Categories: Astral Tours

Les Loups racontent – 5

 

Avec vous mes Loups, mes Louves, avec la chère meute qui monte au ciel et rayonne et claironne et sillonne une terre inconnue –que vous semblez si bien connaître, et tant vous y plaire, comme si vous la fréquentiez depuis toujours– formons le vœu que l’aventure se poursuive et qu’elle dure aussi longtemps que notre émerveillement.

Les Loups Volants – club de parapente en Drôme provençale

 

 

Huitième nuit

 

Virginie

La fée bleue

 

Rien à raconter ce matin désolée, black-out total. M’en vais lire nos aventures sur ton site.

Attends je crois que j’ai vu un visage… Je pensais être face à une glace, j’essayais de m’enlever de la peinture bleue que j’avais sur le bout du nez. Mais en y réfléchissant, ce visage n’était pas du tout le mien. En fait j’avais quelqu’un en face de moi qui me souriait. Elle avait du bleu sur son visage. Un joli visage de fée au nez un peu retroussé.

Une schtroumpfette ?

 

Stéphanie

Lieux connus

 

Je suis encore dans une maison avec des personnes que je ne connais pas mais qui me sont familières dans ce rêve. C’est la meute ? Je ne distingue pas leur visage. Nous sommes en cours, en apprentissage mais je ne me souviens plus de quoi.

Tu t’en souviendras bientôt. La totalité de cet enseignement reste gravé en toi.

L’autre rêve dont je me souvienne était sur le matin. Je ne sais pas s’il a un rapport avec les loups. Je suis encore dans une espèce d’internat, il y a des amis réels.

La meute des Loups sont tes amis bien réels.

Le reste s’est effacé, c’est frustrant.

Il est dans ton inconscient, il va sortir bientôt, comme le petit oiseau de l’appareil photo.

Tous mes rêves tournent depuis le début autour de lieux connus.

Je ne crois pas. Tu reconnais les lieux que ton cerveau te présente au réveil, parce qu’un habile programme d’habillage remplace les lieux de ton rêve par des lieux plus acceptables. Mais je peux te garantir que tes rêves ne se déroulent pas dans des lieux connus… Oh que non !

 

Estelle

Filature sans mobile

 

Je suis sur la route, (ou en l’air ?) un circuit dans une ville. Il y a beaucoup de monde. Il faut ralentir dans les virages alors que je suis pressée, on m’a chargé d’une filature. (qui? pourquoi?) Je passe par une salle, une station-service où il y a un comptoir pour manger debout. J’ai l’impression de surveiller une employée, est-ce elle que je dois suivre ?
 
Dans une sorte de camp de vacances, des personnes se déplacent en groupe. (en meute ?) Nous avons des activités programmées que nous devons suivre. Elles sont assez éloignées les unes des autres. J’ai un vélo (un vélo, vraiment ?) mais je choisis d’être à pied et de courir (de voler?)  à côté des autres vélos. (encore des vélos, tu es sûre ?) Je n’arrive pas à gérer cette programmation, je me contente de suivre le groupe (la meute?) je les interroge et je les suis sur les pistes cyclables (toujours à pied à côté des vélos?) vers les lieux d’hébergement. Pas mal de béton dans tout ça et bien peu de nature. Du grillage aussi et beaucoup de monde. J’ai des choses à y faire, je ne sais pas quoi. (oui je vois ça!)

 

 

Neuvième nuit

 

Kevin

Dans l’amphi géant

 

En lisant les rêves des autres loups, je vois qu’il y a des recoupements avec la grotte, les montagnes, l’arbre…  On voit bien qu’il y a un lien !

Dans mon premier rêve, on se promène avec des amis (la meute) dans une ville futuriste, de nuit, avec plein de néons, de lumières colorées et des écrans géants partout ! Là je vois une grande baie vitrée avec une sirène qui se trémousse à l’intérieur. Le pire c’est que ça ne me choque pas. Comme si je connaissais. Et que c’était pas la première fois que je voyais ça. Ça me faisait marrer en plus !

Chaque fois qu’un Loup voit de l’eau –et c’est très fréquent depuis le début– c’est l’effet de l’écran géant : comme si on vivait une scène hyper réaliste à travers une fine pellicule de flotte.

