doit récupérer des mini ballons. On a pas de temps à perdre, on va l’aider pour que ça aille plus vite. Le jeu fini, il en ferait bien un autre. Bon, ça va maintenant!
On reprend l’ascension dans les étages. On se retrouve dehors dans les rues pavées de briques rouges de Paris. Il y a plein de rails de métro, de tram qui se croisent. La ville est sur une colline, on doit la gravir,il y a beaucoup de monde.
On a perdu notre 3e comparse. Je prends un drone ou bien je m’élève vers le haut de la colline pour le situer. J’arrive en bordure d’un boulevard où il y a des guirlandes de LEDs et des brumisateurs qui diffusent des gouttelettes.
– Le haut de la ville est juste là.
-J’ai eu idée, dit ma femme, je vais poser la question à l’I.A.
-Où se trouve la personne avec la veste verte que j’ai confectionnée?
Pas de réponse. On décide de refaire le chemin à l’envers mais les rues sont vides. On se retrouvera à la gare…
Quelles rues pavées de briques rouges de Paris ? Jamais vu ça. Dis-toi que tu n’es pas à Paris, ni même ailleurs sur terre. Là où tu es, rien ne ressemble à chez nous.
En haut de l’immeuble, tu te retrouves au rez de chaussée. Tout ça est une démo sur écran gigantesque avec des images hyper réalistes.
Une fête sous un saule pleureur en chatons avec de magnifiques branches jusqu’à terre. J’installe un groupe électrogène. Il tombe quelques gouttes, je le mets à l’abri sous le saule. Il pleut des cordes, des seaux d’eau.
Je me mets en colère quand je vois qu’on a repoussé mon groupe sous la pluie. La colère s’estompe car les enfants jouent sous le saule et auraient pu se brûler avec l’échappement. Un nourrisson (une poupée de chiffon?) gît par terre.
Comme les autres années, tu rêves en marge de la meute, mais tu comprendras bientôt comment tout se complète et à quel point ça concorde.
Toutes vos aventures nocturnes se passent en groupe. Il s’agit de la meute des Loups de l’Astral. Mais vous vous voyez toujours en personnes humaines, pas en Loups. De même, vous changez les décors en environnement terrestre.
Vous êtes très souvent en hauteur, en l’air même, pourtant vous n’avez jamais l’impression de voler. Vous n’avez pas non plus l’impression d’être enseignés. C’est pourtant la vérité.
Oui, nous sommes enseignés toutes les nuits, avec patience et méthode. Au réveil, ça s’efface, mais rien n’est oublié. La totalité reste à jamais gravée en nous, dans notre inconscient. Le but de ces rêves réels consiste à vous faire entrer dans votre inconscient — ce qui est l’apanage des éveillés.
En règle générale, il y a beaucoup d’oublis, de confusions, d’interprétations tordues. Il y en aura de moins en moins au fil des nuits. La réalité que nous vivons en rêves devient de plus en plus présente, concrète. En recoupant vos rêves, tout y est, ou presque.
Pourtant je préfère vous en dire le moins possible, histoire de ne pas vous voler vos découvertes. Ni votre éveil.
pour la 3e session des Loups de l’Astral du 7 mars soir au 14 mars matin
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