 

D’un seul coup, la sirène est remplacée par un sirénien mâle! (= un triton) D’un coup encore, il se fait attaquer par hybride sirène-monstre marin. Ne reste que la dernière version dans le bassin. Ou bien cette vitre n’est qu’un écran? Ça pourrait être la fameuse salle de ciné 5D?

Ouais mon Kev. Tu étais dans l’amphi géant 1305D, et pour les deux rêves. Ainsi que tous les autres depuis le début.

 

Dans le second rêve, on est plusieurs Loups à mener une enquête sur un vol dans un musée. Plusieurs binômes. Avec mon équipier, des indices nous font douter du suspect. On prévient les collègues que le responsable est Untel (dans le rêve j’avais le nom) et qu’il est dangereux ! Sauf que personne ne répond au bout du fil.
 
En sortant de la voiture, je regarde mon téléphone et je vois que l’appel a été ignoré. Une notif dit qu’Untel a volontairement bougé son sac à dos, ce qui est une fraude bien connue (dans le rêve).  Ce qui nous fait comprendre que les collègues ont un problème. Ils sont bien avec le coupable et n’ont pas reçu l’appel. Donc on se dépêche.
 
 
En rejoignant le musée, sur le parking on se cache derrière une voiture, parce qu’en fait ils sont plusieurs à être armé et à surveiller l’entrée. Quelqu’un s’approche de la voiture. Je prépare mon téléphone de façon à pouvoir lui asséner un coup sur le crâne. Au moment où j’allais le faire, c’est une collègue qui passe ! (une Louve?)
 
La surprise passée, je range mon téléphone. C’est terminé, nous dit-elle. Effectivement, on voit que l’équipe arrête les responsables du vol, des employés du musée !  On les cuisine un peu pour avoir plus d’infos sur les complices et le receleur. Je me réveille.
 
En fait il ne s’agit pas d’un vol, mais d’un trafic de matières fissiles pour un conflit nucléaire sur Aldébaran, je crois.
 
 
 
 

Noémie

Trois rêves qui s’interpellent

 
En commençant à écrire mon dernier rêve, les rêves précédents me sont revenus petit à petit comme ça m’est déjà arrivé la semaine passée, ça fait un effet incroyable.
 
1er rêve
Je suis avec un autre loup que je vois en homme de 30 ans, bien rasé, il me parle de ses enfants. Un ami que je connais a un souci : pour enquêter et trouver une solution à son problème, nous avons une dizaine de boîtes en carton type boîte à chaussures en rapport avec lui.
 
Elles contiennent des souvenirs en rapport avec cet ami, mais mes yeux les retranscrivent en perles et plein de matériel de mercerie. (Peut-être en rapport avec un rêve de Kévin ? : Je fouille dans un tiroir et je trie des papiers et des objets étranges, ronds et colorés. ) Nous les trions par importance et essayons de deviner l’usage pour certaines pièces anciennes.
 
Tu arrives avec quelqu’un (?) et tu nous conseilles en éliminant du premier coup d’œil certains objets. Nous cassons des œufs directement sur une table, les jaunes d’œuf sont étranges : intérieur fripé et marron orangés. Nous avions oublié que les œufs étaient très vieux, nous ne devons pas les utiliser.
 
2e rêve
Je travaille dans une usine où il n’y a que des femmes comme ouvrières. Elles n’ont pas les visages harmonieux que je connais : une a des arcades sourcilières proéminentes, une autre a toute une zone de cheveux rasée qui part presque du milieu du front jusqu’au sommet du crâne.
 
Aliens ?
 
Les hommes que je croise ont un grade supérieur, l’un d’eux, grand et en longue blouse blanche, me demande si le travail me plaît : je lui réponds que je ne suis là que depuis 3 jours, et je pense intérieurement que je ne resterai pas ici, et lui s’en va sans rien dire.
 
Le travail n’a pas l’air plaisant…
 
Fin de journée de travail, il y a deux chariots (que je vois comme des chariots de blanchisserie) restés dehors,  je veux les ranger mais ce n’est plus possible car le hangar est fermé. Je les déplace un peu sans me rendre compte qu’ils sont protégés car attachés avec une chaîne rouge. J’ai enlevé leur stabilité en les bougeant, il ne tiennent plus tous seuls et j’essaye de les retenir et de les freiner comme je peux: la terre est étrange et mouvante sous les chariots.
 
Est-ce seulement de la terre ? J’en doute.
 
Un autre homme vient m’expliquer comment faire : il faut sauter à pieds joints à chaque pieds des chariots le plus rapidement possible (ou simultanément en m’aidant ?). (bonjour l’habillage!)
 
Je n’aurais pas mieux conclu.
 
3e rêve
Je suis assise à côté de toi dans un grand bus, je suis côté fenêtre. Derrière moi il y a une jeune femme qui me rappelle quelqu’un, et il n’y a personne à côté d’elle. Nous sommes une cinquantaine de personnes dans ce bus, et tu es peut-être le seul homme.
 
Le seul, oui…
 
Une femme au fond du bus nous propose de prendre une position type yoga, je comprends qu’il faut relever la jambe droite, mettre le pied sur le siège et écarter la jambe à droite. A l’arrière encore, des femmes explosent de rire en imaginant celles qui sont en jupe courte ! Deux personnes me donnent une carte mémoire type sd, je la mets dans ma bouche en me donnant des explications que je n’écoute pas.
 
J’ai dû supprimer la suite, ne m’en veuille pas.
 
…Du coup j’ai eu du mal à me rendormir, mais je me sens très bien ce matin ! Comme si me souvenir de mes rêves me donnait de l’énergie, c’est excitant !

 

 

 

Gisèle

Merci aux Loups!

 

C’était un peu mieux hier, je revois toujours notre meute de loups, on a survolé des paysages… mais trop flous pour te les décrire. (surtout trop inhabituels, les mots te manquent…) Je sens la présence des loups, même dans la journée. Quand je pense à vous tous, je vais mieux, je ressens de l’amour qui m’accompagne, merci à tous! J’en ai les larmes qui me montent aux yeux en écrivant.

Merci à toi, chère Gisèle.

 

Stéphanie

Intégration des témoignages

 

Nuit en sommeil étrange : dans mon lit semi-éveillée et dans le monde des rêves. J’ai la nette impression d’avoir intégré les témoignages des Loups publiés hier. Un Iroquois en train de danser, image sans aucun son, une transmission de savoir à mon intention. Comment je le sais ? Je le sais.

Et moi je vois un grand amphi face à un écran relief gigantesque.

 

D’autres rêves se sont effacés, je sais que j’oublie quelque chose d’important.

Oui : l’essentiel. Mais ça te reviendra, promis !

 

Nous sommes en voiture tous les deux, Xavier. C’est toi et c’est mon père à la fois — pourtant je ne rêve jamais de lui. On est sur la Costa Brava. On cherche un restaurant pour que les autres nous rejoignent. On traverse une salle de restaurant pour s’installer dans le jardin. Tu me dis que c’est sympa ici, tu connais tu es déjà venu avec mon oncle de Majorque. Tapas, apéro, ambiance joyeuse. La patronne nous prépare une table malgré l’affluence. Les autres arrivent. C’est ma mère, mon frère et mes enfants.

Non, ce sont des Loups de la meute.

 

 

Daniel

Les rues de Paris sur un building

 

On doit monter en haut d’un building. Il y a un passionné de jeux et de jeux vidéos avec nous. À un étage, il veut jouer et pénètre dans une pièce transparente où il doit récupérer des mini ballons. On a pas de temps à perdre, on va l’aider pour que ça aille plus vite. Le jeu fini, il en ferait bien un autre. Bon, ça va maintenant! 

On reprend l’ascension dans les étages. On se retrouve dehors dans les rues pavées de briques rouges de Paris. Il y a plein de rails de métro, de tram qui se croisent. La ville est sur une colline, on doit la gravir,il y a beaucoup de monde.

On a perdu notre 3e comparse. Je prends un drone ou bien je m’élève vers le haut de la colline pour le situer. J’arrive en bordure d’un boulevard où il y a des guirlandes de LEDs et des brumisateurs qui diffusent des gouttelettes.
– Le haut de la ville est juste là.
-J’ai eu idée, dit ma femme, je vais poser la question à l’I.A.
-Où se trouve la personne avec la veste verte que j’ai confectionnée?

Pas de réponse. On décide de refaire le chemin à l’envers mais les rues sont vides. On se retrouvera à la gare…

Quelles rues pavées de briques rouges de Paris ? Jamais vu ça. Dis-toi que tu n’es pas à Paris, ni même ailleurs sur terre. Là où tu es, rien ne ressemble à chez nous.

En haut de l’immeuble, tu te retrouves au rez de chaussée. Tout ça est une démo sur écran gigantesque avec des images hyper réalistes.

 

Estelle

L’écran falaise

 
En voyage avec un groupe d’amis (la meute des Loups) parfois nous partageons du temps ensemble parfois je suis en solo au milieu d’autres personnes. (toujours la meute)
 
Quand on se retrouve il y a des discussions, notamment une qui tourne autour des vêtements. Mon amie n’arrive pas à trouver l’équipement nécessaire pour l’ensemble des journées soit il y en a trop : manteau trop long trop épais quelque chose de désagréable ça occupe un gros volume dans son bagage-sac.  Je lui soumets des propositions : Un fin, bien chaud à mettre dessous qui ne prendra pas beaucoup de place qu’elle pourra enlever si elle a trop chaud un autre à mettre par-dessus puis un manteau plusieurs fonctions. 
 
Encore des vêtements ! On en trouve dans beaucoup d’autres témoignages depuis Les Loups racontent 1
 
 
Je ne me rappelle pas de tout mais je fais des visites notamment de cours d’eau : des endroits où il y a des méandres c’est parfois des visites « vues de haut » (je ne me sens pas voler) ou bien des visites « où je suis au bord » des méandres ou des cours d’eau. Et puis des endroits où il y a des inondations (c’est plutôt verdoyant ras) avec des terrains qui mènent directement au cours d’eau avec des problèmes d’accessibilité. Ou bien les cours d’eau sont complètement à sec ; parfois il reste des cuvettes ; certains cours d’eau sont très encaissés avec des berges « rocheuses » ou des falaises ; d’autres ont des sortes de gués naturels.
 
Que d’eau, que d’eau !
 
 
Ce que je remarque notamment lors d’une visite de cours d’eau c’est un gué ou seuil qui est en travers du lit qui permet de le traverser entièrement. Il est en partie à sec puis à la fois rempli d’eau claire (?), et autre  chose étrange ses berges sont comme des parois rocheuses ou une falaise incurvée, assez lisse avec des couleurs gris ocre.
 
Les parois de ces falaises présentent des dessins/ des images comme des cartographie genre planisphères plaquées contre les parois et il y en a plusieurs. Chacune de ces planisphère donne apparemment la localisation d’un lieu particulier. Elles ont des couleurs allant du vert au rouge un peu comme les représentations des températures en fonction des latitudes mais c’est une planisphère avec des axes abscisse et ordonnées.
 
Je regarde d’un peu plus près parce que ça m’interroge : c’est plaqué façon tatouage éphémère avec la membrane transparente qui est visible et parfois cela semble incrustée dans la roche. Certains points de planisphères apparaissent sur la roche et d’autres disparaissent. 
 
Merci Xavier !!! Et Grand merci les Loups et Louves !  Bisouuus !
 
Des images sur une falaise lisse (où l’eau ruisselle)… Tel est l’écran géant en relief hyper réaliste dans le grand amphi où nous sommes enseignés.
 
 
 

 

Dixième nuit

 

Daniel

Il pleut des cordes

 

Une fête sous un saule pleureur en chatons avec de magnifiques branches jusqu’à terre. J’installe un groupe électrogène. Il tombe quelques gouttes, je le mets à l’abri sous le saule. Il pleut des cordes, des seaux d’eau.

Je me mets en colère quand je vois qu’on a repoussé mon groupe sous la pluie. La colère s’estompe car les enfants jouent sous le saule et auraient pu se brûler avec l’échappement. Un nourrisson (une poupée de chiffon?) gît par terre.

Comme les autres années, tu rêves en marge de la meute, mais tu comprendras bientôt comment tout se complète et à quel point ça concorde.

 

Kevin

Les guerres de l’amphi

 

Je me revois avec un groupe (la meute?) en train de visiter une forêt, puis un hameau avec quelques maisons. Ça ressemble un peu à mon village. La forêt est proche des maisons. C’est la nuit. On entend des bruits chelous venant de la forêt. Des cris de dinosaures, on se dit en se regardant…
 
Ouais… Des dinos ou des bestiaux extraterrestres…
 
 
Puis on se dit que finalement ça vient de ce bâtiment au milieu d’une clairière. Mais c’est peut-être pour se rassurer qu’on dit ça. On aurait dit un musée ou un genre de mémorial. Il a l’air important.
 
Ce « musée » abrite l’amphi à l’écran géant.
 
 
On va vers la forêt puis finalement on entend le tonnerre. On lève les yeux. Et un vaisseau de  guerre approche du bâtiment. Inquiétude. L’adrénaline est là. Des ennemis s’approchent, il faut protéger le bâtiment. Tout est comme dans un jeu vidéo, les vaisseaux, les ennemis, les armes et les bruits.
 
Oui. Tout est réel. Plus réel que la réalité bidon que nous vivons ici sur terre. 
 
 
 
 
À un moment, je grimpe sur le bâtiment. Leur vaisseau est posé juste à côté. Et des ennemis essaient de me tirer dessus en sortant mais je leur balance une ou deux grenades et je repars sans m’en occuper.
 
Tout est réel. Et pourtant, ça ne nous arrive pas vraiment. Les guerres de l’amphi ne nous sont pas arrivées, nous les avons visionnées sur l’écran géant… Les souterrains ne sont pas ceux de bâtiment de l’amphi, mais ceux qui nous sont montrés sur l’écran géant. Les images sont si réelles qu’on les prend pour la réalité.
 
 
Plus tard, dans les souterrains du bâtiment.
Disons plutôt : « Dans des souterrains qu’on voit sur l’écran dans le bâtiment. »
 
 
Je ne sais pas si on traque nos ennemis ou si c’est l’inverse. Bref, un gaillard récalcitrant qui nous en fait baver depuis le début est toujours là. Crâne rasé, musclé mais très sec, pas très épais non plus, torse nu et tortionnaire, avec des armes blanches.
 
Je le confronte avec un genre de tisonnier à plusieurs pointes recourbées. Je lui défonce le bras. En lambeaux. Comme si un prédateur lui avait déchiqueté le bras. Mais il n’est pas mort. Plus tard encore, on le retrouve. Ou c’est lui qui nous a retrouvé. Deuxième confrontation. Je le défonce encore.
 
Puis, encore plus tard, finalement je me revois lui faire les premiers soins avec des compresses. Il n’y pas assez de désinfectant. J’en cherche mais n’en trouve pas. Mais ça ira. Il n’est pas si méchant que ça et on discute. Je crois qu’en fait on était ennemis mais qu’on a dû s’associer pour une cause commune. J’ai oublié laquelle.
 
Il est mort, il vit encore, on se bagarre une fois, deux fois, je le soigne… Ces péripéties sont « vécues » à travers l’écran.
 
 

Le mot de la fin

Toutes vos aventures nocturnes se passent en groupe. Il s’agit de la meute des Loups de l’Astral. Mais vous vous voyez toujours en personnes humaines, pas en Loups. De même, vous changez les décors en environnement terrestre.

Vous êtes très souvent en hauteur, en l’air même, pourtant vous n’avez jamais l’impression de voler. Vous n’avez pas non plus l’impression d’être enseignés. C’est pourtant la vérité.

Oui, nous sommes enseignés toutes les nuits, avec patience et méthode. Au réveil, ça s’efface, mais rien n’est oublié. La totalité reste à jamais gravée en nous, dans notre inconscient. Le but de ces rêves réels consiste à vous faire entrer dans votre inconscient — ce qui est l’apanage des éveillés.

En règle générale, il y a beaucoup d’oublis, de confusions, d’interprétations tordues. Il y en aura de moins en moins au fil des nuits. La réalité que nous vivons en rêves devient de plus en plus présente, concrète. En recoupant vos rêves, tout y est, ou presque.

Pourtant je préfère vous en dire le moins possible, histoire de ne pas vous voler vos découvertes. Ni votre éveil.

 

 

On peut déjà s’inscrire

pour la 3e session des Loups de l’Astral du 7 mars soir au 14 mars matin

 

Pour s’inscrire :

1 Un mail pour donner vos noms et prénoms en indiquant le motif du message : vol astral.

2 Verser 11€ par le formulaire de don ci-contre >

3 En retour, j’accuse réception en demandant une photo aux nouveaux pour sécuriser leur vol.

 

Astral Saga

 

Xavier Séguin

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